Dimanche : alerte à la bombe et évacuation pour une heure du Salon du livre.
Lundi : journée professionnelle (mardi on se rattrapera avec la nocturne).
Les scolaires du 9-3 en profitent : à 9 h 30 ils rencontrent l’écrivain israélien Aharon Appelfeld.
à 10h, stand de Radio-France, un débat affiche la question provocatrice : « 80 000 titres par an, l’édition française est-elle en train de se creuser une tombe de papier ? »
à 11h30, Les premiers auteurs de la nouvelle collection d’Actes Sud junior : Ceux qui ont dit « non ». Dont le brillant et très recommandable Nimrod avec Rosa Parks : Non à la discrimination raciale [et un prochain Victor Schœlcher, annoncé pour septembre].
Les 60 ans du manga ont été célébrés samedi par un colloque à la Maison de la culture du Japon. Ce colloque se poursuit aujourd’hui au Centre d’études et de recherches internationales, 56 rue Jacob à Paris. Thèmes : 1.La réception du manga en Europe, 2.Style et narration, 3.L’avenir du manga.
L’avenir du manga a de l’avenir. Sur le programme du Salon, à 14h30, on peut lire : L’avenir du manga ! L’auteur de Je suis un écrivain japonais, Dany Laferrière, s’est fait porter pâle.
Lors de la rencontre Enseigner l’histoire de l’esclavage et la Shoah, hier sur le stand de France Télévisions, on a appris la publication (probablement pour le 10 mai) du livre de Sophie Ernst, Quand les mémoires déstabilisent l’école.