Magazine Cinéma
War in Space : War In Space c’est un peu comme The Green Slime mais en pas mal moins bon, drôle, amusant, divertissant et écoutable. War In Space est un peu plus comme un soap américain avec son histoire d’amour qui nous éloigne de son intrigue d’extra-terrestres envahissant la Terre. Je veux pas être raciste mais un triangle amoureux entre japonais durant une invasion de vaisseaux spatials (en plastique), c’est plate.
Cosmopolis : Après un stérile mais typiquement cronenbergien Dangerous Method et un doublé banlieusardo-mafio-violent atypiquement cronenbergien (A History Of Violence et Eastern Promises), voilà que l’ami David revient à quelque chose qui sied mieux à sa filmographie autant dans le contenant que dans le contenu. En lisant le roman de Don Delillo, on peut très bien comprendre ce qui a attiré Cronenberg : une vision froide et déshumanisé d’un futur pas si lointain où la technologie et les machines remplacent peu à peu l’émotion humaine. Il y a quelque chose de Crash ou de Naked Lunch dans Cosmopolis et lire le roman avant de voir le film permet d’apprécier Cosmopolis et ses dialogues robotico-sans-âmes.
A Fantastic Fear Of Everything : Comédie noire visuellement sympathique, AFFOE est en sommes, un film sympathique qui essaie beaucoup d’être plus amusant, intélligent et culte qu’il ne l’est. La narration surexplicative durant les 30 premières minutes nous assome un peu mais par la suite on embarque dans ce récit humoristique porté par les épaules frêles et pleine de taches de rousseurs de Simon Peggs.
Dead Season : Ayant vu le film il y a quelques semaines, je n’ai aujourd’hui, aucun souvenir. Aucun. Bon, je viens d’aller voir des clips sur les Internets et ça me reviens maintenant. Film de zombies pas super bon mais dont la direction artistique, les effets visuels et la direction photo élèvent au dessus de la moyenne. Les acteurs ne sont pas terribles. Le montage aide énormément au film à lui donner de la valeur. Le film a un style soigné un peu prétentieux mais il réussit grace au talent du réalisateur, à ne pas être prétentieux et à venir à bout de ses ambitions sans avoit l’air débile comme dans Chained (voir texte plus bas). Un peu comme le Undead des Spierig Brothers mais en moins bon.
Excision : Rares sont les long métrages adaptés d’un court qui n’ont pas l’air d’être du remplissage et de « l’étirement inutile d’intrigue ». Excision ne fait donc pas exception. On comprend que ce qui faisait la force de l’original, se sont les scènes oniriques filmés de façon froide, aux couleurs éclatantes et où le style prend le dessus sur la substance. Si on ajoute à cela un intrigue bidon qui ne tient pas tellement la route non pas parce que tout y est irréaliste mais parce que les évènements n’existent que pour dire qu’ils existent et non pour 1)faire avancer l’action, 2)dévellopper les personnages et/ou 3)avoir un message ou quelque chose à dire. Tout est donc statique, à commencer par les acteurs qui à part Traci Lords, surjoue de façon honteusement caricaturale. L’intrigue essaie fort de vouloir dire quelque chose sur la société mais de façon tellement peu subtile que si on voyait apparaître des affiches en carton nous expliquant les sous-messages intelligents du film, je ne serais pas surpris.
Ill Manor : N’ayant jamais entendu parler de ce film avant, je dois admettre à ma très grande surprise qu’il s’agit d’une des bonnes réussites cinématographiques de 2012. Un film qui semble sous-estimé puisqu’on en a peu ou pas entendu parlé de ce côté de l’Atlantique. Avec un budget ridicule, le film ambitieux réussie sans jamais être visuellement prétentieux avec des slo-mo/fast-mo et autres flatulences d’AVID à dépeindre la société pauvre de Londres avec ses junkies, prostitués et autres pédophiles. Contrairement à Kidulthood ou City Of God, le film n’essaie jamais de glorifier le milieu qu’il dépeint avec un style visuel lourd et du show offisme. Sans être parfait et possédant une narration rappée redondante au début mais complémentaire, Ill Manors est un tour de force qui dépeind un milieu parfois triste, parfois répugnant.
Part Of Me : Katy Perry (aucun lien de parenté avec Tyler Perry) est très jolie. Son film Part Of Me où on la voit vraiment beaucoup souvent sous toutes ses coutures est donc par défaut, un chef-d’œuvre de Dieu. Katy Perry (aucun lien de parenté avec Joe Perry) a battu le record de chansons numéro un sur le même album détrônant le roi de la pop Michael Jackson (aucun lien de parenté avec Reggie Jackson)il est donc normal que l’on conssacre un film pseudo-documentaire sur la jeune chanteuse. Voulant profiter du succès du film des Jonas Brothers (aucun lien de parenté avec les Marx Brothers) on fait la même chose pour Katy Perry (aucun lien de parenté avec Luke Perry). On la suit d’un concert à l’autre durant une année de sa vie pendant une tournée mondiale, ce qui rappelle étrangement le film sur Céline Dion. D’ailleurs Part Of Me, le film sur Katy Perry (aucun lien de parenté avec Matthew Perry) est monté et présenté de la même façon que Celine Throught The Eyes Of The World, en fait c’est presqu’un copier/coller du film de Stéphane Laporte. Loin de moi l’idée de dire qu’on a plagié le talent de Laporte encore moins que Laporte ait du talent (c’est un être détestable) mais Celine Throught The Eyes Of The World est une recette éprouvée que Part Of Me applique à la lettre. Katy Perry (aucun lien de parenté avec Linda Perry) est beaucoup plus jolie avec ou sans maquillages que ne peut l’être Céline Dion ce qui rend l’écoute plus agréable mais non moins chiante de voir des « divas » qui ont toujours voulu être chanteuse et être reconnue mondialement s’éffondrer à la moindre obstacle lorsqu’elles atteingnent leur rêve. Quand on veut chanter dans la vie et que l’on veut vendre beaucoup d’album, on doit assumer ce que cela implique comme conséquences : rencontrer des fans et leur donner des bonbons, prendre des photos avec des étrangers, vivre sur le décalage horaire, manger de la pizza, etc… Je ne vais pas pleurer en sachant que Katy Perry (aucun lien de parenté avec Lee Scratch Perry) réussit difficilement sa vie amoureuse. Au pire Part Of Me ressemble à un épisode de VH1 au mieux il ressemble à un épisode de VH1 en 3D.
The Dictator : The Dictator est une bande-annonce remplie de blague plus ou moins bonnes, plus ou moins trashs qui une fois étiré sur sa véritable durée d’environ 90 minutes peu paraître un peu longue et pas si drôle après tout. C’est que Sacha Baron Cohen, même lorsqu’il impovise, est prévisible, dumoins le punch de ses blagues le sont. Il n’y a rien de pire dans une comédie que de télégraphier ses blagues peu importe si elles sont drôles ou non puisqu’en les télégraphiant, on détruit une partie de leur effet comique.
Lawless : Lawless est l’adaptation d’un livre traitant de l’histoire vrai de la famille Bondurant qui frelatais de l’alcool dans les Etats-Unis de l’amérique du Nord durant les années où toi, moi ta mère et son frère n’étaient malheureusement pas nés. Je dis malheureusement car il serait intéressant de savoir ce qui est vrai de ce qui ne l’est pas et le fait d’avoir vécu dans le coin de la Virginie en 1931 pourrait certainement aider. Mais ne vous en faites pas, c’est plutôt une blague, c'est que rien ne semble véritablement crédible. C’est un peu comme si Nick Cave et John Hillcoat (respectivement scénariste et réalisateur) avaient tellement été obnubilé par le récit qu’ils ne s’étaient jamais posé la question sur la véracité des évènements et que seulement rendu au montage (ou peut-être même pas aussi)ils s’étaient aperçu que tout frôle beaucoup plus la fiction ou dumoins la réalité très amplifié de fiction pour donner aux héros des airs de gens nobles alors qu’au finale, ils ne sont que des rednecks qui frelataient de l‘alcool. Difficile à croire que Forrest Dandurant s’est fait trancher la gorge, fusillé d’au moins 12 balles tout en ayant pu continuer non seulement à bien vivre en marchant, buvant, mangeant et tout mais en plus, en procréant comme une vraie usine à bébés. J’ai l’impression que le récit de la famille Dandurant à été embellie pour leur donner un air de mythe. Cela ne change rien à l’écoute du film qui est porté par les larges épaules de Tom Hardy, les seins nus de Jessica Chastain et la coupe de cheveux de Guy Pearce(le chanteur du groupe gagnant aux Grammys, fun.).
Conspiracy Theory With Jesse Ventura : Jesse Ventura répètant sans cesse qu’il est un ancien gouverneur (du Minnesota) et un ancien navy SEAL, se ridicule dans un docu-télé-réalité-machin où le montage manipulateur et les effets sonores tonitruants nous abrutissent le cerveau. Que Ventura revisite des complots de l’histoire américaine, ça passe, qu’il nous laisse sur notre faim sans jamais donner de réponse nous laissant seul avec nos questions, ça peut passer aussi mais que tout soit aussi malhonnêtement réalisé, monté et expliqué, ça frole l’indécence et le malhonnêteté journalistique. Tout est tourné comme un mélange de The Bourne Ultimatum et All The President’s Men alors que les intervenants supposés être des gens possédant des secrets gouvernementaux n’ont aucun problème à passer devant une caméra pour déblatérer des monosyllabes en guise de réponses aux questions de Ventura. Tout ça saupoudré de bruits et de flatulences d’AVID. On a parfois l’impression qu’il s’agit d’une parodie.
Chained : À ne pas confondre avec le film Chained, Chained est aussi connu sous le titre de Hobby Farm alors vous pouvez le confondre avec Hobby Farm. Par contre, et ça c’est sûr, vous ne confondrez jamais le film avec un bon film. Si on fais fi de l’histoire archi-connu du dude qui en sortant de prison, continue à travailler pour la mafia tout en voulant se ranger comme le chantait Stephen Malkmus dans Range Life (Malkmus faisait référence à autre chose mais bon…), le film est assez médiocre. Les acteurs sont un peu dirigé comme si les seuls explications qu’on leur avait donné était : toi tu es un gars qui veut se ranger et toi une femme qui se prostitue, etc… le réalisateur utilise donc des pléonasme pour diriger sa troupe de comédiens. Jusqu’ici, c’est mauvais mais ça passe, là où tout devient complètement abrutisant c’est dans la réalisation. Bien que le budget soit plus que risiblement bas, on a tout simplement pas le talent de nos ambitions. De plus, certaines scènes mal montées, certes, sont encore pirement filmées. Comme si, surtout dans sa finale simili-pseudo-explosive, on avait décidé de faire un hommage à John Woo alors que 1)on en demandait pas tant 2)ça n’a rien à voir avec le reste du film 3) ça n’a rien à voir avec la réalité de la diégèse et 4)tout est risible. Le type qui fusils dans chaque main, saute en tirant pour glisser sur le plancher du balcon tout en continuant à faire feu est époustouflement psychotronique.
Chained : A ne pas confondre avec le film Chained, Chained est le nouveau film de Jennifer Lynch qui semble apprécier les histoires où on séquestre des gens dans une maison. Il est difficile de savoir où elle veut en venir sauf bien sûr de nous faire grincer les dents devant des scènes lugubres où des femmes séquestré finissent par 1)mourir 2)être violées et/ou 3)être violées à mort.
Red Lights : J’avoue avoir été un peu déstabilisé par Red Lights. Il y a dans ce film de Rodrigo Cortes, un meilleur film qui se cache. Je crois que Cortes ne devrait pas réaliser ses scénarios et les laisser à de meilleurs conteurs que lui ou il ne devrait pas écrire ses scénarios et les laisser à des meilleurs auteurs que lui. Red Lights est très intéressant pendant ses 30 premières minutes pour ensuite changer de direction un peu comme The Usual Suspects par exemple passant de l’explication des truands à une intrigue en parallèle sur Keysor Soze. Dans Red Lights on nous explique qu’un duo de psychologues démasquent des fraudeurs d’activités paranormaux pour ensuite se tourner vers un personnage qui selon le duo, est surement le pire fraudeur, un genre de magicien-psychologue-rockstar-télépathe. Cortes ancre son film dans une réalité très débatable où les gens acclament les télépathes au point où même les professeurs d’université en font le sujet de leur Mémoire. Il utilise le concept d’Inception, par exemple, où Ellen Page ne sert qu’à expliquer au spectateur ce qu’il doit comprendre. Ce qui allourdie incroyablement le récit surtout à son pivot-final qui n’est pas tant surprenant mais qui est amené de façon tellement à brûle pourpoint que tout est prétentieux et le twist final devient ridicule parce qu’il ne change rien au film. Par contre, il y a un deuxième pivot pas inintéressant qui lui aussi est amené de façon extrêmement maladroite et raconté à coup de flash backs prétentieux pour que l’on comprenne bien ce qui nous ait passé sous les yeux durant le film. Cortes semble vouloir nous dire quelque chose sur la foi et les croyances mais le fait en croyant que son scénario est plus béton qu’il ne l’est. La scène de bataille dans la salle de bain est de loin la scène la plus inutile que j’ai vu de ma vie. Au final, on nage en plein Unbreakable mais en donnant tellement peu d’information aux spectateurs qu’une finale du genre est tout simplement malhonnête.
Freak : Freak est la dernière prestation scénique du one-man show de John Leguizamo. Leguizamo est un acteur sousestimé et il n’a pas toujours choisi les meilleurs projets cinématographiques. Contrairement à un Denis Leary par exemple qui a une carrière beaucoup plus solide suite à son passage du stand-up au cinéma. Freakraconte l’histoire de la jeunesse de Leguizamo de sa naissance à son adolescence. Il le fait de manière très cru, très honnête et pas nécécssairement drôle mais assez pour nous tenir éveillé et pour se démarquer par son talent scénique.
Turkey Shoot : Turkey Shoot est un film qui rappelle The Most Dangerous Game mais avec des prisonniers sur une île. Et plus trash. Le genre de film qui a été refait des centaines de fois depuis dont le très super trop moyen Surviving The Game (sortie presqu’en même temps que le supérieur mais quand même pas trop No Escape) qui lui aussi était un plagiat de Hard Target. Brian Trenchard-Smtih à toujours été mon réalisateur de films de série-B australien préféré et Turkey Shoot ne déçoit pas. Oui tout est un peu trash, les effets sont assez mauvais, tout est de mauvais goût mais le film est énergique et les acteurs s’en sortent assez bien. Turkey Shoot est mon genre de série-B, pas prétentieux et qui livre la marchandise.
John Dies At The End : John Dies At The End est un roman extrêmement jouissif (il est en fait une compilation d’hisoitres racontées sur les Internets). Le livre part dans toutes les directions et nous tient en haleine en plus d’être drôle, gore, original, etc… Le film ne pouvait pas arriver à la cheville du livre mais entre les mains de Don Coscarelli, il est probablement ce qui se rapproche le plus d’une réussite. Si on oublie le budget risible et les effets spéciaux un peu moches vers la fin du film (je soupçonne qu’on voulait faire le film en 3D), JDATE est le film le plus amusant que j’ai vu depuis longtemps. Sans être un grand film, Coscarelli à réussi à ne pas se prendre au sérieux tout en prenant très au sérieux sa mise en scène. Il n’y a rien de pire qu’un film qui ne se prend pas au sérieux fait n’importe comment sous prétexte que c’est pas sérieux. Coscarelli ne fait pas cet erreur et nous offre un film sérieusement tourné et très divertissant. Mes attentes étaient énormes et je n’ai pas été déçu. (Les acteurs sont moyens…)
The Stone Tapes : Bien que le film ait un peu mal vieilli et que la scène d’ouverture soit confusante, The Stone Tapesest un téléfilm assez bien écrit et relativement épeurant. Un genre de Paranormal Activity mais 30 ans plus tôt et plus efficace.
Abraham Lincoln Vampire hunter : Si j’étais homosexuel, j’essaierais fortement de devenir l’amant de Dominic Cooper. De cette façon, je pourrais mieux le diriger dans ses choix de films et sa carrière s’en porterais mieux. Je trouve abhérant qu’il perde son temps dans des navets de la sorte. Dans le fond, je veux juste son bien. Il y a longtemps que l’on sait que Rufus Sewell a des paiements à faire sur son chalet et son bateau alors on lui pardonne ses écarts de conduite. Je n’ai jamais compris ce qu’on pouvait trouver à Anthony Mackie mais je ne crois pas que Abraham Lincoln Vampire Hunter soit vraiment le film pour juger de son talent. Le film est incroyablement mal raconté et les acteurs sont dirigés comme s’ils jouaient dans un sitcom de piètre qualité. Tout est en CGI alors il me semble que la moindre des choses est de bien diriger tes acteurs quand tu n’as rien d’autre à faire sur le plateau, mais bon…
Blubberella : Uwe Boll avait presque réussie à racheter une filmographie remplie de navets avec Rampage. Mais le revoilà en train de tourner un film de façon cegepienne sans qu’on ne comprenne trop pourquoi. Boll n’est pas sans talent mais il s’entête à vouloir tourner des navets un après l’autre. Blubberella est une vampire anti-nazi pendant la 2eguerre mondiale à Berlin. Outre le fait que l’actrice personnifiant cette Bluberella est assez mauvaise, toute les blagues tombent à plat à cause de son manque de talent. D’un autre côté même si l’actrice principale était bonne, les blagues tomberaient à plat aussi. Il y a une différence entre de l’humour absurde, pince-sans-rire un peu subtil et des blagues d’obèses cochonnes qui lichent des dildos. Je n’ai rien contre l’humour trash mais quand en plus c’est filmé comme une télésérie fait par un cégepien qui découvre les rudiments du métier…
The Stink Of Flesh : Si le film avait été tourné 10 ans plus tôt et s’il s’était concentré sur l’invasion de zombies plutôt que sur des scènes de sexes malaisantes ainsi que de l’humour porté par des simili-pseudo-acteurs sans timing comique, on aurait pu comparé The Stink of Flesh à Six String Samourai. Mais comme le film est tourné en 2005 et semble vouloir remplir ses temps morts par des scènes de sexe, on a de la difficulté, donc, à comprendre où on veut en venir.
Wrath Of The Titans : J’avais l’impression de voir Clash Of The Titans mais avec encore plus de feu et d’arbres sans feuille et avec plus de cabotinage. Un film qui ressemble étrangement à un mauvais jeu vidéo.
Resident Evil : Afterlife : La série des Resident Evil n’est pas très bonne et ne l’a jamais été mais les gens continuent d’aller voir ces films donnant une raison aux producteurs d’en produirent d’autres. PW Andersson et sa femme s’en donnent donc à cœur joie. Les effets spéciaux bien qu’ils soient au dessus de la moyenne donnent l’impression que l’on a utilisé des outakes du film précédent et qu’on les a manipulé dans After Effect pour donner un autre film. On a l’impression de voir Ultraviolet 2. Paul W Andersson à l’avantage de faire des films aux budgets modestes mais qui paraissent plus dispendieux ce qui a pour désavatange de tout faire approximativement : des scènes d’action ininspirées et risibles, des effets spéciaux désuets au niveau du 3D, de la vitre qui ne ressemble en rien à de la vitre, des explosions cheaps, des slow-mo cheaps. Comme si toutes les idées de Andersson étaient puisées dans des films datant de 1998 et qu’il n’arrivaient pas à les rendre meilleures, juste une ligne sous le niveau du simili-plagiat/simili-ridicule/simili-merdique. Autrement dit, il recycle en pire ce qu’il à déjà vu en mieux au lieu de nous montrer ce que tout le monde veux voir : les seins de sa femme.
Around The Fire : L’histoire d’un ado vraiment fâché du marriage de son père avec une femme sans charisme suite à la mort de sa mère et qui tombe dans l’enfer du LSD et des Grateful Dead. Comme il vient d’une famille extrêmement riche, il est choquant de voir un ado de bonne famille prendre de la drogue. Je crois que c’est ça le message du film. L’alcool et les autres drogues ne sont fait que pour les pauvres sinon c’est choquant. Une facture très télévisuelle et un scénario assez minable coulent se film au message peu subtil. Heureusement les acteurs sont généreux (pour ce genre de production)
Just Before Dawn : Dans un monde parallèle, Just Before Dawn mène une lutte sans merci avec Final Terror, deux films exactement pareils sortient presqu’en même temps et oublié presqu’aussi rapidement.
Big Meat Eater : Comédie pseudo musicale obscure, Big Meat Eater, est possiblement un OVNI dans l’univers du film canadien. Payé fièrement par nos taxes, ce film de série-B rappelle Little Shop Of Horror autant dans son ton, son humour, ses décors et son intrigue rocambolesque. On devrait être en mesure de présenter ce film dans toutes les écoles primaires du Canada pour ainsi montrer aux jeunes ce que c’est la créativité.
Safety Not Garanteed : Bien qu’elle joue toujours le même rôle, je ne crois pas être le seul à être attiré physiquement/amoureusement par la beauté slacker-esque, le bagout pince-sans-rire et l’attitude désinvolte d’Aubrey Plaza. Safety Not Garanteedest donc un chef-d’œuvre. Comédie romantique indépendante avec ses forces et ses faiblesses, Safety Not Garanteed a de bien la performance de Plaza et celle de Mark Duplass qui non seulement nous font croire à leur personnage, à l’histoire loufoque mais également à la métaphore du film, tout ça de façon subtile et non-forcée, tout ça de façon charmante.
Warrior from 2072 : Wow!