Que ce soit en Guadeloupe ou en Guyane, j'ai entendu beaucoup plus d'oiseaux que je n'en ai vus. Et quand je pouvais les voir, je n'avais pas le temps de prendre mon appareil photo, ils étaient déjà partis : bleuets, queues jaunes, colibris, trop vifs pour un appareil numérique trop lent, urubus planant trop loin. Restent ces pique-boeufs, sucriers, picolettes, kikiwis...
et ceux-ci, immobiles en vol
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