Oui oui je sais, autant on peut dire que finalement avant l'automne dernier je connaissais assez peu le travail de Charlie Winston parce que je l'avais peu vu sur scène (1 fois sur l'enregistrement d'un plateau télé, une fois sur un festival très rapidement) autant on peut dire que depuis que je me suis immergée dans son dernier album, je suis ce qu'il fait de près. Alors jeudi dernier c'est avec un enthousiasme certain que je me suis rendue à l'Olympia pour aller assister à son concert. Mais avant ça, plus tôt dans l'après-midi, j'ai eu la chance de pouvoir le rencontrer pour une interview que tu pourras retrouver la semaine prochaine sur le blog des Francofolies. Ah oui, parce que, profitons-en, je t'annonce ici officiellement que la semaine prochaine je serai ubi et orbi. Enfin presque. Ici et là bas en tout cas. Parce que cette année encore (comme l'an dernier), je couvrirai tout le festival des Francofolies de La Rochelle (tu pourras me suivre un peu ici pour des billets décalés et quotidiennement sur le blog du Ricard S.A. live Music où je te raconterai, quelques images à l'appui, ce qui a fait l'actualité musicale de ma journée de la veille) (Hourra!)(parce que les Francofolies ce n'est rien moins que mon festival français préféré).
Je ne t'en dis pas plus, rapport au fait que je n'ai absolument pas le temps de le faire aujourd'hui et que je ne veux rien dévoiler avant la publication de l'entretien aussi.
Revenons à nos moutons. Donc. Jeudi soir.
Quand j'arrive dans la salle je repère tout de suite que des crash barrières sont installées entre la scène et le public visant à empêcher que l'escouade de photographes accrédités ne soient pas monstrueusement écrasés par le public particulièrement remonté. Oui parce que je crois bien que c'est la première fois que j'ai assisté à autant de ferveur de la part des premiers rangs du public à un concert de Charlie. J'avoue. Ca sidère un peu. C'était assez fou.
Bon je te raconterais bien tout en détail mais il me semble difficile de ne pas me répéter alors je me contente de te mettre un lien par ici (live report complet texte + photos) et par là (surtout des photos) où en plus tu pourras trouver des photos plus "conventionnelles" de ses concerts. Oui parce que ce soir là ça n'était pas la première fois que je photographiais une de ses scènes alors j'ai pris le parti d'essayer de faire des choses un peu différentes. Et donc j'ai fait des essais (enfin tu verras bien) pour changer un peu (bon, il n'y en a pas des masses non plus étant donné qu'on avait droit qu'à trois titres).
Un retour sur la première partie assurée par King Charles demain, ici même, en photos. Et puis l'interview la semaine prochaine sur le blog des Francos, tu n'as as oublié dis?
Sur ce je file. Débordée je suis. A très vite.
XO
Un essai de tryptique quand il se met au piano (Parce que c'était beau)
Et un autre pour le moment (sur "The great conversation") où il fait de la prestidigitation avec de minuscules lumières, dans la pénombre (parce que c'est beau #Bis)