Magazine Côté Femmes

On sacre, consacre et malheureusement massacre...

Publié le 12 juin 2012 par Marigotine

 

   Un sacre tout en beauté.

   Bon sang que la victoire est belle...

Sacrée. La Russe Maria Sharapova, tête de série numéro 2, n'a pas tremblé au moment de remporter son premier titre à Roland-Garros, et un Grand Chelem en carrière, en dominant (6-3, 6-2) en finale samedi l'Italienne Sara Errani (numéro 21), laquelle n'a pas démérité. Maria Sharapova, qui redeviendra officiellement lundi numéro 1 mondiale, est la dixième joueuse de l'histoire à gagner les quatre tournois du Grand Chelem, après ses victoires à Wimbledon en 2004, à l'US Open en 2006 et à l'Open d'Australie en 2008. «C'est un sentiment incroyable, je ne sais pas quoi dire», a déclaré la joueuse de 25 ans, qui est tombée à genoux les bras en croix sur la balle de match. «Je suis tellement contente, je me suis battue très fort pour ça, c'était un long chemin pour arriver à gagner ici, c'est ma plus belle victoire».
Sacrée. La Russe Maria Sharapova, tête de série numéro 2, n'a pas tremblé au moment de remporter son premier titre à Roland-Garros, et un Grand Chelem en carrière, en dominant (6-3, 6-2) en finale samedi l'Italienne Sara Errani (numéro 21), laquelle n'a pas démérité. Maria Sharapova, qui redeviendra officiellement lundi numéro 1 mondiale, est la dixième joueuse de l'histoire à gagner les quatre tournois du Grand Chelem, après ses victoires à Wimbledon en 2004, à l'US Open en 2006 et à l'Open d'Australie en 2008. «C'est un sentiment incroyable, je ne sais pas quoi dire», a déclaré la joueuse de 25 ans, qui est tombée à genoux les bras en croix sur la balle de match. «Je suis tellement contente, je me suis battue très fort pour ça, c'était un long chemin pour arriver à gagner ici, c'est ma plus belle victoire»." title="On sacre, consacre et malheureusement massacre..." />Sacrée. La Russe Maria Sharapova, tête de série numéro 2, n'a pas tremblé au moment de remporter son premier titre à Roland-Garros, et un Grand Chelem en carrière, en dominant (6-3, 6-2) en finale samedi l'Italienne Sara Errani (numéro 21), laquelle n'a pas démérité. Maria Sharapova, qui redeviendra officiellement lundi numéro 1 mondiale, est la dixième joueuse de l'histoire à gagner les quatre tournois du Grand Chelem, après ses victoires à Wimbledon en 2004, à l'US Open en 2006 et à l'Open d'Australie en 2008. «C'est un sentiment incroyable, je ne sais pas quoi dire», a déclaré la joueuse de 25 ans, qui est tombée à genoux les bras en croix sur la balle de match. «Je suis tellement contente, je me suis battue très fort pour ça, c'était un long chemin pour arriver à gagner ici, c'est ma plus belle victoire»." border="0" />   La Russe Maria Sharapova, tête de série numéro 2, n'a pas tremblé au moment de remporter son premier titre à Roland-Garros, et un Grand Chelem en carrière, en dominant (6-3, 6-2) en finale samedi l'Italienne Sara Errani (numéro 21), laquelle n'a pas démérité. Maria Sharapova, qui redeviendra officiellement lundi numéro 1 mondiale, est la dixième joueuse de l'histoire à gagner les quatre tournois du Grand Chelem, après ses victoires à Wimbledon en 2004, à l'US Open en 2006 et à l'Open d'Australie en 2008. «C'est un sentiment incroyable, je ne sais pas quoi dire», a déclaré la joueuse de 25 ans, qui est tombée à genoux les bras en croix sur la balle de match. «Je suis tellement contente, je me suis battue très fort pour ça, c'était un long chemin pour arriver à gagner ici, c'est ma plus belle victoire». Crédits photo : PASCAL GUYOT/AFP
   Il a voulu être consacré...    Mais Marine a vu rouge et pas que la cravate...       Et c'est un peu la Bérésina.          T'inquète Jean Luc il y aura encore des batailles!   
Battu. Il est venu, il a vu, il n'a pas vaincu. Jean-Luc Mélenchon, le leader du Front de gauche, a été largement devancé par Marine Le Pen dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais au premier tour des législatives ce dimanche. Le candidat a annoncé sans attendre sa défaite à ses supporters rassemblés sur une place de marché à Hénin-Beaumont. Sous la pluie, l'homme à la cravate rouge avait le visage grave et a tué le suspens qui existait encore pour la deuxième place. «Je crains que vous ne soyez un peu déçus», a-t-il commencé dans un silence de plomb. Des sympathisants ont laissé éclater leur tristesse ou leur colère devant cette défaite au goût amer. Avec 21,5 %, il est devancé par le candidat du PS Philippe Kemel (23,5 %), et loin derrière Marine Le Pen (42,3 %). Mélenchon s'est surestimé une fois de trop.
Battu. Il est venu, il a vu, il n'a pas vaincu. Jean-Luc Mélenchon, le leader du Front de gauche, a été largement devancé par Marine Le Pen dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais au premier tour des législatives ce dimanche. Le candidat a annoncé sans attendre sa défaite à ses supporters rassemblés sur une place de marché à Hénin-Beaumont. Sous la pluie, l'homme à la cravate rouge avait le visage grave et a tué le suspens qui existait encore pour la deuxième place. «Je crains que vous ne soyez un peu déçus», a-t-il commencé dans un silence de plomb. Des sympathisants ont laissé éclater leur tristesse ou leur colère devant cette défaite au goût amer. Avec 21,5 %, il est devancé par le candidat du PS Philippe Kemel (23,5 %), et loin derrière Marine Le Pen (42,3 %). Mélenchon s'est surestimé une fois de trop." title="On sacre, consacre et malheureusement massacre..." />Battu. Il est venu, il a vu, il n'a pas vaincu. Jean-Luc Mélenchon, le leader du Front de gauche, a été largement devancé par Marine Le Pen dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais au premier tour des législatives ce dimanche. Le candidat a annoncé sans attendre sa défaite à ses supporters rassemblés sur une place de marché à Hénin-Beaumont. Sous la pluie, l'homme à la cravate rouge avait le visage grave et a tué le suspens qui existait encore pour la deuxième place. «Je crains que vous ne soyez un peu déçus», a-t-il commencé dans un silence de plomb. Des sympathisants ont laissé éclater leur tristesse ou leur colère devant cette défaite au goût amer. Avec 21,5 %, il est devancé par le candidat du PS Philippe Kemel (23,5 %), et loin derrière Marine Le Pen (42,3 %). Mélenchon s'est surestimé une fois de trop." border="0" />   Il est venu, il a vu, il n'a pas vaincu. Jean-Luc Mélenchon, le leader du Front de gauche, a été largement devancé par Marine Le Pen dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais au premier tour des législatives ce dimanche. Le candidat a annoncé sans attendre sa défaite à ses supporters rassemblés sur une place de marché à Hénin-Beaumont. Sous la pluie, l'homme à la cravate rouge avait le visage grave et a tué le suspens qui existait encore pour la deuxième place. «Je crains que vous ne soyez un peu déçus», a-t-il commencé dans un silence de plomb. Des sympathisants ont laissé éclater leur tristesse ou leur colère devant cette défaite au goût amer. Avec 21,5 %, il est devancé par le candidat du PS Philippe Kemel (23,5 %), et loin derrière Marine Le Pen (42,3 %). Mélenchon s'est surestimé une fois de trop. Crédits photo : DENIS CHARLET/AFP Ah! Ségolène ...    Allez ma chère tu es déjà sacrée "Royal"    pas de cumul pour les sacres non plus...
En difficulté. «Il ne faut pas mélanger les voix de gauche et les voix sarkozystes», a clamé Ségolène Royal ce lundi matin, assurant que le président de la république François Hollande soutenait sa candidature. En tête avec 32,03% des voix, la présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes doit affronter Olivier Falorni (28,91%), ex-candidat socialiste, qui a vu d'un si mauvais œil le choix de son parti qu'il a préféré le quitter et maintenir sa candidature. Le candidat PS dissident a affirmé que sa décision de se maintenir au second tour était «irrévocable». La candidate UMP Sally Chadjaa, qui n'atteint pas les 12,5% minimum des voix des inscrits, s'est inclinée. Pour l'ex-candidate PS à la présidentielle de 2007, le scénario du second tour est donc une douche froide, alors qu'un sondage IFOP datant du 4 juin dernier la plaçait largement en tête d'une triangulaire.
En difficulté. «Il ne faut pas mélanger les voix de gauche et les voix sarkozystes», a clamé Ségolène Royal ce lundi matin, assurant que le président de la république François Hollande soutenait sa candidature. En tête avec 32,03% des voix, la présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes doit affronter Olivier Falorni (28,91%), ex-candidat socialiste, qui a vu d'un si mauvais œil le choix de son parti qu'il a préféré le quitter et maintenir sa candidature. Le candidat PS dissident a affirmé que sa décision de se maintenir au second tour était «irrévocable». La candidate UMP Sally Chadjaa, qui n'atteint pas les 12,5% minimum des voix des inscrits, s'est inclinée. Pour l'ex-candidate PS à la présidentielle de 2007, le scénario du second tour est donc une douche froide, alors qu'un sondage IFOP datant du 4 juin dernier la plaçait largement en tête d'une triangulaire." title="On sacre, consacre et malheureusement massacre..." />En difficulté. «Il ne faut pas mélanger les voix de gauche et les voix sarkozystes», a clamé Ségolène Royal ce lundi matin, assurant que le président de la république François Hollande soutenait sa candidature. En tête avec 32,03% des voix, la présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes doit affronter Olivier Falorni (28,91%), ex-candidat socialiste, qui a vu d'un si mauvais œil le choix de son parti qu'il a préféré le quitter et maintenir sa candidature. Le candidat PS dissident a affirmé que sa décision de se maintenir au second tour était «irrévocable». La candidate UMP Sally Chadjaa, qui n'atteint pas les 12,5% minimum des voix des inscrits, s'est inclinée. Pour l'ex-candidate PS à la présidentielle de 2007, le scénario du second tour est donc une douche froide, alors qu'un sondage IFOP datant du 4 juin dernier la plaçait largement en tête d'une triangulaire." border="0" />   «Il ne faut pas mélanger les voix de gauche et les voix sarkozystes», a clamé Ségolène Royal ce lundi matin, assurant que le président de la république François Hollande soutenait sa candidature. En tête avec 32,03% des voix, la présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes doit affronter Olivier Falorni (28,91%), ex-candidat socialiste, qui a vu d'un si mauvais œil le choix de son parti qu'il a préféré le quitter et maintenir sa candidature. Le candidat PS dissident a affirmé que sa décision de se maintenir au second tour était «irrévocable». La candidate UMP Sally Chadjaa, qui n'atteint pas les 12,5% minimum des voix des inscrits, s'est inclinée. Pour l'ex-candidate PS à la présidentielle de 2007, le scénario du second tour est donc une douche froide, alors qu'un sondage IFOP datant du 4 juin dernier la plaçait largement en tête d'une triangulaire. Crédits photo : Bernard Patrick/Bernard Patrick/ABACA Massacre au nom d'une divinité différente! Porquoi cette haine ancestrale entre les communautés religieuses.  On dit que la religion c'est l'opium du pauvre, alors comme pour toutes les drogues    Il faudrait peut être l'interdire....              
Tensions religieuses. L'Etat d'Arakan, dans l'ouest de la Birmanie, s'est réveillé ce lundi sous état d'urgence, après des violences meurtrières entre bouddhistes et musulmans. Les affrontements ont commencé vendredi dans la ville de Maungdaw avec pour origine, le viol et le meurtre d'une bouddhiste de l'ethnie Rakhine, imputés à des musulmans Rohingya. En représailles, dix musulmans ont été tués par une foule de bouddhistes. Les violences se sont ensuite étendues à la capitale régionale Sittwe et aux villages voisins. Dans les rues du centre-ville, où les restes calcinés d'habitations témoignaient des heurts des jours précédents, presque aucun homme ne se déplaçait sans arme blanche. Des camions militaires étaient déployés à l'aéroport et des forces de l'ordre étaient visibles autour des mosquées et des pagodes. Selon les autorités, au mois 7 personnes sont mortes, 17 autres ont été blessées et quelque 500 maisons ont été détruites.
Tensions religieuses. L'Etat d'Arakan, dans l'ouest de la Birmanie, s'est réveillé ce lundi sous état d'urgence, après des violences meurtrières entre bouddhistes et musulmans. Les affrontements ont commencé vendredi dans la ville de Maungdaw avec pour origine, le viol et le meurtre d'une bouddhiste de l'ethnie Rakhine, imputés à des musulmans Rohingya. En représailles, dix musulmans ont été tués par une foule de bouddhistes. Les violences se sont ensuite étendues à la capitale régionale Sittwe et aux villages voisins. Dans les rues du centre-ville, où les restes calcinés d'habitations témoignaient des heurts des jours précédents, presque aucun homme ne se déplaçait sans arme blanche. Des camions militaires étaient déployés à l'aéroport et des forces de l'ordre étaient visibles autour des mosquées et des pagodes. Selon les autorités, au mois 7 personnes sont mortes, 17 autres ont été blessées et quelque 500 maisons ont été détruites." title="On sacre, consacre et malheureusement massacre..." />Tensions religieuses. L'Etat d'Arakan, dans l'ouest de la Birmanie, s'est réveillé ce lundi sous état d'urgence, après des violences meurtrières entre bouddhistes et musulmans. Les affrontements ont commencé vendredi dans la ville de Maungdaw avec pour origine, le viol et le meurtre d'une bouddhiste de l'ethnie Rakhine, imputés à des musulmans Rohingya. En représailles, dix musulmans ont été tués par une foule de bouddhistes. Les violences se sont ensuite étendues à la capitale régionale Sittwe et aux villages voisins. Dans les rues du centre-ville, où les restes calcinés d'habitations témoignaient des heurts des jours précédents, presque aucun homme ne se déplaçait sans arme blanche. Des camions militaires étaient déployés à l'aéroport et des forces de l'ordre étaient visibles autour des mosquées et des pagodes. Selon les autorités, au mois 7 personnes sont mortes, 17 autres ont été blessées et quelque 500 maisons ont été détruites." border="0" />  L'Etat d'Arakan, dans l'ouest de la Birmanie, s'est réveillé ce lundi sous état d'urgence, après des violences meurtrières entre bouddhistes et musulmans. Les affrontements ont commencé vendredi dans la ville de Maungdaw avec pour origine, le viol et le meurtre d'une bouddhiste de l'ethnie Rakhine, imputés à des musulmans Rohingya. En représailles, dix musulmans ont été tués par une foule de bouddhistes. Les violences se sont ensuite étendues à la capitale régionale Sittwe et aux villages voisins. Dans les rues du centre-ville, où les restes calcinés d'habitations témoignaient des heurts des jours précédents, presque aucun homme ne se déplaçait sans arme blanche. Des camions militaires étaient déployés à l'aéroport et des forces de l'ordre étaient visibles autour des mosquées et des pagodes. Selon les autorités, au mois 7 personnes sont mortes, 17 autres ont été blessées et quelque 500 maisons ont été détruites. Crédits photo : © Reuters Staff / Reuters/Reuters

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