Qui dit début de semaine dit nouveau post et cette fois, c’est mon voyage qui m’a inspiré.
Entre la valise à faire, les au revoir, le check-in, la sécurité à passer, l’attente et le long, TRÈS long vol, il y a de quoi devenir fou, surtout quand il s’agit de rentrer chez soi, à 10,000 bornes de la famille et des amis, après avoir passer de mémorables fêtes de fin d’année.
Je vous laisse découvrir mon voyage et mon expérience des long-courriers…
Premièrement, la valise et vous ne le savez peut-être pas, mais j’ai horreur – je dis bien horreur – de faire ma valise. Qu’il s’agisse de partir en vacances ou de rentrer à la maison, je déteste ça. J’ai toujours l’impression d’oublier un truc. Je prends bien sûr trop de trucs. Je mets des trucs, je ressors des trucs tant et si bien que j’oublie toujours un truc.
Ensuite arrive le moment d’enregistrer SA valise. Je dis « SA valise » car quand tu voyages en éco, c’est UNE SEULE valise de 23KG que tu enregistres. Pas une de plus.
Enfin, quand tu penses que tu as tout vu et tout fait… La sécurité est derrière toi. Tu t’es quand même mise à nue, tu as enlevé tes pompes, tes 50 manteaux et gilets, tu as vidé ton sac de tous ses précieux trésors sans qui tu ne pourrais vivre… Bref, quand tu penses que tu es tranquille, tu rencontres tes compagnons de bord.
Et non, ce n’est pas fini ! Après t’être retenue durant tout le vol pour aller faire un tout petit pipi car tu ne pouvais pas enjamber ton voisin, après avoir loupé l’unique réconfort du vol (la coupe de champ), après avoir décliné tous les plats à base de sauce fluo, n’ayant pas pu dormir à cause des rires des uns, des ronflements des autres ou encore les cris stridents du bébé juste derrière toi et bien non ce n’est pas fini. Tu dois te soumettre au contrôle de sécurité américain (ils font peur), à l’éventuel perte de ton bagage trop lourd, à l’absence de charriots à valises, à la douane (eux aussi ils font peur) pour au final attendre qu’un taxi se libère…
Il est 4h du mat… Welcome Home
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