A quel point ressemblons nous à nos frères, sœurs ou parents ? Une évidence pour notre entourage. Pour nous, une impossibilité à voir les similitudes dans des visages connus au micromètre près.
Ulric Collette a donc eu l’idée, simple et géniale, de mettre le split au profit de cette question.
Il en ressort une ébauche de réponse et un certain malaise à la vue de monstres dont on ne peut dire s’ils déragent par leur similitudes ou par leurs différences.
Un malaise physiologique du cerveau qui ne sait s’il doit chercher à séparer les deux visages ou au contraire tenter de créer une cohérence.
Les ressemblances familiales, comme des illusions d’optique.