Magazine Cinéma

Les réseaux géobiologiques

Par Darkstein

de Gilbert Fleck / Jean-Pierre Garel.

La géobiologie, considérée comme une pseudo-science par les instances pensantes, étudie l’influence de l’environnement sur le vivant, c’est à dire les champs magnétiques, cosmo-telluriques, failles sismiques, cours d’eau souterrains, etc.

La théorie des réseaux Hartmann définit une sorte de quadrillage magnétique du globe dont la nocivité serait liée aux noeuds. Ce quadrillage N/S – E/O est complété par un réseau Curry, qui lui est en diagonal du précédent.

Si le champ magnétique N/S a été démontré, et que l’on peut supposer qu’une force électromagnétique soit induite de la rotation de la Terre (champ qui serait donc parallèle à la déclivité de notre astre), on peut supposer une influence des ondes dissipées sur les corps vivants, comme un catalyseur. Cependant, le livre ne se fonde que sur des observations empiriques, sans appareil de mesure autre que le corps humain « que l’on n’écoute plus » (outre les pendules, baguettes de sourcier, etc. pour identifier les sources potentielles), d’où les controverses engendrées par ce type de démonstration.

Le livre est intéressant et ouvre la voie à des possibilités de mieux-être liées à la maîtrise de l’environnement, un peu comme le Feng-Shui. Je reste cependant dubitatif sur certains points plus discutables, mais l’heure n’est pas au débat

:P



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