
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont utilisé un satellite de la NASA dans le but de surveiller les précipitations et la végétation. Une fois les données insérées dans un modèle de prédiction, il a ainsi été conclu que l'air qui circule assez longtemps au dessus d'une forêt est capable de générer deux fois plus de précipitations que s'il passait au dessus d'une région à la végétation plus rase. Un surplus d'humidité qui provient de l'évapotranspiration des feuilles.
Source : maxisciences.com
