Résumé : Dans les bois enchantés des Ardennes, l’amour naît comme la violette ou le nymphéa.
Avis : il s’agit de plusieurs contes que je dévorais quand j’étais gosse. Je les trouvais totalement magique et je me laissais emporter facilement. Cette relecture a été alors un peu décevante, car je n’y ai pas retrouvé cette magie que j’aimais tant et j’ai vu le livre sous un autre jour (comme quoi on grandit et des fois c’est bien dommage). Je vais parler des différents contes :
Le bois enchanté : alors que je m’étais souvent perdu dans ce bois, cette fois-ci je n’y ai vu qu’une simple forêt, à peine magique. Un garçon qui veut absolument y entré, c’était mignon. Roger déteste Emilie parce qu’elle a de beaux cheveux (et oui juste pour ça), bref ils vont finalement être liés et partager un secret grâce à cette forêt.
Comment on cultive les parapluies : ma nouvelle préférée où une jeune femme jalouse de sa voisine essaie de détruire son jardin. Alors sa méchanceté lui retombe dessus, et son jardin se retrouve envahis de parapluies. Une bonne leçon, et c’est trop mignon. Et puis avoir des parapluies dans son jardin je trouve ça drôle.
Les papillons mystérieux : un garçon trouve des papillons magnifiques et leur court après. Le maire, lui, veut les capturer et les ajouter à sa collection. Mais ces papillons ont un secret. Une histoire assez belle et qui se termine bien.
Un beau matin : je n’ai pas vraiment aimé cette histoire, un garçon qui sous la colère va se mettre à vouloir envoyer des cailloux sur les animaux. Je n’ai pas trouvé ça magique, et la fin n’apporte pas grand chose au final. Simplement qu’il faut faire attention à la colère.
La fée aux grenouilles : une histoire marrante, une histoire d’amitié. Des garçons se battent pour pouvoir jouer avec la seule fille du village, mais ils vont être bien surpris. C’était assez drôle et mignon.
La balle d’argent : encore une histoire d’amitié. Un enfant souhaite voyager et rencontre un garçon sur son bateau, il veut devenir son ami, va-t-il y arriver? C’est un petit peu magique, mais c’est surtout assez adorable.
Le chemin du paradis : je n’ai pas du tout aimé ce conte, j’ai failli l’abandonner. Et je dois dire que je ne l’ai pas vraiment compris. D’ailleurs dans mon souvenir quand j’étais enfant je ne le lisais pas, comme quoi.
Pas de phrase post-itée.