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CINEMA : Que faut-il retenir du Pink Screens Festival

Par Misteremma @misteremma

Le Pink Screens s’est terminé samedi soir à la Madeleine et, une nouvelle fois, le festival a montré son dynamisme, son utilité à questionner sur les genres, sa richesse au niveau de sa programmation.

Outre le succès de foule sur les 10 jours, je retiendrai de cette 11ème édition le regard de tous ces hommes amoureux d’emblée de Bruno et Rai, les deux personnages du film « El sexo de los angeles« , des bavardages sans sous-titre de Michel Gondry ou encore des performances sexy rebelle du jeune new-yorkais Gio Black Peter.

CINEMA : Que faut-il retenir du Pink Screens Festival

Je retiendrai, surtout, deux films :
Le documentaire français « Les Invisibles » de Sébastien Lifshitz qui sonne tellement juste au moment où 100 000 personnes manifestent en France de peur que l’amour de deux êtres officialisé sur un bout de papier apporte le chaos dans leur patrie.
Et, soyons chauvin, le premier joli film de David Lambert « Hors les murs » qui sortira en France le 5 décembre et le 13 janvier en Belgique.

Enfin, je voudrais décerner un Gérard d’or aux deux « vestiairistes » de la salle de la Madeleine : même si vous avez assuré comme des chefs, lorsque la file est longue digne d’un week-end estival à Walibi, acceptez l’aide que les organisateurs vous apportent, le public râlera moins dès l’entrée… Et si vous pensez – comme vous me l’avez dit le soir de la Pink Night – que ce n’est pas possible à plus de deux, je vous invite à faire un stage au cabaret Chez Maman, vous comprendrez que l’on peut aisément travailler à plus de 2 dans 50 m2.


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