Babel ~ Mumford & Sons

Hello tout le monde! Et surtout, un beau gros hello bien baveux à ma Chettebi, puisque cet article t’es dédié, et rien qu’en lisant le titre, tu auras compris pourquoi…

Cette géniale coupine que j’adore tellement elle est timbrée comme moi et prof comme moi (enfin, presque) m’a donc légué l’album des Mumford & Sons, vu que ça faisait un peu lacune de ne l’avoir pas encore écouté alors que Whispers in the dark et Little lion man font partie de ses chansons qui me foutent la banane no matter when.

Donc voilà, pour une fois, je vous reviewe un album. Sod it, comme dirait Colin Firth…

Mumford & Sons, ptit groupe bien anglish comme je les aime (Coldplay en tête, et « Coldplay is really good, deal with it! »), se démarque des autres par les sonorités de la mandoline, si caractéristique du groupe. D’ailleurs, au début, les premières fois que j’avais entendu Little lion man, je pensais que j’écoutais Travis, le groupe auteur du merveilleux Sing (si, le clip avec les gens qui se battent à coups de bouffe, j’adore).

Babel s’ouvre donc avec le titre éponyme (ça veut dire qui s’appelle Babel itou, bande d’incultes!), une intro sublime qui met bien dans le mood pour les quatre chansons à venir.

Seconde piste, le désormais bien connu Whispers in the dark, qui ici en Belgique passe en boucle sur toutes les bonnes radios (Pure FM, Classic 21, bonsoir!), qui fout une de ces pêches comme rarement, et j’adore!

Ensuite, on continue dans la banane, puisque c’est I will wait qui se pointe gentiment, et j’en peux plus de la chanter à tue-tête… Voilà.

Quatrième piste, Holland road, qui commence bien calmement, avant de péter en accords et en volume de voix, et les paroles sont juste à manger.

Ghosts that we knew calme un peu le rythme effréné de l’album, tandis que que Lover of the night repète. Et répète que c’est BON BORDEL!

Lover’s eyes se calme de nouveau, tout en douceur pour une belle ballade qui pète un peu sur la fin, mais toujours gentiment…

Reminder, une petite pause bien méritée. L’intro de Hopeless wanderer m’a fait méchamment penser à Prospekt’s march, mais ban, je suis fan de Chris Martin, pas ma faute… ^^

Broken crown, elle, m’a fait un peu penser aux accords d’un Simple Minds ou d’un U2. Mais alors bien barré.

Below my feet, je suis fan. Voilà.

Not with haste est donc la version acoustique et sans Birdy de Learn me right, la BO de Rebelle. Je ne sais pas laquelle je préfère, cette chanson est tellement sublime…

For those below est un bonbon bienvenu après une chanson si calme et triste.

The Boxer, je confirme Chettebi, est une tuerie. Et il parait que c’est une reprise de Simon & Garfunkel, d’après la Mamma. J’approuve.

Et Where are you now… J’en peux plus… -_-

Bref, les gens, cet album est une pure tuerie, et pour ceux et celles qui ne connaitraient pas encore la voix et la mandoline de Mumford, on se jette dessus, merci!