

Mais dans ce type de personnage indécis qui se laisse ballotter par les évènements je préfère Jean-PierreDaroussin que je trouve plus authentique ( peut-être est-ce l'image de Denis Podalydes homme de théâtre qui me renvoie un coté trop joué) et son omniprésence dans toutes les scènes avec une redondance des objets censés stigmatiser la situation ( la patinette électrique, les SMS, les tiroirs de la pharmacie) m'a un peu lassée et donne une impression générale de longueur. Une spectatrice résumait le fil en un mot: c'est mou!