Il y a peut-être encore des places ce soir pour voir et entendre Judith Magre, se laisser impressionner par sa beauté majestueuse et sa diction qui, tout en cantilène et précises modulations, porte au magnifique l'intelligence du texte.
Elle est, avec humour et désespoir, la Rose de Martin Sherman qui raconte sa longue vie d'un petit shtetel d'Ukraine jusqu'à aujourd'hui l'Amérique.
Depuis le 29 et ce soir encore pour la dernière fois à 20h30 au Théâtre de l'Ouest Parisien à Boulogne. Tel.01 46 03 60 44
Et le 31 juillet au Festival de théâtre de Figeac, et puis d'autres dates, sûrement, à suivre.