J'ai repris des chroniques pour ClassiqueInfo-disque.com. Celle-ci est consacrée aux Motets de JS Bach par Philippe Herreweghe.
Après Masaaki Suzuki et John Eliot Gardiner, c’est en effet au tour de Philippe Herreweghe de revisiter les Motets de JS Bach.
Entre les chefs japonais et anglais, la différence d’approche et de climat est assez nette. On opposera assez facilement le strict respect du texte, la fluidité de la ligne, la transparence de la polyphonie du premier à la théâtralité, l'expressivité, les couleurs imprimées par le second.
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Par rapport à ces deux versions qui finalement se complètent, Philippe Herreweghe n’incarne pas vraiment une troisième voix mais se rapproche de Masaaki Suzuki dans la volonté de restituer un corpus homogène sur les six motets interprétés et de ne pas céder à des effets exagérés de contraste.
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Vous pourrez également, pour approfondir l'analyse, vous référer aux notes du 29 mai 2010 et du 2 octobre 2012.