Qu’on se le dise, les producteurs et les distributeurs sont des gens intelligents. Chaque semaine, un mastodonte sort ses griffes (The Hobbit, The Master, …) tout en évitant l’affrontement direct et ainsi entame gravement les chances des films financièrement plus modestes. Cette semaine encore, le soleil tape en plein sur Django et l’ombre s’abat une toute une série de films (au revoir Alceste, Richard, Paulette et Elvis).
Grégaire je suis alors Django j’irai voir. Ce n’est pas la seule raison. Non seulement le film a dernièrement gagné deux Golden Globes (meilleurs scénario et acteur dans un second rôle – Christoph Waltz) mais c’est surtout un Tarantino. S’il est parfois énervant de facilité et de maniérisme, il est indéniablement l’un des grands inventeurs du cinéma moderne. Tout en creusant le même sillon, il surprend toujours par ses dialogues, son montage, son humour, son ton, sa direction d’acteur, etc.
Nous savons qu’une certaine allergie tarantinienne existe. Alors pour des dialogues plus à la françaises, une réalisation plus « classique » et/ou les amoureux de Lucchini (acteur et co-scénariste), Alceste à bicyclette (un titre pareil pourrait-il exister ailleurs qu’en France ?).
Max, du Blog du Cinéma.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble