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Avec le jazz, Coppola file un bon Cotton

Par Christophe Greuet
Avec le jazz, Coppola file un bon Cotton

1985 : Francis Ford Coppola est considéré comme le réalisateur le plus brillant de son temps. Depuis Le Parrain, sorti en 1972, il aligne les succès. Apocalypse Now, Coup de cœur, Outsiders, Rusty James... Le virtuose enchaîne les genres et transforme chaque essai en coup de maître. Mais, à chaque nouveau projet, le public attend encore plus. « Je suis en permanence sous-pression car j’ai l’impression qu’on attend de moi de renouveler tous les cinémas. Ce qui m’est impossible » déclarait le réalisateur en 1984. Cette année, il prend la décision de revenir à son genre préféré : le polar sur fond de fresque historique. Pour cela, il choisit le Cotton Club, le lieu mythique de la culture noire à Harlem. Seuls les blancs avaient le droit d’assister aux numéros des meilleurs jazzmen et autres danseurs de claquettes.


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