La Convention internationale sur les droits de l’enfant du 20 novembre 1989 interdit, avec le langage diplomatique qui s’imposait malheureusement, les atteintes à l’intégrité physique d’un enfant qui ne soient pas justifiées par des raisons médicales.
« Article 24
3. Les Etats parties prennent toutes les mesures efficaces appropriées en vue d'abolir les pratiques traditionnelles préjudiciables à la santé des enfants. »
A destination de ceux qui pourraient pu être choqués que j’ai inclus la circoncision dans la liste des mutilations sexuelles condamnables, je préciserai que je n’ignore pas que les conséquences sur le plan de la sexualité sont d’évidence différentes. De même il est acquis que la circoncision a pu s’imposer dans le passé ou peut encore être nécessaire pour des raisons médicales, mais désormais elle est rarement justifiée par la Faculté, dans sa pratique, elle répond bien au souci des parents de « marquer » religieusement leur enfant. En vérité, elle ne répond pas aux besoins de l’enfant, mais je le répète à l’intérêt bien compris des adultes ce que condamne la Convention.
Le juridiquement correct :
http://jprosen.blog.lemonde.fr/2012/07/07/derriere-les-mutilations-sexuelles-sur-lenfant-le-rapport-du-laic-et-du-religieux-478/#xtor=RSS-32280322
Le médicalement nécessaire
http://www.tasante.com/article/lire/476/
Et aussi la précieuse Nettoue
http://www.choses.biz/article-touche-pas-a-mon-prepuce-107982955.html