Vous regardez un premier court-métrage, le tout premier, comme un baiser volé, réalisé par Benoît Berthe, seul, en six mois, à Supinfocom.
Un film très ambitieux dans sa narration et très doux dans sa mise en image. Presque un paradoxe entre la douceur du visuel et la violence des émotions naissantes.
Un premier film comme une promesse, ou plutôt une certitude, quant à l’avenir de Benoît Berthe.