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Die Hard : belle journée pour mourir - Critique vidéo

Par Nopopcorn @TeamNoPopCorn
Die Hard : belle journée pour mourir - Critique vidéo3.00 sur 50 basé sur 1 votants.

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Yippee ki-yay, McCLane est de retour !

Synopsis : "Bruce Willis est de retour dans son rôle le plus mythique : John McClane, le « vrai héros » par excellence, qui a le talent et la trempe de celui qui résiste jusqu'au bout. Cette fois-ci, le flic qui ne fait pas dans la demi-mesure, est vraiment au mauvais endroit au mauvais moment après s'être rendu à Moscou pour aider son fils Jack, qu'il avait perdu de vue. Ce qu'il ignore, c'est que Jack est en réalité un agent hautement qualifié de la CIA en mission pour empêcher un vol d'armes nucléaires. Avec la mafia russe à leur poursuite et la menace d'une guerre imminente, les deux McClane vont découvrir que leurs méthodes radicalement différentes vont aussi faire d'eux des héros que rien ne peut arrêter."

La vidéo de la critique du film DIE HARD : BELLE JOURNEE POUR MOURIR by la Team NoPopCorn

(Ne manquez pas le bêtisier à la fin de la vidéo)
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La version texte de la critique

Yanchasp portrait
Le(s) plus

John McCLane est de retour après avoir subit une prise d'otage dans un gratte-ciel (Die Hard : Piège de cristal), sauvé d'une menace terroriste depuis un aéroport (Die Hard 2 : 58 minutes pour vivre), une menace terroriste avec son ami le taxi (Die Hard 3 : Une journée en enfer) et sauvé d'un blackout (Die hard 4 : Retour en enfer). (...)

  • L'Avis de Yanchasp - Cliquez pour lire la suite (6/10)


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    Dans Die Hard : Belle journée pour mourir, John McClane (Bruce Willis), en partant sur la trace de son fils se retrouve une fois de plus embarqué dans des ennuis et cette fois-ci c'est en Russie que ça se passe.
    On retrouve un Bruce Willis en un John McClane plus en forme que dans Die Hard 4. Le jeu de Bruce Willis se rapproche un peu plus des trois premiers opus, et ça fait plaisir à voir.
    N'y allons pas par quatre chemins et autant vous dire tout de suite que question fusillade, ou autres cascades, on est servit.

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    Tout le film est un ensemble de clin d'oeil à la quadrilogie Die Hard, principalement sur les trois premiers opus : on a une fusillade dans un building (Die Hard), les avions ici sont remplacés par des hélicoptères (Die Hard 2), on a une partie de l'histoire avec un taxi (Die Hard 3) et même un véhicule qui s'envole, éjecté par une rembarque de sécurité (Die Hard 4).

    On pourra noter également quelques bonnes répliques (mais pas assez) dont on se souviendra, comme "When I say Drive, I mean Fly". Si seulement le reste du scénario avait pu continuer dans ce sens.

    Jack McClane, le fils de John prend un peu la relève dans cet opus et son histoire apporte dans la première moitié du film, un coté un peu plus espionnage. Déjà remarqué dans le film Jack Reacher, Jai Courtney est excellent dans le rôle du fils de McClane et l'acteur est à surveiller de très près, car il est sûr que nous le reverrons bientôt.
    D'ailleurs en parlant d'espionnage, la scène d'ouverture du film n'est-elle pas inspiré par les James Bond ? Notamment pour la séquence d'ouverture avec les impacts dans la cible.

    Techniquement c'est plutôt dynamique, les scènes d'action sont énergique et on se souviendra des cascades de voitures en Russie... Il y a eu certainement un gros budget voiture.

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    Le(s) moins

    Le scénario ne va pas chercher très loin, et c'est dommage.
    De ce coté, on est éloigné de la hauteur scénaristique des trois premiers Die Hard, même le quatrième épisode est bien meilleur sur ce point. John McClane est un personnage que beaucoup de personnes ont envie de voir dans un nouvel épisode, mais le charisme du personnage ne devrait pas empêcher d'avoir un scénario de qualité.

    On notera également un gros temps mort, avant la scène finale à Tchernobyl. D'autant plus qu'on nous montre à un moment une masse et on hâte de le voir cogner McClane quand il enlève sa chemise, mais il n'est là que pour guider un camion. W.T.F. ?

    Il y a un bon lot cascades, comme par exemple dans la scène avec Bruce Willis qui conduit une grosse voiture qui roule sur d'autres prises dans un bouchon, mais le problème c'est que l'on voit que beaucoup de voiture sont vides, sans parler des faux racords.

    Enfin, c'est dommage d'avoir eu un Bruce Willis bien en forme dans la peau de McClane, aidé par un bon directeur de la photo et d'un autre côté un réalisateur qui n'a peut être pas été à la hauteur de cet icône.

    Conclusion

    C'est fun, il y a de l'action, Bruce Willis est bien de retour dans la peau de McClane, mais scénaristiquement parlant ce n'est pas à la hauteur des trois premiers épisodes.
    Ma note 6/10.

Spaz portrait
Le(s) plus

John McClane is back, en effet dans ce film Bruce Willis retrouve enfin les accents goguenards qui faisait la particularité de ce personnage abandonnés lors du dernier épisode pour le jeu un peu atone qu'il développe depuis sa rencontre avec M.Night Shyamalan et qui ne convenait pas au personnage. (...) 

  • L'Avis de Spaz - Cliquez pour lire la suite (5/10)

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    L'entente avec son « fils » à l'écran fonctionne bien : Jay Courtney, découvert dans Jack Reacher et qui confirme ici le charisme dont il avait fait preuve face à Tom Cruise.
    L'ensemble du casting joue d'ailleurs de façon convenable hélas ils n'ont pas grand-chose à jouer... mais nous y reviendrons.

    La première partie du film même si elle ne révolutionne pas le genre est plaisante à suivre, elle culmine avec une poursuite automobile très destructrice dans Moscou, improbable mais aux cascades physiques très spectaculaires et enchaine avec une attaque d'une planque de la CIA bien amenée.
    Hélas achevée la partie moscovite, la maigre intrigue s'effondre et sort complètement de l'esprit Die Hard, ce qui nous amène à (...)

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    Le(s) moins

    (...) Le film bascule alors dans le grand n'importe quoi, avec ses décors vides de Direct to vidéo où vont se dérouler des séquences d'actions improbables qui voient les acteurs remplacés par leur clones numériques donnant une impression de cinématique de jeu vidéo. On avait failli oublier que c'était le faiblard John Moore qui retombait ici dans les travers de son abyssal Max Payne et qui prouve une fois de plus malgré une bonne technique qu'il est incapable de maîtriser un film sur sa durée (même courte comme celui-ci).
    Malgré l'apport de son directeur de la photo, le français Jonathan Sela (cocorico) qui parvient à donner une patine de blockbuster, malgré tout, à l'ensemble.

    Les séquences d'action dès le premier volet de la série furent improbables, McClane aurait du mourir 100 fois, pourtant les scénarios et l'interprétation de Willis rendaient crédible ses exploits, il saignait, souffrait moralement et physiquement. Ici il traverse explosions et baies vitrées sourire béats aux lèvres, quand McClane souffre moins dans un Die Hard que THOR dans les Avengers c'est qu'il y a un problème !

    C'est bien le scénario de Skip Woods qui est le plus grand coupable, histoire à peine digne d'un direct to vidéo avec ses méchants russes standards dont les plans réussissent l'exploit d'être à la fois simpliste et confus comparé à la complexité de ceux des bad guys précédents. Les personnages eux-mêmes ont du mal à en percevoir les enjeux (le fils McClane parlant de « terrorisme, armes de destruction massive tout ca quoi » !).
    Les acteurs plutôt bons sont donc livrés à eux-mêmes sans rien avoir à jouer que ces personnages sans épaisseur qui attendent les prochaines scènes d'action.
    Le scénariste tente maladroitement de créer de l'empathie avec le fan en décalquant des moments clés des précédents opus de manière grossière, nous rappelant juste à quel point, ils étaient bons comparé à sa bouillie nucléaire.
    [Le film commet de plus le plus grand crime du film d'action : introduire un méchant au physique colossal qui est éliminé brutalement alors qu'on attendait un combat titanesque]

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    Conclusion

    Déçu alors qu'on n'attendait pas grand-chose c'est fort !
    Malgré tout, pour ses interprètes et la poursuite je mets un 5/10 à ce Die Hard : belle journée pour mourir.
    En espérant que pour le prochain, Bruce Willis prendra plus de temps à lire le scénario que son chèque !

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Die Hard : belle journée pour mourir

Réalisé par: John Moore.
Avec: Bruce Willis, Jai Courtney, Sebastian Koch.
Genre: Action.
Nationalité: Américain.
Titre original: A Good Day to Die Hard.
Durée: 1h37min.
Date de sortie: 20 février 2013.


 

  • Bande Annonce - Version Originale Sous Titrée (Cliquez Ici)

  • Les Anecdotes !


    Au départ, ce cinquième volet de la franchise Die Hard devait voir son action se dérouler à plusieurs endroits de la planète, à l'instar d'un James Bond par exemple.

    Parmi ceux-ci, Justin Lin, Joe Cornish, Nicolas Winding Refn, Paul McGuigan, le frenchie Fred Cavayé et Noam Murro, ce dernier ayant préféré réaliser 300: Battle of Artemisia plutôt que ce film.

    Skip Woods, scénariste de ce Die Hard : belle journée pour mourir, est un habitué des grands films d'action musclés bourrés de testostérone. En effet, avant de prendre les rênes du 5ème opus de la saga culte, Woods a écrit les scripts d'Opération Espadon, de l'adaptation du jeu vidéo d'action Hitman, du très nerveux X-Men Origins: Wolverine et de L'Agence tous risques version 2010.

    Die Hard : belle journée pour mourir a été tourné durant l'été 2012 à Budapest, capitale de la Hongrie, et à Belgrade, capitale de la Serbie.

    A l'origine, Bruce Willis souhaitait que Bonnie Bedelia, qui joue l'ex-femme de John McClane, Holly Gennaro McClane, fasse son retour dans la saga, après avoir été absente dans les deux précédents volets. Malheureusement, cette option n'a pas été retenue dans le scénario final.

    Parmi ceux-ci, Paul Walker, Aaron Paul, Ben Foster, Liam Hemsworth, Shiloh Fernandez, James Badge Dale, Paul Dano, D.J. Cotrona, Milo Ventimiglia et Steven R. McQueen.

    Le comédien Amaury Nolasco, vu notamment dans Prison Break où il campait le personnage de Fernando Sucre, tourne pour la deuxième fois sous la direction de John Moore après Max Payne en 2008.

    Die Hard : belle journée pour mourir est le premier film de la saga à être tourné avec de la pellicule Fuji. Les précédents opus ont été tournés avec Kodak.

    La bande-annonce de ce Die Hard : belle journée pour mourir a laissé entrevoir un atout au charme indéniable dans ces nouvelles aventures de John McClane en la personne de Yuliya Snigir, actrice et ex-mannequin d'origine russe. Yuliya n'est pas seulement une femme magnifique, elle a aussi un diplôme d'anglais de la Faculté des Langues de Moscou.

    Le compositeur Marco Beltrami a été à nouveau engagé pour écrire la musique de Die Hard : belle journée pour mourir après avoir composé celle de Die Hard 4 - retour en enfer en 2007.

    Plusieurs acteurs de ce Die Hard : belle journée pour mourir viennent directement du monde du petit écran. Amaury Nolasco a été révélé grâce à la série Prison Break, Jai Courtney, qui interprète le fils de John McClane, a fait ses débuts dans les arènes de Spartacus : Le sang des gladiateurs, et Megalyn Echikunwoke faisait partie des 4400. Plus insolite, Bruce Willis lui-même a débuté à la télévision dans la série Clair de lune.

    Jai Courtney a dû auditionner deux fois et convaincre Bruce Willis pour enfin obtenir le rôle de Jack McClane : "Je venais juste de finir Jack Reacher à Pittsburgh et j'avais pris le chemin du retour vers Sydney. Je m'apprêtais à prendre mon vol de correspondance à Los Angeles quand j'ai reçu un appel de mon agent, qui m'a dit : «Laisse tomber ton avion, ils veulent que tu fasses une lecture avec Bruce !» J'ai fait un essai avec lui une semaine plus tard, et quelque temps après j'ai appris la bonne nouvelle. J'ai grandi en admirant Bruce Willis sur les écrans, et la franchise Die Hard, c'est tout un symbole !", confie l'acteur australien.

    La grande scène de course-poursuite a nécessité 82 jours de tournage ! "Sur l'autoroute, dans des rues étroites, sur des ponts, en détruisant au passage des dizaines de voitures haut de gamme... C'est vraiment du grand spectacle !", déclare John Moore.

    Le quartier général de l'équipe de Jack McClane a été construit dans l'Express Building, à Budapest. Le bâtiment a été achevé dans les années 1880 et servait à la base de fief aux services d'inspection de la marine. La structure de l'immeuble en fait un lieu de tournage très prisé dans la capitale hongroise.

    Une équipe cosmopolite de cascadeurs a pris part à ce nouveau volet de Die Hard. Plus de 50 têtes brûlées, hongrois, tchèques, slovaques ou américains, ont travaillé main dans la main afin de créer des scènes d'action dignes de la célèbre franchise : "Toute l'équipe ne compte que des pointures. Les films Die Hard sont en quelque sorte le summum du film d'action, et tous les cascadeurs du métier rêvent d'y participer", affirme le coordinateur des cascades, Steve Davison.

    Le réalisateur John Moore est très méticuleux. C'est un spécialiste de l'action, et il a cherché à minimiser le plus possible les effets numériques pour privilégier l'authentique : "Il arrivait couramment que l'on passe 12 heures sur un plan qui durera trois secondes à l'écran, mais il n'y a pas d'autre moyen. Ce n'est pas du cinéma analogique. On fait le plus possible les choses en vrai, devant l'objectif de la caméra, et nous n'utilisons les effets visuels numériques que pour améliorer ou étendre les décors", révèle le metteur en scène.

    Le chef-décorateur Daniel T. Dorrance et son équipe ont créé en tout 58 décors pour Die Hard : belle journée pour mourir : "A un moment, nous étions en train de construire plus de 46 000 m2 de décors en même temps !", se souvient le technicien. Un des décors a nécessité le travail de 20 peintres, 80 charpentiers et 10 métallurgistes qui ont passé huit semaines à le construire. Tout ça pour que la famille McClane le détruise à grands renforts d'explosions !

    Une des séquences du film («l'escabeau à bouchons») a été filmée sur une partie du circuit de Formule 1 du Hungaroring à Budapest.

    La production du film a utilisé des hélicoptères de pointe pour les grandes scènes d'action. Par exemple, un Mi-24 utilisé par l'ancienne armée soviétique a été mis à disposition de l'équipe de tournage par le gouvernement hongrois. Un deuxième engin est également utilisé dans le film, un Mi-26 russe. Il s'agit du plus gros hélicoptère du monde, pesant 25 tonnes pour 36 mètres de long ! John Moore est passionné par l'aviation : "C'est la première fois qu'un Mi-26 figure dans un film occidental. C'est fantastique de pouvoir montrer ce monstre, et de faire avec des choses qui n'ont jamais été tentées avant", s'enthousiasme le metteur en scène.

    L'équipe de John Moore a décidé de poser ses caméras pendant une semaine dans le village de Kiskunlachaza, surnommé Tchernobyl (à une heure de route de Budapest) ; ce lieu a été abandonné après l'effondrement de l'URSS : "Je n'en croyais pas mes yeux. Je n'avais jamais rien vu de pareil ! L'endroit paraissait si désolé et si effrayant qu'on avait l'impression d'être remonté loin en arrière dans le temps", confie l'acteur Sebastian Koch.

 

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Merci à "Indian Connection", pour le lieu de tournage.
Restaurant indien, Bar, Music, Lounge
33/35 rue de Lappe 75011 Paris

Retrouvez le "Indian Connection" sur leur site internet


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