Fabien Baron nous a littéralement soufflé dernièrement avec son court-métrage pour Calvin Klein. Un film qui résume assez bien l’admiration que l’on peut porter au personnage. D’abord, le réalisateur de grand talent, avec un univers et une lumière. Ensuite, l’homme qui a créé en 1990, Baron&Baron, une agence avec qui l’on partage la vision d’une communication de contenu, où les marques seraient avant tout des mécènes. Et derrière tout ça, la volonté d’un homme de construire un plan com’ de A à Z et donc de s’assurer une plus grande liberté.
En en période de crise, ceux qui se battent pour la liberté plutôt que la sécurité s’appellent des leaders.
Les vidéos de Fabien Baron, vous les connaissez forcément, sans même, parfois, le savoir. Il y a toujours chez Fabien Baron une sorte de sauvagerie retenue. Comme si la beauté était une force difficile à contrôler. Comme si la beauté était, avant tout, un instinct que l’on chercherait à dompter sous des airs de civilisation et de pulsions maîtrisées. En vain.