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La brosse à dents, cure-songes?

Publié le 14 février 2013 par Pnordey @latelier
brosse à dents

C’est l’heure de la dénonciation: l’insomnie est une tare largement répandue à la rédaction de L’Atelier.

D’aucuns sont abonnés aux nuits blanches; d’autres - plaide coupable - jouent à cache-cache avec le marchand de sable jusque tard, avant d’hurler à la mort, une fois l’heure du lever arrivé.
C’est aussi pour cela que la dernière fois, j’évoquais cette sainte invention qu’est le réveil électrochoc. Ou il y a plusieurs mois, celle du réveil qui frappe l’Endymion réfractaire, de balles.

Dans la même famille de réveils retors, il y a le Wayki, qui combine, lui, deux actes honnis de l’ado moyen: sortir de son lit, et se laver les dents. A l’origine du projet, un entrepreneur britannique David Hawkins.
L’appareil, le Wayki, a l’aspect d’une brosse à dents électrique toute simple, en deux parties. Je m’explique. La nuit, la brosse est partagée en deux: près du lit, la partie réveil. Dans la salle de bains, la brosse.
Quand le réveil sonne, le matin, le seul moyen de l’éteindre est de porter le réveil jusqu’à la salle de bains et d’insérer la brosse manquante dans le «manche-réveil».
Une fois la brosse à dents «complétée», un chrono s’affiche sur la brosse à dents. L’utilisateur a alors deux minutes pour se brosser les dents activement. L’idée est de lui rappeler de se laver les dents, dès le réveil. Pareillement, mais voeu pieux, Hawkins pense que comme pour activer le réveil, il est nécessaire de séparer à nouveau la brosse à dents, l’utilisateur pensera de lui-même au brossage de dents.

Pour se procurer ce charmant appareil, un «don» de 49$ est requis, ainsi qu’une résidence au Royaume-Uni. Hé oui, le réveil/brosse à dents reste encore réservé aux amis anglais.


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