Comme à l’époque de Jack ou de « l’Homme à la tête de chou et au cœur d’artichaut », j’ai la chance de travailler cette année avec un metteur en scène (une « metteuse en scène ») avec laquelle nous sommes sur la même longueur d’ondes. Bonne complicité aussi sur ce projet qui a émergé cet été et pour lequel nous avons eu l’occasion de discuter.
Après quelques séances d’impro et d’exercices, nous abordons la question de la mise en scène. Le texte étant prêt, les choses vont pouvoir aller vite. L’idée est de varier nos décors avec un fond de diapos ou un film représentant la route. Nous avons pensé aussi à une série d’images empruntées à Hopper, non que Hopper, avec ses visions parfois lisses et policées soit en parfaite adéquation avec l’Amérique violente et déjantée de Kérouac mais, au fond, parce que d’une certaine façon, il remet en cause cet ordre là.
Et pour savourer Hopper, je vous renvoie sur ce site...