Format Kindle, 29 avril 2012, 344 pages
Résumé de l'éditeur :
Le système financier mondial vient de s’écrouler. Il ne s’en relèvera pas, plongeant toute une civilisation dans le chaos.
Lawrence Newton a accepté sa destinée. Il a renoncé à ses espoirs, à ses convictions, et à l’amour de sa vie pour suivre les traces de son père au sein du consortium HONOLA.
Samson Bimda est le chef d’un village au nord de l’Ouganda. Les semences OGM vendues par la compagnie ruinent ses champs et ne lui permettent plus d’assurer sa subsistance.
Clara, Hakim et Louise sont trois militants au sein du mouvement écologiste GreenForce. Au hasard d’une de leurs actions, ils tombent sur des documents compromettants qui vont modifier radicalement la face du monde.
À la veille du plus grand sommet européen déterminant l’avenir de millions de personnes, chacun doit défendre ses intérêts, quitte à en payer le prix le plus lourd.
Mon avis :
J'avais bien aimé le précédent roman de l'auteur : "Pourquoi les gentils ne se feront plus avoir". Alors quand celui-ci m'a gentillement proposé de lire son dernier opus, j'ai accepté, sûre de passer un bon moment.
Je ne fus pas déçue, en effet. Car même si on ne comprends rien à la bourse et au délit d'initié, les méandres de la super-société HONOLA sont captivants et vraiment accessibles à la néophyte que je suis.
J'ai suivi avec plaisir les trois combattants de l'écologie et des droits des animaux à travers le monde ; mais aussi Lawrence, le converti à l'ultra-libéralisme.
Tout en cherchant qui pouvait bien être la taupe, vous connaissez mon côté amatrice de romans policiers.
Et puis, encore une fois, l'histoire d'amour est belle, soupirs....
L'image que je retiendrai :
Celle du chapeau de cow-boy de l'ex-ami de Lawrence, que celui-ci garde dans son bureau après avoir pris sa place, sans que je ne m'explique pourquoi.
Une première :
Ce roman m'a été envoyé sous format électronique. Mais je ne peux pas dire que je sois convaincue : la luminosité m'a gêné pour lire, et quand mon chéri ou les enfants avaient besoin de l'ipad, j'étais obligée d'abandonner ma lecture. Sans oublier que j'étais parfoisreliée à une prise électrique. Je peux désormais dire que je préfère les formats papier.
C'est aussi parce qu'un Ipad n'est pas une vraie liseuse qui, elle , n'est pas rétroéclairée et ne fatigue donc pas les yeux, elle a une grande autonomie et en plus, ne sert quasimant qu'à lire donc pas de risque de se la faire piquer pour autre chose !
