Magazine Cinéma

Rotting Christ – Kata ton Daimona Eaytoy

Par Darkstein

Quelle année ! Février et le dernier Nick Cave & The Bad Seeds ou un album qui aurait pu s’intituler Euphoria Morning si ça n’avait pas déjà été pris, oscillant entre l’intimité d’un Boatman’s call et l’emphase discrète d’un Abattoir blues, et mMrs (dieu de la guerre) nous pond le dernier Rotting Christ, toujours estampillé black metal quoique musicalement plus proche d’un métal tribal (c’est ça qu’on appelle « groove metal » ?) à la Sepultura, puisant aux sources des mythologies antiques.

M’est avis qu’en concert, peu seront à reprendre les paroles car ici nos grecquois puisent à tous les rateliers, chantant qui en grec, qui en roumain ou latin. Musicalement parlant, c’est du lourd, batterie caverneuse, riffs assassins (on a droit quand même à un solo sur Iwa Voodoo), voix hurlée, choeurs illuminés. Dans la droite lignée d’Aealo, on traverse les époques et les religions à toute berzingue.

Je me laisse aller aux versions collectors car me voilà l’heureux possesseur d’un médaillon démoniaque et d’un joli drapeau à accrocher dans la chambre d’enfants. Na.



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