La tautologie est selon moi le sommet caché, impossible, de la poésie. Par elle, on voit que « les choses sont ce qu’elles sont » et que cela n’est pas rien. Par elle, on voit que les choses sont valables aussi pour elles-mêmes.
(Laurent Albarracin, ici)
Laurent Albarracin est né en 1970. Il publie ses premiers poèmes dans de petites structures éditoriales : ces premiers textes seront pour l’essentiel réunis dans Le Verre de l’eau, en 2008. Parallèlement, il participe à l’aventure du Jardin ouvrier, la revue d’Ivar Ch’Vavar (1995-2003). Il tient une chronique de poésie sur le site de Pierre Campion et anime les éditions Le Cadran ligné.
Bibliographie
Les jardins nucléaires, L’Air de l’eau, 1998.
Le feu brûle, Atelier de l’Agneau, 2004.
Résolutions, Myrddin, 2004.
Vingt-sept sonnets, Ikko, 2005.
Le secret secret, dessins de Georges-Henri Morin, Les Éditions de surcroît, 2006.
De l’image, L’Attente, 2007.
Pierre Peuchmaurd, témoin élégant, L'Oie de Cravan, 2007.
Cartes sur l’eau, Simili Sky, 2008.
Le Jardin ouvrier, (anthologie), Flammarion, 2008.
Le Verre de l'eau et autres poèmes, le corridor bleu, 2008.
Louis-François Delisse, Éditions des Vanneaux, 2009
Explication de la lumière, Dernier télégramme, 2010
Le Déluge ambigu, illustré par Jean-Pierre Paraggio, Collection de l’umbo, 2010
Pierre Peuchmaurd, Éditions des Vanneaux, 2011
Le poirier, illustré par Pierre Bessompierre, Collection de l’umbo, 2012
Le Secret secret, Flammarion, 2012.
Résolutions, L’Oie de Cravan, 2012.
sitographie
fiche sur l’auteur (Wikipédia)
Note de lecture de Le Secret secret, par Pierre Campion