Une écriture âpre, sans formule choc, racle, telle un soc, les paradoxes de nos vies, de nos morts.

Ce roc s’attaque au piolet et celui qui en terminera l’ascension se souviendra longtemps de ces personnages blessés par les petites haines.
Si je n’ai pas su terminer l’ouvrage, c’est que la langue de de Prada est trop rocailleuse. Mais soyez comme ma libraire Lucille, l’Heure des Mamans à Versailles, et ne resterez pas insensible à cette métaphysique des blessés.
Il me faudra relire cet ouvrage. J’ai loupé quelque chose… Grrrrr !
