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Le Mans en 1867 : une ville chère à mon coeur

Par Bernard Vassor

Par Bernard Vassor

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Le Mans mérite une attention particulière, on remarque dans cette cité une cathédrale remarquable, et à l'époque, deux belle églises, deux séminaires, l'ancienne abbaye de la Couture où sont installés la préfecture, la bibliothèque et le muséum d'histoire naturelle. Les principales industries : les tpoiles, étamines, mouchoirs, cire, miel, bestiaux, volailles (et des rillettes bien sûr), les poulardes du Mans jouissent d'une grande renommée. C'est la patrie de "Montenard de TressanEvesque du Mans,Conseiller du Roy en tous ses Conseils d'Estat et Privé premier Aumonier du duc d'Orléans Frère Unique du Roy", de Germain Pilon,  génie du maniérisme, un des plus grands sculpteurs de la renaissance à qui l'on a donné le nom d'une rue à Pigalle, du général Marceau. C'était jadis, sous les Romains et sous Charlemagne, la capitale gauloise des Aulerci Cenomani, appelée Civitas Cenomanorum, d’où provient le nom du Mans. La cité fut saccagée par les Normands au IXe et Xe siècle, puis, ravagée par la peste, les guerres et les incendies et, bien qu'elle ait perdu beaucoup de son importance, elle reste malgré tout dans un état assez prospère.


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