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Petite rétrospective de la semaine: jeux de mains, jeux d'expressions...

Publié le 01 juin 2012 par Marigotine

 

La Victoire jusqu'au bout de la natte.....

Bravissimo. Incroyable! Virginie Razzano l'a fait. Au bout du suspense, après 3 heures et 4 minutes de jeu et 8 balles de matches disputées corps et âme, la Française a défait mardi 29 mai dans la soirée le roc Serena Williams en trois sets (4-6, 7-6, 6-3). La victoire de la 111e joueuse mondiale est d'autant plus belle qu'il s'agit d'un véritable exploit. A 29 ans, celle qui n'avait pas été épargnée par le tirage au sort a su réaliser l'impossible. Avant elle, jamais personne n'était parvenu à écarter de la sorte l'Américaine, 5e joueuse mondiale, lors d'un premier tour de Grand Chelem, en 46 participations. Après un premier avertissement, l'arbitre, peu enclin à la compassion, a appliqué le règlement à la lettre et a pénalisé la Française à chaque «Aïe» lâché en jeu. On pensait Razzano perdue, proche de l'abandon. Mais l'adversité et les épreuves douloureuses, elle connaît. «Je me bats toujours, je n'ai pas toujours des bons moments, mais je continue à y croire», a-t-elle réagi devant un public qu'elle avait bouleversé par son courage il y a un an et qu'elle a fait chavirer de bonheur mardi. Inévitablement, on repense à Stéphane, son mari et entraineur, décédé l'an dernier à 32 ans des suites d'une longue maladie.
Bravissimo. Incroyable! Virginie Razzano l'a fait. Au bout du suspense, après 3 heures et 4 minutes de jeu et 8 balles de matches disputées corps et âme, la Française a défait mardi 29 mai dans la soirée le roc Serena Williams en trois sets (4-6, 7-6, 6-3). La victoire de la 111e joueuse mondiale est d'autant plus belle qu'il s'agit d'un véritable exploit. A 29 ans, celle qui n'avait pas été épargnée par le tirage au sort a su réaliser l'impossible. Avant elle, jamais personne n'était parvenu à écarter de la sorte l'Américaine, 5e joueuse mondiale, lors d'un premier tour de Grand Chelem, en 46 participations. Après un premier avertissement, l'arbitre, peu enclin à la compassion, a appliqué le règlement à la lettre et a pénalisé la Française à chaque «Aïe» lâché en jeu. On pensait Razzano perdue, proche de l'abandon. Mais l'adversité et les épreuves douloureuses, elle connaît. «Je me bats toujours, je n'ai pas toujours des bons moments, mais je continue à y croire», a-t-elle réagi devant un public qu'elle avait bouleversé par son courage il y a un an et qu'elle a fait chavirer de bonheur mardi. Inévitablement, on repense à Stéphane, son mari et entraineur, décédé l'an dernier à 32 ans des suites d'une longue maladie." title="Petite rétrospective de la semaine: jeux de mains, jeux d'expressions..." />Bravissimo. Incroyable! Virginie Razzano l'a fait. Au bout du suspense, après 3 heures et 4 minutes de jeu et 8 balles de matches disputées corps et âme, la Française a défait mardi 29 mai dans la soirée le roc Serena Williams en trois sets (4-6, 7-6, 6-3). La victoire de la 111e joueuse mondiale est d'autant plus belle qu'il s'agit d'un véritable exploit. A 29 ans, celle qui n'avait pas été épargnée par le tirage au sort a su réaliser l'impossible. Avant elle, jamais personne n'était parvenu à écarter de la sorte l'Américaine, 5e joueuse mondiale, lors d'un premier tour de Grand Chelem, en 46 participations. Après un premier avertissement, l'arbitre, peu enclin à la compassion, a appliqué le règlement à la lettre et a pénalisé la Française à chaque «Aïe» lâché en jeu. On pensait Razzano perdue, proche de l'abandon. Mais l'adversité et les épreuves douloureuses, elle connaît. «Je me bats toujours, je n'ai pas toujours des bons moments, mais je continue à y croire», a-t-elle réagi devant un public qu'elle avait bouleversé par son courage il y a un an et qu'elle a fait chavirer de bonheur mardi. Inévitablement, on repense à Stéphane, son mari et entraineur, décédé l'an dernier à 32 ans des suites d'une longue maladie." border="0" />  Incroyable! Virginie Razzano l'a fait. Au bout du suspense, après 3 heures et 4 minutes de jeu et 8 balles de matches disputées corps et âme, la Française a défait mardi 29 mai dans la soirée le roc Serena Williams en trois sets (4-6, 7-6, 6-3). La victoire de la 111e joueuse mondiale est d'autant plus belle qu'il s'agit d'un véritable exploit. A 29 ans, celle qui n'avait pas été épargnée par le tirage au sort a su réaliser l'impossible. Avant elle, jamais personne n'était parvenu à écarter de la sorte l'Américaine, 5e joueuse mondiale, lors d'un premier tour de Grand Chelem, en 46 participations. Après un premier avertissement, l'arbitre, peu enclin à la compassion, a appliqué le règlement à la lettre et a pénalisé la Française à chaque «Aïe» lâché en jeu. On pensait Razzano perdue, proche de l'abandon. Mais l'adversité et les épreuves douloureuses, elle connaît. «Je me bats toujours, je n'ai pas toujours des bons moments, mais je continue à y croire», a-t-elle réagi devant un public qu'elle avait bouleversé par son courage il y a un an et qu'elle a fait chavirer de bonheur mardi. Inévitablement, on repense à Stéphane, son mari et entraineur, décédé l'an dernier à 32 ans des suites d'une longue maladie. Crédits photo : PATRICK KOVARIK/AFP

La main sur le coeur :

   la main de la mémoire...

Pour mémoire. Le président américain Barack Obama a appelé lundi à tirer les «leçons» du Vietnam, 50 ans après le début de l'engagement américain dans ce pays. Il a demandé de réfléchir au «coût de la guerre» avant de la lancer ou de prendre soin des anciens combattants après sa fin. Le président des États-Unis s'exprimait à Washington devant le monument portant les noms des quelque 58.000 Américains tués pendant ce conflit. Il a affirmé que le Vietnam constituait «l'un des chapitres les plus douloureux de notre histoire». En ce «Memorial Day», le «jour du souvenir» pendant lequel les États-Unis honorent leurs soldats, M. Obama n'a pas directement évoqué les causes politiques de l'engagement militaire américain au Vietnam. Mais il a décrit, face à plusieurs dizaines d'anciens combattants, la «honte nationale» constituée à son sens par la façon dont ils avaient été traités à leur retour. «Vous avez souvent été critiqués pour une guerre que vous n'aviez pas lancée, alors que vous auriez du être félicités pour avoir servi votre pays avec gloire», a dit le président, sous un soleil accablant.
Pour mémoire. Le président américain Barack Obama a appelé lundi à tirer les «leçons» du Vietnam, 50 ans après le début de l'engagement américain dans ce pays. Il a demandé de réfléchir au «coût de la guerre» avant de la lancer ou de prendre soin des anciens combattants après sa fin. Le président des États-Unis s'exprimait à Washington devant le monument portant les noms des quelque 58.000 Américains tués pendant ce conflit. Il a affirmé que le Vietnam constituait «l'un des chapitres les plus douloureux de notre histoire». En ce «Memorial Day», le «jour du souvenir» pendant lequel les États-Unis honorent leurs soldats, M. Obama n'a pas directement évoqué les causes politiques de l'engagement militaire américain au Vietnam. Mais il a décrit, face à plusieurs dizaines d'anciens combattants, la «honte nationale» constituée à son sens par la façon dont ils avaient été traités à leur retour. «Vous avez souvent été critiqués pour une guerre que vous n'aviez pas lancée, alors que vous auriez du être félicités pour avoir servi votre pays avec gloire», a dit le président, sous un soleil accablant." title="Petite rétrospective de la semaine: jeux de mains, jeux d'expressions..." />Pour mémoire. Le président américain Barack Obama a appelé lundi à tirer les «leçons» du Vietnam, 50 ans après le début de l'engagement américain dans ce pays. Il a demandé de réfléchir au «coût de la guerre» avant de la lancer ou de prendre soin des anciens combattants après sa fin. Le président des États-Unis s'exprimait à Washington devant le monument portant les noms des quelque 58.000 Américains tués pendant ce conflit. Il a affirmé que le Vietnam constituait «l'un des chapitres les plus douloureux de notre histoire». En ce «Memorial Day», le «jour du souvenir» pendant lequel les États-Unis honorent leurs soldats, M. Obama n'a pas directement évoqué les causes politiques de l'engagement militaire américain au Vietnam. Mais il a décrit, face à plusieurs dizaines d'anciens combattants, la «honte nationale» constituée à son sens par la façon dont ils avaient été traités à leur retour. «Vous avez souvent été critiqués pour une guerre que vous n'aviez pas lancée, alors que vous auriez du être félicités pour avoir servi votre pays avec gloire», a dit le président, sous un soleil accablant." border="0" />   Le président américain Barack Obama a appelé lundi à tirer les «leçons» du Vietnam, 50 ans après le début de l'engagement américain dans ce pays. Il a demandé de réfléchir au «coût de la guerre» avant de la lancer ou de prendre soin des anciens combattants après sa fin. Le président des États-Unis s'exprimait à Washington devant le monument portant les noms des quelque 58.000 Américains tués pendant ce conflit. Il a affirmé que le Vietnam constituait «l'un des chapitres les plus douloureux de notre histoire». En ce «Memorial Day», le «jour du souvenir» pendant lequel les États-Unis honorent leurs soldats, M. Obama n'a pas directement évoqué les causes politiques de l'engagement militaire américain au Vietnam. Mais il a décrit, face à plusieurs dizaines d'anciens combattants, la «honte nationale» constituée à son sens par la façon dont ils avaient été traités à leur retour. «Vous avez souvent été critiqués pour une guerre que vous n'aviez pas lancée, alors que vous auriez du être félicités pour avoir servi votre pays avec gloire», a dit le président, sous un soleil accablant. Crédits photo : © Jonathan Ernst / Reuters/REUTERS On dirait un candidat de "The Voice" au Libéria...    Mais non seulement un monstre qui va être condamné!      
En prison. Il finira sûrement ses jours derrière les barreaux. L'ancien président du Liberia, Charles Taylor, reconnu coupable le mois dernier de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre en Sierra Leone, a été condamné hier à 50 ans de prison par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, à Leidschendam, à La Haye. Taylor était poursuivi pour avoir fourni des armes en échange de diamants aux rebelles sierra-léonais, auteurs de massacres lors de la guerre civile qui avait causé plus de 50.000 morts de 1991 à 2002. «La peine infligée aujourd'hui ne remplacera pas les membres amputés, ne ramènera pas ceux qui ont été tués, a déclaré la procureur Brenda Hollis à l'issue de l'audience, mais elle apporte une forme de justice». Les traits tirés et la tête souvent penchée vers l'avant, l'ex-président âgé de 64 ans a régulièrement fermé les yeux pendant que le juge lisait la décision. Sa défense a annoncé qu'il fera appel. Il est le premier ancien chef d'État condamné par la justice internationale depuis le tribunal militaire de Nuremberg qui jugea les dignitaires nazis.
En prison. Il finira sûrement ses jours derrière les barreaux. L'ancien président du Liberia, Charles Taylor, reconnu coupable le mois dernier de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre en Sierra Leone, a été condamné hier à 50 ans de prison par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, à Leidschendam, à La Haye. Taylor était poursuivi pour avoir fourni des armes en échange de diamants aux rebelles sierra-léonais, auteurs de massacres lors de la guerre civile qui avait causé plus de 50.000 morts de 1991 à 2002. «La peine infligée aujourd'hui ne remplacera pas les membres amputés, ne ramènera pas ceux qui ont été tués, a déclaré la procureur Brenda Hollis à l'issue de l'audience, mais elle apporte une forme de justice». Les traits tirés et la tête souvent penchée vers l'avant, l'ex-président âgé de 64 ans a régulièrement fermé les yeux pendant que le juge lisait la décision. Sa défense a annoncé qu'il fera appel. Il est le premier ancien chef d'État condamné par la justice internationale depuis le tribunal militaire de Nuremberg qui jugea les dignitaires nazis." title="Petite rétrospective de la semaine: jeux de mains, jeux d'expressions..." />En prison. Il finira sûrement ses jours derrière les barreaux. L'ancien président du Liberia, Charles Taylor, reconnu coupable le mois dernier de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre en Sierra Leone, a été condamné hier à 50 ans de prison par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, à Leidschendam, à La Haye. Taylor était poursuivi pour avoir fourni des armes en échange de diamants aux rebelles sierra-léonais, auteurs de massacres lors de la guerre civile qui avait causé plus de 50.000 morts de 1991 à 2002. «La peine infligée aujourd'hui ne remplacera pas les membres amputés, ne ramènera pas ceux qui ont été tués, a déclaré la procureur Brenda Hollis à l'issue de l'audience, mais elle apporte une forme de justice». Les traits tirés et la tête souvent penchée vers l'avant, l'ex-président âgé de 64 ans a régulièrement fermé les yeux pendant que le juge lisait la décision. Sa défense a annoncé qu'il fera appel. Il est le premier ancien chef d'État condamné par la justice internationale depuis le tribunal militaire de Nuremberg qui jugea les dignitaires nazis." border="0" />   Il finira sûrement ses jours derrière les barreaux. L'ancien président du Liberia, Charles Taylor, reconnu coupable le mois dernier de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre en Sierra Leone, a été condamné hier à 50 ans de prison par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, à Leidschendam, à La Haye. Taylor était poursuivi pour avoir fourni des armes en échange de diamants aux rebelles sierra-léonais, auteurs de massacres lors de la guerre civile qui avait causé plus de 50.000 morts de 1991 à 2002. «La peine infligée aujourd'hui ne remplacera pas les membres amputés, ne ramènera pas ceux qui ont été tués, a déclaré la procureur Brenda Hollis à l'issue de l'audience, mais elle apporte une forme de justice». Les traits tirés et la tête souvent penchée vers l'avant, l'ex-président âgé de 64 ans a régulièrement fermé les yeux pendant que le juge lisait la décision. Sa défense a annoncé qu'il fera appel. Il est le premier ancien chef d'État condamné par la justice internationale depuis le tribunal militaire de Nuremberg qui jugea les dignitaires nazis. Crédits photo : © POOL New / Reuters/Reuters

Mains serrées et liberté...

Libéré. Les Farc ont mis fin à sa captivité, comme promis. Le journaliste français Roméo Langlois a été libéré hier, un mois après avoir été enlevé par les Forces armées révolutionnaires colombiennes. Sa libération est intervenue à 13h30 (20h30 heure française), dans le village de San Isidro, dans le sud du pays. Arrivé en voiture avec plusieurs rebelles, il a été accueilli par les membres d'une délégation conduite par le Comité International de la Croix-Rouge. En bonne santé, il ne semblait pas souffrir de la blessure au bras gauche subie lors de son enlèvement. «À part le fait d'avoir été détenu durant un mois, tout le reste s'est bien passé. Je ne peux pas me plaindre», a déclaré le correspondant de France 24 peu après sa libération. Alors, à peine sortie de la jungle colombienne, il est apparu tout sourire, caméra au poing. Une image qui colle parfaitement à la personnalité de ce fin connaisseur du conflit armé en Colombie. Le journaliste avait été capturé le 28 avril dernier lors d'un reportage sur une opération anti-drogue de l'armée.
Libéré. Les Farc ont mis fin à sa captivité, comme promis. Le journaliste français Roméo Langlois a été libéré hier, un mois après avoir été enlevé par les Forces armées révolutionnaires colombiennes. Sa libération est intervenue à 13h30 (20h30 heure française), dans le village de San Isidro, dans le sud du pays. Arrivé en voiture avec plusieurs rebelles, il a été accueilli par les membres d'une délégation conduite par le Comité International de la Croix-Rouge. En bonne santé, il ne semblait pas souffrir de la blessure au bras gauche subie lors de son enlèvement. «À part le fait d'avoir été détenu durant un mois, tout le reste s'est bien passé. Je ne peux pas me plaindre», a déclaré le correspondant de France 24 peu après sa libération. Alors, à peine sortie de la jungle colombienne, il est apparu tout sourire, caméra au poing. Une image qui colle parfaitement à la personnalité de ce fin connaisseur du conflit armé en Colombie. Le journaliste avait été capturé le 28 avril dernier lors d'un reportage sur une opération anti-drogue de l'armée." title="Petite rétrospective de la semaine: jeux de mains, jeux d'expressions..." />Libéré. Les Farc ont mis fin à sa captivité, comme promis. Le journaliste français Roméo Langlois a été libéré hier, un mois après avoir été enlevé par les Forces armées révolutionnaires colombiennes. Sa libération est intervenue à 13h30 (20h30 heure française), dans le village de San Isidro, dans le sud du pays. Arrivé en voiture avec plusieurs rebelles, il a été accueilli par les membres d'une délégation conduite par le Comité International de la Croix-Rouge. En bonne santé, il ne semblait pas souffrir de la blessure au bras gauche subie lors de son enlèvement. «À part le fait d'avoir été détenu durant un mois, tout le reste s'est bien passé. Je ne peux pas me plaindre», a déclaré le correspondant de France 24 peu après sa libération. Alors, à peine sortie de la jungle colombienne, il est apparu tout sourire, caméra au poing. Une image qui colle parfaitement à la personnalité de ce fin connaisseur du conflit armé en Colombie. Le journaliste avait été capturé le 28 avril dernier lors d'un reportage sur une opération anti-drogue de l'armée." border="0" />  Les Farc ont mis fin à sa captivité, comme promis. Le journaliste français Roméo Langlois a été libéré hier, un mois après avoir été enlevé par les Forces armées révolutionnaires colombiennes. Sa libération est intervenue à 13h30 (20h30 heure française), dans le village de San Isidro, dans le sud du pays. Arrivé en voiture avec plusieurs rebelles, il a été accueilli par les membres d'une délégation conduite par le Comité International de la Croix-Rouge. En bonne santé, il ne semblait pas souffrir de la blessure au bras gauche subie lors de son enlèvement. «À part le fait d'avoir été détenu durant un mois, tout le reste s'est bien passé. Je ne peux pas me plaindre», a déclaré le correspondant de France 24 peu après sa libération. Alors, à peine sortie de la jungle colombienne, il est apparu tout sourire, caméra au poing. Une image qui colle parfaitement à la personnalité de ce fin connaisseur du conflit armé en Colombie. Le journaliste avait été capturé le 28 avril dernier lors d'un reportage sur une opération anti-drogue de l'armée. Crédits photo : LUIS ACOSTA/AFP Bras écartés comme pour un décollage imminent! Un nouvel envol pour Aung San Suu Kyi....
Grande première. La chef de file de l'opposition birmane Aung San Suu Kyi s'est envolée pour Bangkok mardi soir pour son premier voyage à l'étranger en 24 ans, une visite historique qui met un terme à ses années d'isolement et témoigne de sa confiance dans les réformes du nouveau régime. La lauréate du prix Nobel de la paix, devenue députée pour la première fois lors des élections partielles d'avril, s'est rendue mercredi dans la province de Samut Sakhon (sud de Bangkok), pour rencontrer des centaines d'immigrés birmans qui l'attendaient de pied ferme, et lui ont réservé un accueil véritablement triomphal. Ils étaient des centaines à attendre dès l'aube, dans une étroite ruelle d'un quartier de la ville, celle qui représente depuis près d'un quart de siècle l'aspiration de tout un peuple à la démocratie. Certains brandissaient des photos d'elle et des pancartes indiquant «Birmanie libre» et «Nous voulons rentrer chez nous». «Je peux vous faire une promesse: je ferai de mon mieux pour vous», a déclaré la députée à des milliers de Birmans en extase venus l'écouter. Les Birmans représentent quelque 80% des deux millions d'immigrés enregistrés en Thaïlande, dont l'économie est très dépendante des travailleurs immigrés, légaux ou illégaux.
Grande première. La chef de file de l'opposition birmane Aung San Suu Kyi s'est envolée pour Bangkok mardi soir pour son premier voyage à l'étranger en 24 ans, une visite historique qui met un terme à ses années d'isolement et témoigne de sa confiance dans les réformes du nouveau régime. La lauréate du prix Nobel de la paix, devenue députée pour la première fois lors des élections partielles d'avril, s'est rendue mercredi dans la province de Samut Sakhon (sud de Bangkok), pour rencontrer des centaines d'immigrés birmans qui l'attendaient de pied ferme, et lui ont réservé un accueil véritablement triomphal. Ils étaient des centaines à attendre dès l'aube, dans une étroite ruelle d'un quartier de la ville, celle qui représente depuis près d'un quart de siècle l'aspiration de tout un peuple à la démocratie. Certains brandissaient des photos d'elle et des pancartes indiquant «Birmanie libre» et «Nous voulons rentrer chez nous». «Je peux vous faire une promesse: je ferai de mon mieux pour vous», a déclaré la députée à des milliers de Birmans en extase venus l'écouter. Les Birmans représentent quelque 80% des deux millions d'immigrés enregistrés en Thaïlande, dont l'économie est très dépendante des travailleurs immigrés, légaux ou illégaux." title="Petite rétrospective de la semaine: jeux de mains, jeux d'expressions..." />Grande première. La chef de file de l'opposition birmane Aung San Suu Kyi s'est envolée pour Bangkok mardi soir pour son premier voyage à l'étranger en 24 ans, une visite historique qui met un terme à ses années d'isolement et témoigne de sa confiance dans les réformes du nouveau régime. La lauréate du prix Nobel de la paix, devenue députée pour la première fois lors des élections partielles d'avril, s'est rendue mercredi dans la province de Samut Sakhon (sud de Bangkok), pour rencontrer des centaines d'immigrés birmans qui l'attendaient de pied ferme, et lui ont réservé un accueil véritablement triomphal. Ils étaient des centaines à attendre dès l'aube, dans une étroite ruelle d'un quartier de la ville, celle qui représente depuis près d'un quart de siècle l'aspiration de tout un peuple à la démocratie. Certains brandissaient des photos d'elle et des pancartes indiquant «Birmanie libre» et «Nous voulons rentrer chez nous». «Je peux vous faire une promesse: je ferai de mon mieux pour vous», a déclaré la députée à des milliers de Birmans en extase venus l'écouter. Les Birmans représentent quelque 80% des deux millions d'immigrés enregistrés en Thaïlande, dont l'économie est très dépendante des travailleurs immigrés, légaux ou illégaux." border="0" />  La chef de file de l'opposition birmane Aung San Suu Kyi s'est envolée pour Bangkok mardi soir pour son premier voyage à l'étranger en 24 ans, une visite historique qui met un terme à ses années d'isolement et témoigne de sa confiance dans les réformes du nouveau régime. La lauréate du prix Nobel de la paix, devenue députée pour la première fois lors des élections partielles d'avril, s'est rendue mercredi dans la province de Samut Sakhon (sud de Bangkok), pour rencontrer des centaines d'immigrés birmans qui l'attendaient de pied ferme, et lui ont réservé un accueil véritablement triomphal. Ils étaient des centaines à attendre dès l'aube, dans une étroite ruelle d'un quartier de la ville, celle qui représente depuis près d'un quart de siècle l'aspiration de tout un peuple à la démocratie. Certains brandissaient des photos d'elle et des pancartes indiquant «Birmanie libre» et «Nous voulons rentrer chez nous». «Je peux vous faire une promesse: je ferai de mon mieux pour vous», a déclaré la députée à des milliers de Birmans en extase venus l'écouter. Les Birmans représentent quelque 80% des deux millions d'immigrés enregistrés en Thaïlande, dont l'économie est très dépendante des travailleurs immigrés, légaux ou illégaux. Crédits photo : © Sukree Sukplang / Reuters/REUTERS

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