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Se faire bien voir des profs

Par Gmcp13

Cela peut sembler un sujet périphérique puisqu'il n'est pas indispensable que ce soit le grand amour entre vous et vos profs pour que votre année de khâgne soit une réussite, étant donné que la correction de vos copies au concours est anonyme. En revanche, ce sont eux qui vous accordent ou non votre équivalence, qui vous mettent de bonnes ou de mauvaises appréciations sur vos bulletins (composante essentielle de votre dossier qui vous suivra toute votre vie) et enfin, ce sont eux que vous cotoyez tous les jours, qui vous lisent, qui vous instruisent, qui vous écoutent. Partir du principe que, de toute façon, ce ne sont que des profs, que dans deux ans vous ne les verrez plus et que vous pouvez donc les ignorer est, à mon avis, un très mauvais calcul.

Il est nécessaire de se faire bien voir des profs pour de multiples raisons : les inciter à prendre votre défense en cas de litige au moment de l'attribution des équivalences, les pousser à se montrer indulgents dans leurs appréciations même si les notes restent impartiales (on sous-estime toujours l'importance des appréciations), pouvoir leur poser toutes vos questions sans vous sentir méprisé, gagner la reconnaissance et l'estime de personnes supérieures (souvent normaliennes) qui sans cela auront tendance à vous prendre pour des moutons et ainsi, faire vos preuves et vos armes. En effet, les profs ne sont pas là uniquement pour vous faire cours et corriger vos copies (c'est l'avantage de la prépa sur la fac : vous n'avez pas de cours magistraux qui peuvent être dans les premières années d'une impersonnalité et d'une froideur scandaleuses). Ils peuvent vous aider, vous soutenir et surtout, sont des interlocuteurs avertis et instruits avec qui vous apprenez à dialoguer, donc à vous affirmer (non je ne fais pas l'apologie de la maïeutique moderne, mais honnêtement, y'a un peu de ça quand vous défendez vos points de vue en philo ou en litté).

Malheureusement, se faire bien voir des profs est un art complexe car son risque naturel est sa tendance au léchage de bottes, aussi appelé cirage de pompes voire lèche-cultisme ou lèche-boulisme. Attention, un point de grammaire qui n'est qu'un rappel mais qui n'est pas sans importance : on dit lèche-boulisme, lèche-bouliste, mais lécher les boules et non pas lèche-bouler. Certains profs en sont friands, mais pour la plupart ce n'est pas le cas, et je les comprends, car il doit être exaspérant d'avoir affaire à des lèche-bottes qui se croient constamment dans Question pour un champion (ce qui est heureusement un phénomène en voie de disparition, parce que contrairement à ce que l'on croit, en prépa, on n'est pas forcément fier de sa culture au point d'en faire un copieux étalage, et on n'a pas toujours envie d'écraser les autres par notre savoir éclatant).

Hey, I'm so clever

I'm so clever.

Comment lutter, alors, lorsque notre propre culture et/ou intelligence est éclipsée soit par notre retenue naturelle, voire une timidité maladive, ou encore par les "intellos" de la classe (qui ont la chance d'avoir toujours un truc pertinent à dire et surtout le courage de ne pas s'autocensurer) qui monopolisent les profs à chaque intercours ? Et comment parvenir à se faire bien voir des profs sans devenir un lèche-bottes collant et surexcité ? Le tout est de faire preuve de modération. Quand vous prenez une initiative envers les profs, n'en faites par trop, mais faites-en suffisamment. Il faut vous faire remarquer, mais dans le bon sens, et avec subtilité et parcimonie. Tout sera plus clair en exemples :

Montrer que vous savez des choses
Dans vos copies, ne faites pas un catalogue exhaustif de toutes vos lectures ou des exemples des profs scrupuleusement recasés mot pour mot. Les profs, comme tout le monde, n'aiment pas être plagiés ni manipulés. Faites plutôt un appel contrôlé et parcimonieux à vos connaissance en fonction du sujet. En khôlle, ne parlez de vos références qui n'ont pas un lien direct avec le sujet qu'en conclusion (et ne vous attardez pas pendant trois heures). Il faut pourtant montrer que vous avez une culture, alors constituez-vous une batterie d'exemples éclairés piochés dans plusieurs domaines (littérature, musique, physique, etc) que vous pouvez facilement appliquer à tous les sujets. En cours, si jamais un sujet évoqué est votre passion (les symphonies de Wagner, les protozoaires rhizopodes, les auteurs Mongols du 16ème siècle, etc) n'hésitez pas ! Levez-la main et exposez ce que vous savez en quelques phrases sans vous faire mousser. Il ne faut pas que ce soit à chaque cours et que vous essayiez d'avoir réponse à tout : ça ne sert à rien et c'est énervant. En revanche, c'est hyper gratifiant d'avoir l'occasion de se faire remarquer sur un sujet que vous êtes le seul à maîtriser.

Répondre aux questions
Les profs de lycée ont souvent un "élève référent", c'est-à-dire l'élève au regard attentif et compréhensif posé sur eux qui leur donne l'impression de ne pas faire cours dans le vide. Evidemment les profs peuvent avoir plusieurs élèves référents, mais vous avez sûrement déjà eu cette impression que le prof vous regardait très souvent dans les yeux (cela arrive généralement lorsqu'il cherche soit un volontaire, soit une approbation) ou au contraire qu'il vous ignorait complètement et ne regardait que votre voisine de droite. Pour qu'il vous regarde, il faut bien se mettre dans sa ligne de mir. Ne pas être ignoré du prof est très important (ça peut être utile qu'il se rappelle de vous au moment du conseil de classe). Donc essayez souvent de croiser son regard, et si jamais ce regard se pose sur vous alors qu'il pose une question et que vous connaissez la réponse, naturellement, c'est à ce moment-là qu'il faut parler. Je sais que c'est une pratique courante entérinée depuis des siècles, mais je n'aime pas l'idée de lever le doigt pour montrer au prof qu'on sait. Alors que si vous croisez son regard d'un air entendu au moment précis où il cherche quelqu'un, vous établissez une connivence et en plus, cela donne l'impression infiniment gratifiante d'être à au bon endroit au bon moment.

Parler avec les profs
Si vous avez une question ou une idée sur le cours ou à propos de votre orientation, n'hésitez pas à aller, de votre propre initiative, parler aux profs aux intercours. Si c'est juste pour dire "j'ai pas bien compris tel point...", en revanche, faites-le plutôt en cours, d'une part pour faire profiter la classe de l'explication et d'autre part pour que le souvenir du prof se concentre sur un tête-à-tête où vous avez parlé d'égal à égal et non pas de personne qui a la science infuse à pauvre petit mouton qui n'a rien compris à la vie. Quand vous parlez à votre prof, regardez-le bien dans les yeux, et pareil en khôlle, ils le disent tous. Le contact visuel, c'est hyper important pour qu'on se rappelle de vous, et en plus, on fait rarement confiance aux gens qui ont le regard fuyant. Pour ne pas vous transformer en lèche-botte, n'allez pas parler à votre prof à chaque intercours. Trois-quatre fois dans l'année suffisent pour laisser une image nette et favorable.

Respecter les profs
Inutile de rappeler que les règles élémentaires de politesse sont de rigueur, mais surtout, ce point concerne les absences, qui peuvent arriver à tout le monde, mais qui sont parfois épineuses à gérer en prépa où nous sommes relativement fliqués. L'usage veut qu'on donne un mot avec un motif écrit au prof lorsqu'on a manqué un de ses cours, mais je suggère d'aller s'excuser en personne en invoquant le motif de la maladie (et en variant les plaisirs maux) avec des yeux de chien battu, de préférence. C'est un motif qui peut sonner banal, mais l'avantage est que personne ne peut aller vérifier. Donnez quelques détails pour faire plus vrai. Par exemple, la fièvre est un argument imparable. Tout le monde comprendra que vous êtes resté chez vous si vous aviez de la fièvre, et en même temps, elle peut passer très vite avec un cachet, c'est donc idéal si vous avez trié les cours si vous n'avez loupé qu'une demi-journée. Mais attention de ne pas trop en faire, l'échange doit rester bref pour ne pas avoir l'air de quelqu'un qui se plaint tout le temps. Aller s'excuser d'une absence plutôt que de simplement donner un vulgaire mot où il est inscrit "motif : santé" fait tout de suite plus respectueux et plus authentique. Le but n'est pas de l'apitoyer, mais de se soustraire à toute éventuelle suspicion de séchage, pratique exécrée et fougueusement combattue par l'ensemble du corps enseignant.

A éviter
- Parler en verlan, langage wesh-wesh, accent racaille.
- Ecrire en abréviations ou langage sms dans une copie.
- Publier des caricatures de profs sur un blog où tout le monde peut aller.
- Dormir en cours, ou même simplement avoir l'air de s'ennuyer profondément.
- Boycotter assidûment un même cours sur plusieurs semaines.
- Remettre en cause ses méthodes d'enseignement ou ne pas approuver ses critiques.
- Lui dire que l'ENS c'est du vomi de cassoulet fermenté, que vous n'avez pas besoin de lui, l'insulter et lui jeter des pierres.

Se faire bien voir des profs
Bonjour,

Je n'ai aucune idée de si tu as déjà fréquenté les bancs de la fac (probablement jamais), seulement je n'ai jamais ressenti de 'froideur proprement scandaleuse' et j'ai beaucoup plus l'impression d'être proche de mes profs qu'au lycée, alors que nous étions moins nombreux. En Cours Magistraux, ils sont (pour la plupart) très efficaces lorsqu'on va les voir à la fin de l'heure avec nos questions, et remarquent rapidement les élèves motivés des autres...

Quant aux TD, nous sommes une petite vingtaine, et là nous avons clairement une relation 'privilégiée' avec le prof en question.

Donc cela serait agréable de ne pas réduire la fac à ces clichés réducteurs... cela dépend des filières et des facs bien sûr, cependant pour l'avoir vécu trois années de suite (je suis actuellement en L3) je ne me sens pas larguée et à l'abandon dans l'océan fachard.

(Au delà de ça, un article plutôt efficace et assez juste, surtout sur 'l'élève référent'. Moi qui aies tendance à baisser les yeux, ça ne doit pas jouer en ma faveur...).

Se faire bien voir des profs
Tout à fait d'accord avec ton message, qui s'adapte tout à fait au lycée! Pour ma part, je sais que j'ai une professeur que j'adore et pour laquelle j'ai de l'admiration mais du coup, quand elle me parle en rendant une copie ou après un cours, j'ose difficilement la regarder dans les yeux, par peur de faire transparaître mon admiration :S

Se faire bien voir des profs
Bonjour,

Je trouve ton blog plutôt agréable et intéressant mais là je suis assez peu d'accord avec cet article. Je commenterais linéairement, même si l'on n'est pas en khôlle de litté ça rendra la chose plus claire.

C'est un sujet important, voire primordial, je suis totalement d'accord, mais faire un guide qui s'applique aux relations humaines me semble un peu risqué. En effet comment peux-tu établir une règle car les profs sont avant tout des Hommes avant d'être des profs. Ce dialogue est un "art complexe" ? Pas tellement d'accord ou sinon cela veut dire que tous les rapports humains sont complexes pour toi ou du moins ce avec les personnes dites adultes, ce qui est une mode générationelle et sociétaire, les adultes à une table les enfant à une autre, c'est bien comme ça pas d'échange, et on oublie que toute génération peut et doit apprendre de l'autre quels que soit le milieu social ou la fonction. Ensuite en ce qui concerne les "lèche-bottes", tu dis qu'il exaspère les profs mais j'ai pu observer le contraire sans aucun problème vu la vanité que peuvent avoir certains profs, mais ces profs-là sont peu nombreux. Et vue l'intérêt manifesté dans ton article ton guide ressemble à celui du "lèche-bottes partielle". En ce qui concerne recevoir de l'estime de personnes qui sont supérieures, je crie, je gueule, je hurle : ONASNISME ! En effet c'est s'auto-mutiler que de considérer les profs comme des êtres supérieurs, ce sont des personnes savantes, soit, mais pas plus supérieures qu'un charpentier, ou un expert en biochimie. Ils possèdent plus de savoir, en ce qui concernent un domaine qui nous intéresse ou pas, ils possèdent plus d'expérience de part leur âge, mais reste des êtres différents de nous, ainsi que de toutes personnes, mais reste égaux. Après je suis d'accord que l'on peut être confronté à des génies qui ressortent par leur charisme ou leurs aptitudes ou je ne sais quelles autres choses, mais ce n'est pas le cas de tous les profs. "Comment lutter, alors, lorsque notre propre culture et/ou intelligence est éclipsée soit par notre retenue naturelle, soit par des boulets d'intellos qui monopolisent les profs à chaque intercours ?", je répondrais simplement : "se sortir les doigts du C** ou plutôt de la bouche, gueuler devant son miroir, apprendre en lisant ou observant comment obtenir de l'aisance en société, perdre sa timidité, doser son temps de parole, comprendre les comportement, plaire, etc !" En effet j'ai vraiment l'impression que tu voit les profs comme une nature et non une fonction, en effet les profs sont dans le contexte scolaire des enseignants, mais pour ce qui est du dialogue, je pense que le facteur premier n'est pas leur condition de profs, mais celle d'humain, si j'ose dire, tout simplement. La "modération" est juste bonne pour la mollesse et les salon mondain ou fastueux, du moins pour tout ce qui est ultra-normé, en ce qui concerne une opinion, ou un cours, la moindre des exigences c'est de vivre la chose un maximum, et je pense que n'importe quel personne et même toi ont remarqué que les profs les plus intéressants était ceux qui vivait leur matière, leur sujet, leur concept ! Et cette qualité de partage, elle est avant tout humaine, même si le cadre, lui, est scolaire.

Il est donc maintenant temps de revenir à ce que je disais sur le "guide", qui pour moi est irrationnelle, en effet il y a des conseils utiles, mais du reste, tout dépends de la personne, et c'est cette subtilité, qui permet de justement "être bien vu des profs". Qui au passage est complètement affligeant, car l'article devrait se nommer, "comment bien s'entendre avec ses profs ?" ce qui permettrait dès le départ d'avoir une base beaucoup plus sincère, philanthrope, et moins hypocrite. En effet ton titre s'appliquerai plus à "comment séduire un jury de l'ENS" car il n'y aura pas de relation mais une entrevue, en ce qui concerne tes profs de Hypo/Khâgne/Khûbe/Bi-Khâré tu vas les voir un à quatre ans, il n'est pas donc pas uniquement judicieux d'être un malicieux séducteur, mais il est plutôt habile de nouer une réel relation avec le prof.

En ce qui concerne la culture, quel intérêt de se cantonner à une batterie d'exemple, le cours n'est pas fait pour déballer un ou deux exemples appris au préalable, mais pour solliciter l'intellect, et les connaissances divers et variées que l'on peut avoir accumulées par différents supports. Peu importe qu'il soit peu clairs, c'est de l'oral, ils seront clarifiés collectivement, l'intérêt d'un cours et d'une khôlle, voire d'un devoir sur table, c'est que l'on peut se tromper, sans risquer notre concours. Pourquoi ne pas participer sans arrêt ? Où est le problème ? Au contraire, chaque moment de questionnement et d'échange du cours devrait être parsemé d'une trentaine de mains levées, sans rire, où est le souci si c'est un minimum pertinent et sans orgueil prépondérant voire tout court ? Personnellement il n'y a pas un cours où je ne participe pour poser une question, relever un point que j'aimerai préciser, faire un rapprochement bateau ou audacieux, etc... Et de toute façon si je ne le fais je m'endors, parce que PUT** de MER** un cours n'est pas fait pour être un moment de passivité totale ! Pour ce qui est ce "moment de gloire" auquel tu aspire, c'est assez triste, il n'y a rien d'extraordinaire à être pertinent, c'est notre rôle "d'élève", de plus tu dis précédemment "Levez-la main et exposez ce que vous savez en quelques phrases sans vous faire mousser.", qui nous fait plutôt penser le contraire, qui me paraît en effet juste, après il est normal que quand on tente quelque chose d'audacieux et que cela passe on soit content, et c'est tout à fait normal d'être auto-satisfait. De plus on sent une véritable rivalité ou un complexe d'infériorité dans la tournure "sur un sujet que vous êtes le seul à maîtriser", pour le coup, c'est vraiment de la frime, ou je ne sais quel preuve devant les autres.

Au sujet des questions, ce que tu dis au niveau de l'élève refférent est en quelque sorte assez vrai, ce que tu dis à propos du regard est aussi vrai, mais cela mérite d'être développé et ne s'applique pas qu'au prof, c'est un grand atout dans la société que de savoir comment placer son regard en général. La réponse naturelle au regard qui tombe sur nous est aussi vraie. Mais quel est ce délire en ce qui concerne le "lever de doigt" ? "humiliant et prétentieux", heu ... c'est juste une manière codifiée pour ne pas tourner le cours en une cacophonie, et que les temps de paroles soient respectés et variées, et puis si cela se passe bien l'oubli de lever la main se fait naturellement et le cours devient un grand dialogue/débat autogéré.

Pour ce qui est de "parler avec le profs" c'est dogmatique, déplacé et subjectif. En effet si l'on a pas bien compris quelque chose qui semble compris de tout le monde dans le cours, rien ne sert de faire perdre du temps à tout le monde, et ce n'est pas parce que l'on parle à un prof après le cours que l'on est en position d'infériorité, on n'a pas compris, il n'y a rien d'alarmant, ni d'humiliant, demander quelques précisions n'a rien de déplacé. Et le prof est comme je l'ai dit précédemment un être humain, donc fini cette histoire de mouton et de grand berger ... Et le clou du spectacle c'est cette espèce de tentative de quantification, peu importe combien de fois on va voir le prof, si c'est pertinent et courtois. En effet ce qui fausse ton jugement, c'est l'impression que tu donnes dans ton article, et tout part du titre, d'hypocrisie, si tu vas parler avec le prof admettons tous les deux cours, pour demander ou approfondir un truc, ça ne fait pas de toit un lèche-botte si tu es sincère. En effet les relations HUMAINES ne sont pas quantifiables, surtout si c'est dans un cadre scolaire, où demander quelque chose concernant le scolaire à son prof n'a rien de dérangeant. lLe "trois-quatre fois dans l'année" est tout bonnement terrible, c'est vraiment l'expression d'une hypocrisie ou de voir le prof comme un objet, il doit "bien me voir" devient une obsession, mais attends ! Tu peux aussi avoir un certaine affection pour un prof, sans que ce soit exacerbé mais comme tu pourrais l'avoir pour une connaissance de café ou un collègue divers, même parfois comme un ami quand cela se prolonge post-scolarité. Je mange moi-même encore de temps en temps avec une prof d'histoire que j'avais en 6ème pour te dire. Je dialogue souvent avec des profs que j'avais en terminale etc. Je suis pas là pour raconter ma vie mais ce sont de bons exemples.

Pour finir sur le respect, en effet c'est une règle élémentaire, mais qui là encore s'applique à toute la société, et à tendance à se perdre un peu trop ... Ne serait-ce que dire bonjour, merci, bonne journée, bonne soirée , etc ... Rien de trop fatiguant, mais fort plaisant tout de même. Les excuses de maladies doivent tout de même être très rigoureuse car les profs de Khâgne sont de loin les moins dupes ! En tout cas je n'ai rien contre ces petites ruses qui ont tous pues nous servir un jour ou l'autre.

Voila enfin tout ce que je peux te dire c'est du vécu, que j'essaie de partager avec du recul, mais personnellement et sans vantardise aucune, j'ai toujours eu beaucoup d'aisance en société, et c'est ce qui m'a permis d'aller en prépa avec des notes un pas exceptionnelles mais des appréciations d'enfers. C'est également ce qui m'a permis d'aller en Khâgne, refusé par mon propre lycée mais aidé par quelques profs pour aller dans une autre Khâgne et convaincre la directrice de marquer sur mon bulletin que ma non-acception en Khâgne ne concernait que mon lycée ainsi que de contacter d'autre collègue dans un lycée pour que je puisse y entrer. En tout cas je peux te dire que la sincérité, l'amour du dialogue et l'aisance en société paie toujours.(même si dans le cas présent ma hargne tout au long de l'année m'a aussi servie) Car si je ne m'étais pas comporté comme je me suis comporté je serai à l'heure qu'il est peut-être en fac sans équivalence.( Je n'ai malheureusement jamais été scolaire...) Et figure toi que les profs qui m'on défendus n'on pas fait une erreur car cette année j'ai bien plus de réussite en ayant bossé cet été. Enfin bref encore une fois malheureusement, je me cite à titre d'exemple, et je m'arrêterais là. Je sais que tu dois te dire que je suis un gros lèche-boule, mais je peux t'assurer que ce n'est pas le cas ! Car mon but premier au contraire n'est pas de m'attirer des faveurs, mais de dialoguer et de, pourquoi pas, nouer une relation humaine. En prenant un cliché je ne m'excite pas sans cesse, je ne suis pas plein de bouton, je ne suis pas rejeté d'aucune communauté au contraire, je ne suis pas complexé, je ne suis pas tordu, je ne suis pas mal dans ma peau, je ne suis pas zélé, mais au contraire, je suis plutôt branleur, je ne vise pas spécialement le concours, je fais une prépa juste pour ma culture personnelle et l'apprentissage de la méthode et la rigueur, et oui, si cela pourrait être un mal et une caractéristique de lèche-bottes, j'aime ce que je fais, ça me passionne, et c'est pour cela que je le fais et que je vis chaque cours comme si c'était le dernier, et de ce fait même s'il m'arrive de dormir en cours assez fréquemment, les profs ne me sanctionne pas ou peu car c'est par manque de repos et non d'intérêt.

Donc bon courage pour la suite, mais attention au recul dans tes articles, veille à ne pas sombrer dans le dogmatisme, et dans la subjectivité. J'espère que tu ne prendras pas mal ce commentaire, qui n'a aucun but méchant, ou nuisible, qui veut juste défendre un point de vue face à quelque chose qui l'a un peu outragé car elle lui semble fausse.

Bonne soirée,
Cordialement,

Adli

PS : Le nouveau design du blog est vraiment cool !
PS2 : Si c'est toi qui a fait le design, je suppose que les petites images qui tourne pour le partage sont du CSS3/HTML5, quelles sont les valeurs correspondantes.
PS3 : flemme d'une relecture attentive donc désolé pour l'orthographe
PS4 : Je n'exige pas de réponse de ta part, mais cela serait cool !

Se faire bien voir des profs
Je vais également te répondre linéairement, car je vois mal comment faire autrement vu la tartine de sermon qui m’est imposée. Premièrement, ce n’est pas du tout le dialogue avec les profs que je qualifie d’ « art complexe », mais simplement la capacité à maintenir durablement de bonnes relations avec l’ensemble du corps enseignant. Et deuxièmement, le caractère ironique de cette expression ma paraissait transparent, étant donné que les profs ne sont pas des monstres et qu’il est très facile d’être en bons termes avec eux. Quand à ta déduction débilo-psychologique très réductrice selon laquelle mes relations avec les autres sont complexes, premièrement je ne te permets pas d’en juger, et deuxièmement, je te rassure, je me débrouille très bien de ce côté-là. Et je considère depuis toujours qu’il est non seulement normal mais aussi pratique de laisser les enfants à leur place, c’est-à-dire à la table des enfants, pour ne pas les avoir dans les pattes car j’éprouve en effet une haine immodérée pour les parents qui m’imposent leurs gamins.

Je dis en effet que les « lèches-bottes » exaspèrent les profs, mais si tu savais lire, tu aurais vu que j’ai aussi écrit que « certains profs en sont friands ». L’adverbe « certains » signifie que ce n’est pas la majorité, mais que ça existe quand même. Je maintiens que les lèches-bottes sont énervants, aussi me semble-t-il contradictoire que cet article soit interprété comme un guide pour devenir partiellement lèche-botte. Comme l’indique le titre, c’est plus un regroupement de conseils pour se faire bien voir, sans hypocrisie, sans excès, sans lécher les bottes. Je te suggère donc de relire l’ensemble de l’article en cherchant tous les mots dans le dictionnaire et en y ajoutant un filtre « second degré ».

Tant mieux pour toi si tu te masturbes, mais je ne vois pas pourquoi je ne penserais pas que mes profs sont supérieurs à moi alors que la moitié ont fait l’ENS et l'autre moitié ont passé l’agreg en sachant pertinemment que je n’aurai ni l’un ni l’autre, même avec tout l’optimisme du monde. Rien que pour ça ils ont mon respect et mon admiration, c’est naturel, et même si je n’ai rien contre les charpentiers, il me semble tout de même qu’une différence de pallier intellectuel est à noter entre un prof de prépa et un charpentier. Cette idée de l’égalité entre les petits enfants et les adultes ou entre les élites intellectuelles et les paysans me fait penser que cérébralement et idéologiquement, dans les deux cas, tu te situes dans la mauvaise catégorie.

Je te cite : « Je répondrais simplement : "se sortir les doigts du C** ou plutôt de la bouche, gueuler devant son miroir, apprendre en lisant ou observant comment obtenir de l'aisance en société, perdre sa timidité, doser son temps de parole, comprendre les comportement, plaire, etc » Cette réponse me semble en effet remplie à ras bord de la vanité et de l’impudence qui est la tienne pendant toute ta pseudo-argumentation. Comment n’y ai-je pas pensé plus tôt ? Ecoutez tous, chez khâgneux, voilà la solution pour dépasser vos profs et maîtriser parfaitement vos oraux ! Gueulez devant votre miroir (parce que si vous lui parlez juste, il va pas comprendre), observez les bourges qui font de l’esbroufe en société, perdez votre timidité, pouf, comme ça (faites un effort, c’est pas si dur, vous avez juste à la perdre…), dosez votre temps de parole, avec un bol doseur c’est mieux mais une balance peut faire l’affaire, comprenez les comportements… Comprendre les comportements, ça a l’air d’être ta grande passion. C’est bien, il faut une grande passion pour se donner le sentiment d’exister, dans la vie.

Je ne vois pas particulièrement les profs comme une nature. Je pense en effet qu’ils ont à la fois une nature ET une fonction, comme tout le monde, comme toi ta nature c’est probablement d’être un être humain, peut-être paysan, peut-être pédophile, peut-être illettré, je ne sais pas, et ta fonction de flooder sur mon blog quand t’as rien d’autre à foutre. En revanche, je pense que dans le milieu scolaire, il est déplacé, inutile, voire malsain de considérer ses profs autrement que comme ses profs. Ca me paraît en tout cas contraire à la déontologie. Chacun à sa place, cela n’empêche ni les échanges, ni le respect.

Je te cite : « La "modération" est juste bonne pour la mollesse et les salon mondain ou fastueux » En plus d’être inculte, illettré et idiot, tu sembles en plus rebel et révolutionnaire. Mais c’est bien, tu as raison, il faut des gens pour faire bouger les choses. Je compte sur toi pour supprimer tous les profs mous de cette terre. Après tout, s’ils ne vivent pas leurs cours, ils ne doivent pas être très humains, donc pas de quartier. Et je te signale juste au passage qu’il n’y a aucun lien entre le fait de vivre sa matière et de fréquenter les salons, mais notre logique semble de toute façon divergente. Ma logique suit le sens commun, alors que la tienne ne mérite même pas ce nom, aussi ne vais-je pas m’évertuer à t’exposer un raisonnement rigoureux.

Sinon, oui, effectivement, mon « guide » comme tu sembles vouloir l’appeler, est complètement irrationnel, et heureusement que tu es là pour répondre aux questions des étudiants qui se demandent comment entretenir globalement de bonnes relations avec leurs profs : CA DEPEND. Quelle subtilité, quelle admirable philanthropie dans les termes employés, merci pour ta contribution au débat. "Ca dépend", la réponse à toutes vos questions. Je ne vois pas pourquoi je n’appellerai pas cet article « comment se faire bien voir des profs » car c’est exactement ce que cherchent les étudiants sur google, et moi, je cherche à aider les étudiants, et non pas à servir les nobles buts d’une ambition qui me semble à la fois inutile et sectaire. Je répète qu’il ne faut pas « nouer de réelles relations avec les profs » (bien que j’ignore tout ce que suppose ton expression, je ne peux qu’imaginer le pire après tout ce que je viens de lire de toi) alors, non, chers khâgneux, n’écoutez pas ce dangereux individu, ne manifestez pas vos pulsions philanthropiques par un partage très profond et personnalisé avec vos profs, cela ne peut être que nocif à l’épanouissement d’un classe entière, qui est le REEL enjeu humain de la khâgne.

Maintenant, je me pose une question cruciale. As-tu fait une khâgne ? Au vu de ton écriture, du fil de ta pensée complètement décousu et de ton argumentation stérile, je dirais que non. Donc si tu avais fait une khâgne, tu saurais que nous n’avons pas le temps, en fait, d’apprendre par cœur 600 pages de cours par matière en un an. C’est humainement impossible, toi qui aimes tant les humains. Il est donc de première nécessité de choisir un petit nombre d’exemples (évidemment développées, argumentés, soigneusement sélectionnés, etc.) et il est très pratique de réutiliser ces exemples pour mieux les maîtriser et pouvoir en extraire toutes les idées au fil de ces utilisations dans divers contextes, contextes qui eux-mêmes découlent d’un raisonnement qui ne dépend que du sujet, et qui est le résultat d’une réflexion. Et, tu as raison, peu importe qu’ils ne soient pas clairs, on s’en fiche, puisque c’est de l’oral… Franchement. A-t-on jamais besoin d’être clair à l’oral ?

Aaaah, autre débat intéressant. Pourquoi ne pas participer sans arrêt pendant un cours ? Ce serait le bonheur que tout le monde dise ce qu’il pense à chaque instant ! Plus d’hypocrisie, plus de timidité, plus de faux-semblants. Que du bonheur, pour le prof qui serait si interrompu qu’il ne pourrait pas poursuivre son cours et pour les élèves, qui vivraient un pur moment de partage et d’humanité dans une ambiance joyeuse ? Mais non, mais tu as raison, où est le problème ? Nulle part. Jubilation totale. Tu floodes sur la blogo, tu floodes partout en fait. Tant mieux pour toi si tu gaves le prof avec tes questions toutes les trente secondes mais je ne crois pas, une fois de plus, que l’excès soit la réponse au phénomène de parcimonie qui frappe les élèves intelligents (la majorité en prépa), que tu condamnes et qualifies injustement de passivité. Pour moi, quand on n’a rien à dire, on ferme sa gueule (ou on jette son clavier…)

Tu me critiques (« …moment de gloire auquel tu aspire, c'est assez triste ») et tu réponds toi-même aux objections que tu me fais (« il est normal que quand on tente quelque chose d'audacieux et que cela passe on soit content, et c'est tout à fait normal d'être auto-satisfait ») Parfait, ça m’évite d’avoir à le faire.

« De plus on sent une véritable rivalité ou un complexe d'infériorité dans la tournure "sur un sujet que vous êtes le seul à maîtriser", pour le coup, c'est vraiment de la frime, ou je ne sais quel preuve devant les autres. » C’est que cela n’a jamais dû t’arriver.

« Lever le doigt » en cours, c’est ce qu’on apprend comme des moutons aux élèves de CP pour avoir la paix. C’est très pratique, comme code, je ne le nie pas. Mais ça renvoie trop à la petite enfance pour que j’apprécie cette pratique. (J’aime pas les enfants).

Maintenant j’ai un peu la flemme de répondre linéairement au reste de ton commentaire, si on peu appeler commentaire ce tissu inconsidéré d’immondices intellectuelles et cet étalage impudique d’un avis dont je me fiche, finalement. Je vais donc résumer ma pensée générale pour les quatre derniers paragraphes de ton texte. (Je viens d’apprendre au passage que tu as fait une khâgne, ce qui prouve une fois de plus la baisse scandaleuse du niveau des étudiants de prépa et pourrait me terrifier si je me souciais de l’avenir de l’éducation en France.) Je suis très contente pour toi si tu t’entends bien avec tes profs, et pour tous les étudiants de la terre qui s’entendent bien avec leurs profs. Tant mieux si tu sais mieux t’exprimer à l’oral qu’à l’écrit (ça vaut mieux pour toi). Je ne te trouve absolument pas lèche-boule puisque un lèche-boule cherche à s’attirer les faveurs de son interlocuteur, or, toi, tu sembles tout faire pour m’exaspérer et me donner envie de vomir.

« je ne suis pas plein de bouton, je ne suis pas rejeté d'aucune communauté au contraire, je ne suis pas complexé, je ne suis pas tordu, je ne suis pas mal dans ma peau, je ne suis pas zélé » Rien que la mention de cette phrase de persécuté me semble l’affirmation explicite du contraire. NON JE SUIS PAS UNE VILAINE MENTEUSE. Même pas vrai.

Bref. Merci de m’avoir raconté ta vie. Merci pour le partage d’expériences. Merci pour la philanthropie gratuite. Conseils : apprends à écrire. Va t’acheter un humour et éventuellement un cerveau avec.

Avis à tous : si vous n’êtes pas contents de mes articles, arrêter de me lire et allez pratiquer votre humanisme à deux balles ailleurs. Ca fera de la merde en moins à nettoyer. J’écris pour aider ceux qui en ont besoin, faire rire ceux qui dépriment parce qu’ils sont en prépa et soutenir les étudiants dans leur galère. Pas pour provoquer des pseudos débats complètement vains sur des sujets pathétiques. Ca me gave, et si j’avais voulu le faire, il est évident que j’aurais construit mon texte différemment.

Pour conclure, je crois que c’est toi qui as déliré, et comme personne ne t’écoute (et je comprends pourquoi), tu es venu délirer sur mon blog en essayant de provoquer une réaction. Je regrette déjà de t’avoir répondu, car je sais que tu vas me re-répondre et surenchérir tout ce que j’ai dit en critiquant de plus belle et en te défendant sur ton incroyable magnétisme. Je t’invite donc à aller t’enfoncer la tête dans le sable en inspirant très fort.

Se faire bien voir des profs
Hé les gens, peace!
Le sujet que tu as développé Khâro (abréviation oblige, j'ai khôlle demain donc je suis obligée de taper rapidement) est effectivement intéressant et utile, mais les objections d'Adli sont pertinentes également. Vous avez deux points de vue fort différents sur la question. C'est intéressant de vous lire! Le dialogue sur de tels sujets est particulièrement constructif et même nécessaire.
Le seul aspect regrettable de cet échange c'est l'agressivité, pour ne pas dire la méchanceté et la gratuité, de certains propos. On est en khâgne, le dialogue constructif, est, je le crois et l'espère, encore possible sans qu'on ait besoin de produire une diarrhée verbale à l'égard de l'autre, surtout lorsqu'on ne le connait pas. Détruire l'autre par propos interposés sur internet est trop facile pour mériter la moindre miette d'admiration. Mais même à notre âge, la passion et l’immaturité nous menacent constamment, malheureusement... Faut-il encore faire le choix de lutter contre.

Je répondrai seulement à votre débat en ajoutant mon propre point de vue: faites comme vous en avez besoin. L'important n'est pas dans la classe, il est dans votre coeur, dans vos envies et vos ambitions. Alors, lever la main ou se la fermer ... Quoiqu'il en soit, l'important c'est d'être respecté et estimé dans ce que l'on est. Ensuite, sur la question de la régression en khâgne, rappelons-nous que nous sommes des larves intellectuelles et que la valeur d'un discours, aussi brillant soit-il (tu écris très bien Khâroline), ne représente que la misérable coûte de ce que l'on est vraiment.

Libre à vous de vous insurger contre moi, cela m'est bien égal. Je ne veut pas jouer l'arbitre, ni faire le vieux sage, mais seulement vous dire que je trouve dommage qu'on en arrive à de tels propos sur des sujets pareils qui méritent ouverture d'esprit et dialogue.

Je terminerai sur un slogan que j'aime bien : "peace and love". Expression, certes commune, mais qui devrait constituer la base des rapports sociaux.

Bon courage à vous deux!

Se faire bien voir des profs
Merci Juliette de venir rétablir l’ordre sur mon blog, ça me fait très plaisir, j’adore ça. Bon alors maintenant, je vais parler gentiment, pour les hippies que mes vilaines méchancetés gratuites choquent.

Je n’aime pas trop l’idée qu’on vienne raconter sa vie sur le site des autres. Je n’ai absolument pas envie de me faire détester, mais honnêtement, purée, je ne trouve pas vos remarques justifiées (je n’ai jamais nié la nécessité des rapports humains en prépa et je ne vois pas où est le côté outrageux de mes remarques sur les profs). Et de toutes façons, elles me semblent décrédibilisées au moins de moitié au vu du nombre de fautes d’orthographe, khâgneux ou pas. J’admets les critiques, il y en a beaucoup sur ce blog, mais quand elles sont bidon je réagis au quart de tour et c’est normal. Jugez-moi là-dessus si ça vous fait plaisir.

J’écris parfois des trucs débiles, inutiles et je ne m’en cache pas, alors arrêtez de me gonfler avec vos pseudo-débats, je vous ai déjà dit que je n’aime pas les grandes discussions sérieuses et prolixes, j’ai juste envie de déconner sur ce blog, pas de me prendre la tête. Donc faut vous détendre.

Se faire bien voir des profs
Moi, j'aime bien cet article.
(commentaire contrastant avec les grands discussions sérieuses et prolixes du dessus).
Moi, j'aime bien ce blog et je le lis régulièrement, je voulais te remercier.
Bonne soirée.

Se faire bien voir des profs
allez bosser au lieu de vous crêper le chignon

Se faire bien voir des profs
Khâroline, c'est un plaisir de te lire. Ton blog est complet, drôle et somme toute utile: continue.


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