Un beau film sur la jeunesse !
Synopsis : "Au lycée où il vient d'arriver, on trouve Charlie bizarre. Sa sensibilité et ses goûts sont en décalage avec ceux de ses camarades de classe. Pour son prof de Lettres, c'est sans doute un prodige, pour les autres, c'est juste un "loser". En attendant, il reste en marge - jusqu'au jour où deux terminales, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. Grâce à eux, il va découvrir la musique, les fêtes, le sexe... pour Charlie, un nouveau monde s'offre à lui."
La vidéo de la critique du film Le Monde de Charlie by la Team NoPopCorn
(Ne manquez pas le bêtisier à la fin de la vidéo)
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La version texte de la critique
Le(s) plus
Le Monde de Charlie, est une belle histoire racontée à travers les yeux de Charlie.
Marqué par un drame qu'il a vécu, Charlie veut se donner la chance d'avoir à nouveau une "vie normale" au moment de sa rentrée scolaire et les circonstances vont l'emmener à faire de nouvelles rencontres. (...)
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L'Avis de Yanchasp - Cliquez pour lire la suite (7/10)
Le Monde de Charlie est vraiment un film sur la jeunesse et ses problèmes.
Il y a Patrick (Ezra Miller) qui cache son homoxualité, enfin il cache surtout sa relation amoureuse; il y a Sam (Emma Watson) qui ne parle pas de son passé et qui préfère l'oublier et enfin Charlie (Logan Lerman), qui mis à part son problème psychologique a finalement les mêmes problèmes que beaucoups d'étudiants: il se sent rejeté.Le trio de jeunes acteurs est incroyable: le personnage de Charlie, joué par Logan Lerman avec finesse arrive à nous charmer ; Patrick interprété par Ezra Miller est tout au contraire, un personnage exentrique; Sam est superbement incarnée par Emma Watson - à qui je prends le risque de prédire une longue carrière - avec charisme et charme; elle joue superbement et arrive surtout à nous faire oublier le rôle d'Hermione (Harry Potter) qui aurait pu la stigmatiser et l'empêcher d'aller plus en avant.
Notons également que le père de Charlie dans le film, n'est autre que Dylan McDermott, acteur de la série American Horror Story.
La mise en scène n'a rien d'exeptionnelle mais on ne s'ennuie pas non plus; c'est donc la preuve indirectement que la mise en scène est réussie, agrémenté en plus d'une bande son pop-rock plutôt sympatique, qui nous rappelle des tubes des années 90.
La morale que l'ont pourrait retenir de ce film est la suivante: nos secrets même les plus sombres ne sont pas faits pour être gardés; il faut s'en libérer pour réussir à avancer, et les amis sont là pour ça.
Le(s) moins
Une question reste malgré tout en suspens, celle du terrible destin d'un ami de Charlie. Pour ne rien vous dévoiler, cette histoire est racontée par Charlie, mais était-ce un mensonge pour cacher la vérité?
Le sujet de la maladie de Charlie est le fil conducteur de ce film et pourtant on ne voit pas beaucoup Charlie la subir; on a donc l'impression que cet élément est mis de côté, ce qui n'est pourtant pas le cas car à la fin du film on nous révèle tout à ce sujet!
Conclusion
Le Monde de Charlie est un beau film sur les problèmes de jeunesse qui a le pouvoir de parler à un grand nombre. Ma Note: 7/10.
Le(s) plus
Les chroniques de l'adolescence sont un genre à part entière du cinéma américain, avec ses couloirs et casiers de « high-school », ses profs mentors qui inspirent, ses sportifs brutaux et ses outsiders magnifiques. (...)
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L'Avis de Spaz - Cliquez pour lire la suite (7/10)
Le monde de Charlie, s'en distingue par la justesse de son ton et l'interprétation de son jeune casting, avec à sa tête Logan Lerman, qui livre une performance toute en finesse.
Logan Lerman habitué des grosses productions, pas toujours très fines pour le coup, (« Les Trois Mousquetaires » de Paul W.S. Anderson et « Percy Jackson » de Chris Colombus) se révèle être un comédien très subtil. Il habite le personnage de Charlie très intelligent mais tourmenté, qui va se libérer au contact de Sam et son demi-frère Patrick de ses traumatismes.
Son jeu tout en retenue est vraiment le point fort du film, même dans des scènes de crise de dépression il n'en fait jamais trop et apparait toujours crédible. (Pour l'anecdote il fut finaliste sur le casting de "The Amazing Spider-Man").
Emma 'Hermione' Watson se révèle être une très bonne comédienne enfin libérée de ses manières enfantines entrant comme son personnage dans l'âge adulte.L'ensemble des comédiens est excellent, que ce soit ceux incarnant leur groupe d'amis ou les parents de Charlie et, plaisir de fantasticophile on retrouve le maitre des maquillages gore Tom Savini dans un petit rôle (le film étant tourné à Pittsburgh ville dont il est originaire, tout comme George Romero le pape du zombie dont est fan le réalisateur).
Les moments de comédie assez réussis (sa "liaison" avec la jeune Mary-Elizabeth par exemple) alternent avec des épisodes plus dramatiques (l'altercation dans la cantine).Le film adopte un regard plein de bienveillance et de chaleur mais aussi très lucide sur cette période de la vie, ce sentiment d'être plein de potentiel et de désirs qu'on arrive pas à exprimer mêlé à l'angoisse d'entrer dans l'âge adulte.
Le(s) moins
J'ai trouvé que le film met un petit moment à trouver le bon rythme.
Le personnage de Patrick demi-frère homo exubérant de Sam est assez cliché et le jeu d'Ezra Miller est, à mes yeux, moins subtil que celui de ses partenaires.
Le choix de la bande son avec les Smiths et 'You Could Be Heroes' de Bowie est là encore un peu convenu dans cet univers du cinéma indépendant américain.
L'intrigue autour des tourments "psychiatriques" de Charlie et ses origines me parait superflue, elle est traitée de manière trop superficielle à mes yeux et le film aurait eu la même force sans cet aspect.Conclusion
Chronique adolescente au ton juste souvent grave porté par un très bon casting et la performance de Logan Lerman. 7/10
Le(s) plus
Le Monde de Charlie réussit à parler d'adolescence sans tomber dans la névrose ou à l'inverse l'hyperactivité sexuelle (souhaitée). (...)
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L'Avis de MentheFraiche - Cliquez pour lire la suite (7/10)
Il s'agit simplement d'un film qui parle d'amitié.
Il en parle d'ailleurs plutôt bien et le trio Logan Lerman, Ezra Miller et Emma Watson fonctionne à merveille....Le(s) moins
On craint, à certains moment, la facilité mais c'est finalement le réalisme que prime.
Conclusion
Loin des films classiques sur l'adolescence, Le Monde de Charlie est un agréable divertissement. 7/10
Le Monde de Charlie
Réalisé par: Stephen Chbosky.
Avec: Logan Lerman, Emma Watson, Ezra Miller, Paul Rudd, Nina Dobrev, Dylan McDermott, Mae Whitman et Tom Savini.
Genre: Comédie dramatique, Romance.
Nationalité: Américain.
Titre original: The Perks of Being a Wallflower.
Durée: 1h43min.
Date de sortie: 2 janvier 2013.
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Bande Annonce - Version Originale Sous Titrée (Cliquez Ici)
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Les Anecdotes !
Sûrement pour ne pas être déçu par le résultat final, Stephen Chbosky a choisi la meilleure solution : adapter lui-même son propre roman. A l'origine, Le monde de Charlie est ainsi un livre publié en 1999, et qui a rencontré un certain succès (il est classé troisième des livres les plus consultés en 2009 dans les bibliothèques par l'American Library Association). Avant la réalisation de ce premier film, Chbosky a surtout travaillé comme scénariste, notamment pour la série Jericho.
Le monde de Charlie est produit par le studio Mr. Mudd Productions, qui s'était déjà intéressé au monde des adolescents avec le film à succès Juno (2007).
Il s'agit du premier rôle d'importance depuis la saga Harry Potter pour l'actrice Emma Watson. Malgré tout, quelqu'un fait le lien entre elle et l'univers enchanté de J.K. Rowling dans Le monde de Charlie : l'acteur Logan Lerman. En effet, ils ont tous les deux débuté leur carrière sous la direction de Chris Columbus, réalisateur des deux premiers Harry Potter et de Percy Jackson le voleur de foudre (2010) dans lequel Lerman tient le rôle principal.
Stephen Chbosky a su qu'Emma Watson serait l'héroïne parfaite du Monde de Charlie en la voyant dans la scène où elle pleure sur les marches après le bal de Noël dans Harry Potter et la Coupe de Feu.
Bien que le film ne le mentionne pas de façon explicite, l'action se déroule durant l'année scolaire 1991-1992, comme dans le livre original de Stephen Chbosky. Ce fait peut être vérifié via la mode vestimentaire, la technologie et la musique utilisées dans le film.
Le jeune acteur de 20 ans, Ezra Miller, qui campe Patrick, l'ami de Charlie, a été révélé en 2011 par We Need to Talk About Kevin de Lynne Ramsay. Le comédien y donnait la réplique à Tilda Swinton dans cette évocation des relations troublées mère-fils.
Plusieurs acteurs habitués de la petite lucarne font ici une incursion sur grand écran. Dylan McDermott (Père de Charlie) fait figure de vétéran. Jonglant entre cinéma et télévision depuis longtemps, on a pu le voir notamment dans Ally McBeal, The Practice et récemment American Horror Story. La jeune Nina Dobrev (Candace) a été révélée par la série populaire chez les midinettes, Vampire Diaries et Kate Walsh (Mère de Charlie) a été une heroïne de la série à succès Grey's Anatomy et son spin-off, Private Practice.
Le film contient une scène qui reprend l'univers du film musical culte de 1975 The Rocky Horror Picture Show de Jim Sharman. On peut voir Ezra Miller (Patrick) reprendre le rôle de Frank-N-Furter, campé originellement par Tim Curry.
Lorsque Patrick (Ezra Miller) lève son bulletin de notes dans le film, on peut lire "Patrick Nothing" (Patrick Rien dans la langue de Molière). L'origine de ce nom est expliquée dans le livre ; Patrick, fatigué de se faire appeler Patty finit par dire : "Ecoutez-moi, soit vous m'appelez Patrick, soit rien du tout!" Son surnom est donc devenu "Rien".
La belle Emma Watson refuse de revoir ses scènes de baisers pour ce film qu'elle juge "inconfortables" : "C'est vraiment drôle parce que lorsque je regarde le film, il y a quelques trucs que je ne peux pas regarder. Je ne peux pas regarder la scène de danse du Rocky Horror, et je ne peux pas regarder les scènes de baisers. Ce film m'a vraiment poussée en dehors de la zone de confort. J'ai dit au réalisateur (Stephen Chbosky) que je venais juste de jouer le rôle d'Hermione Granger, et qu'il attendait maintenant de moi que je danse et que je mette des corsets... et c'est difficile" , révèle l'actrice, visiblement embarassée. Pudeur exagérée? Le film permettra de vous faire votre avis.
Stephen Chbosky a glissé un clin d'oeil au fait qu'il réalise lui-même l'adaptation de son livre au cinéma. En effet, dans le générique de début, on peut entendre les noms s'afficher au rythme d'un son de machine à écrire, référence à l'écrivain, puis se muer en générique normal, symbolisant le passage sur grand écran.
Merci à "Indian Connection", pour le lieu de tournage.
Restaurant indien, Bar, Music, Lounge
33/35 rue de Lappe 75011 Paris
Retrouvez le "Indian Connection" sur leur site internet
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