© Julien Vachon
Nous vous avions fait découvrir ici en 2010 le groupe Boxon.
Parmi ses membres, il y avait Valentin Marceau qui fait désormais une carrière solo et qui proposera bientôt son premier album.
En attendant, un premier single, Dansons, est déjà en téléchargement sur les plateformes légales et nous avons rencontré l’artiste pour discuter avec lui de l’opus à venir.
Bonne lecture,
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Bonjour Valentin,
Nous te connaissions avec tes camarades de Boxon, aujourd’hui tu es en solo. Pour débuter est-ce que tu peux nous dire si le groupe est dissout aujourd’hui ?
Le groupe est fini mais d’un commun accord. Suite à notre parcours, chacun a pris un peu sa direction, et je suis resté seul sur ma route. Mais je suis toujours en contact avec eux, Marlon a enregistré les pistes de batterie sur l’album et j’espère qu’il pourra être à mes côtés si je fais une tournée.
Ton premier single, Dansons, a un bon accueil auprès du public, tu es content j’imagine ?
Je suis super content oui. Ca commence à se mettre en place doucement et j’espère que ca continuera sur cette lancée. L’accueil sur Internet est très bon et on essaye vraiment de créer une communauté sur les réseaux sociaux.
Ce titre annonce l’album à venir, il en est ou pour le moment ?
Il est complétement fini depuis juillet dernier. Ca prend du temps de tout mettre en place avec le lancement du single, tourner le clip etc. Mais l’album est prêt et j’ai hâte de pouvoir le faire découvrir.
Tu peux nous dire un peu la couleur qu’aura ce disque ?
Dansons est très pop, et toutes les chansons ont une cadence qui donne envie de danser j’espère justement. L’album sera dans l’ensemble assez folk et acoustique.
Tu écris et compose tes textes, comment travailles-tu en général ?
Je n’ai pas de règle, ça peut être une idée de texte que j’ai en tête et une idée de mélodie qui vient avec, ou alors ça peut être un yaourt sur une guitare et j’essaye de faire le texte après. J’ai plein de mode différent.
Ce que j’aime chez toi, c’est notamment que tu chantes en français, c’est véritablement un choix ?
C’est tout simplement ma langue natale, et c’est une langue qui m’a beaucoup inspiré. J’ai lu pas mal de poète, les Rimbaud et tout ça. On a la chance d’avoir une langue riche, complète et assez poétique donc il faut en profiter.
Jean-Louis Aubert a parlé de toi dans une interview, comment s’est passé la rencontre entre vous ?
Avec Jean-Louis Aubert, je l’ai rencontré quand j’enregistrais mon album au Lavomatic Studio, le studio de Dominique Blanc-Francard et lui faisait en parallèle son mixage du live a Bercy. Un jour il est venu, il a écouté ma musique et j’ai découvert quelques jours après qu’il parlait de moi dans une interview. Si il lit ce papier, je le remercie encore.
Il y aura des invités justement sur cet album ?
Il y a des collaborations sur l’album oui, mais ni avec Grand Corps Malade, ni avec Jean-Louis Aubert. J’ai Jean Fauque qui m’a écris un texte et j’ai travaillé aussi avec Guillaume Cantillon le chanteur de Kaolin.
Le Mediateaseur remercie Valentin Marceau pour sa simplicité et sa gentillesse. Si vous voulez restez informé de l’actualité de l’artiste vous pouvez le suivre sur son site officiel en cliquant ici.