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Dream House

Publié le 19 novembre 2012 par Olivier Walmacq

Dream House

Genre : Fantastique

Année : 2011

Durée : 1h42

L'Histoire : Un éditeur à succès vient d'acheter la maison de ses rèves et s'y installe avec sa femme et ses enfants. Tout le monde éspère commencer une nouvelle vie, mais, le rève tourne rapidemment au cauchemar, car, la maison à un passé macabre et cache des secrets pour le moins surprenant. 

La Critique De Titi70 :

Continuons aujourd'hui dans la catégorie des navets tourné par l'ami Daniel Craig avec une oeuvre tout aussi recommandable que le machin de Jon Favreau, dont je vous ai parlé hier.

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est nécessaire de préciser que, contrairement à ce que montre l'affiche ou même aux apparences, Dream House n'est absolument pas un film de maison hanté.

Dream House

Pourtant, tout commence comme si le film en était vraiment un avant de bifurquer totalement vers autre chose. Réalisé par un metteur en scène reconnu, à savoir Jim Sheridan, et réunissant un trio de star, en l'occurence Daniel Craig, Rachel Weisz, Naomi Watts ainsi que la présence d'Elias Koteas, le film se présente sous les meilleurs auspices. 

L'histoire commence avec Will Attenton, un éditeur à succès qui quitte son boulot pour aller mener une nouvelle vie dans un petit village de Nouvelle Angleterre. L'homme espère ainsi passer plus de temps auprès de sa femme Libby et de ses deux petites filles.

C'est la raison pour laquelle tout le monde est heureux de s'installer dans la maison dont rêve Will depuis des années et ou il il espère écrire un roman apte à ètre publié par la suite.

Mais, très vite, quelque chose cloche dans ce cadre idyllique. Entre les gens du coin qui se montre très froid avec la famille, les intrusions au milieu de la nuit dans la maison (comme ces jeunes effectuant un rituel dans la cave de Will Attenton) ou même de curieux évènements, la famille commence à avoir très peur. Jusqu'a ce qu'ils apprennent que la maison à été le théâtre d'un véritable massacre, un homme y a tué toute sa famille avant d'être arrêté et enfermé. Will commence alors à chercher pourquoi ce drame à eu lieu et surtout, ce qui se passe avec les villageois et la maison.

Jusqu'ici, vous vous dites qu'on à certains codes de la classique histoire de maison hanté, il n'empèche que le film, sans être exceptionnel, se regarde sans déplaisir, mais, c'est la que ça se complique. Car, attention, spoiler : la raison pour laquelle les villageois sont si froid avec Will Attenton, c'est qu'il ressemble trait pour trait au meurtrier d'autrefois, mieux, on découvre qu'en fait, c'est lui qui s'est inventé un autre nom et que sa famille n'existe plus depuis cinq années (un rebondissement tellement énorme que Daniel Craig en change instantanément de coiffure), à part pour lui.

Le film s'evertue alors à maintenir le suspense sur le fait de savoir si l'homme à bien tué sa famille (ce que presque tout les personnages pensent). Fin du Spoiler

Dream House

Encore une fois, si tout cela démarre de manière commune, le film s'enfonce progressivement à partir de ce premier rebondissement avant de nous achever avec un second coup de théâtre, pas du tout attendu (à votre avis, Will à tué sa famille, oui ou non ? Hein, mais, non, je n'ai rien dévoilé), juste prévisible à des kilomètres.

Au milieu de la débâcle, les acteurs font ce qu'ils peuvent. Daniel Craig fait les gros yeux et tente de jouer les pauvres victimes, sans vraiment de conviction. Rachel Weisz est quasiment transparente de même que Naomi Watts. Quand à Elias Koteas, il se contente de faire une prestation limité dans la peau de l'individu étrange dont on ne saura le véritable rôle qu'a la fin du film.

C'est donc un thriller assez grotesque, réalisé de manière totalement impersonnel (triste pour le cinéaste Jim Sheridan) ou personne n'a l'air de reelement y croire. A se demander franchement ce que des acteurs comme Daniel Craig, Rachel Weisz ou Naomi Watts sont venu foutre dans ce navet (à part le besoin de payer des factures).

Note : Ca va pas, non ?

Note Naveteuse : 18/20 (parce que les rebondissement sont vraiment grotesques)


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