Un film popcorn 100% action, qui sent la testostérone !
Synopsis : "Après avoir été trahie et décimée par une organisation terroriste, l'équipe des GI Joe réalise que le gouvernement a été infiltré et que notre monde est au bord de la destruction.
Sans alliés, sans renforts et sans personne à qui se fier, Roadblock (Dwayne Johnson) et ses GI doivent identifier l'ennemi pour tenter de sauver notre civilisation. Ils font alors appel à celui qui a donné son nom à leur corps d'élite: Joe Colton (Bruce Willis)."
La vidéo de la critique du film G.I. Joe : Conspiration by la Team NoPopCorn
La vidéo de la critique est en cours de montage.
Elle sera en ligne très prochainement, en attendant lisez notre critique écrite.
La version texte de la critique
Prise au piège, l'équipe des GI Joe n'existe plus.
Pour contrer l'infiltration du gouvernement américain par Cobra, la nouvelle équipe des GI Joe, Roadblock (Dwayne Johnson), Lady Jaye (Adrianne Palicki), Flint (D.J. Cotrona) et Snake Eyes (Ray Park) vont devoir travailler en équipe réduite en sous-marin, et vont même faire appel à Joe Colton (Bruce Willis), pour leur donner un petit coup de main. (...)
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L'Avis de Yannick R. - Cliquez pour lire la suite (7/10)
Le(s) plus
Deuxième épisode pour l'équipe des GI Joe.
GI Joe : Conspiration est avant tout un film d'action qui se respecte en étant à 100% dans le genre.
Tout le long nous avons des gunfights, des combats à mains nues, des explosions, des joutes verbales et autres bases de film "Bad Ass".
En plus de ces éléments, le film GI Joe : Conspiration hérite d'un scénario simple, mais travaillé pour un film de ce type et avec de quoi remplir les 100 minutes de film, notamment avec des dialogues décalés.Le scénario de GI Joe : Conspiration contient beaucoup d'humour et l'on se souviendra de quelques scènes, comme celle où les héros Conrad "Duke" Hauser (Channing Tatum) et Roadblock (Dwayne "The Rock" Johnson) réclament de l'aide, alors que finalement on les voit jouer à un FPS (jeu vidéo de tir), ou encore des échanges de dialogue entre Joe Colton (Bruce Willis) et la fameuse "Brenda".
Pour l'ensemble du film, le réalisateur John M. Chu a réussi à rester proche de l'esprit des jouets, bien plus que le premier épisode, G.I. Joe - Le réveil du Cobra, réalisé par Stephen Sommers. Oui, peut être que certains ne sont pas encore au courant, mais G.I. Joe est une adaptation cinématographique, des jouets du même nom de la marque Hasbro (comme pour Transformers).
Côté casting, les véritables têtes d'affiche du film sont: Dwayne Johnson (Roadblock), Adrianne Palicki (Lady Jaye) et Jonathan Pryce (le président des Etats-Unis).
On ne peut pas dire le contraire, Dwayne "The Rock" Johnson est indéniablement le remplaçant du Schwarzy de notre enfance, avec le jeu en plus (qui n'a jamais été le point fort d'Arnold Schwarzenegger).
Adrianne Palicki, est la séductrice du film avec sa plastique semblable à celle de Megan Fox et son visage aux airs d'Eva Mendes. Adrianne Palicki saura séduire le public masculin.
A noter que Jonathan Pryce est très bon dans son double rôle de président des Etats-Unis et qu'au casting on retrouve également RZA dans un petit rôle (Blind Master), mais le jeu de RZA est bien meilleur que dans son propre film L'Homme aux poings de fer.
Sans oublier les deux grands caméos vedette, avec Bruce Willis pour Joe Colton et Channing Tatum pour Conrad "Duke" Hauser.
Mais on retrouve également à l'écran : Ray Stevenson pour Firefly, Arnold Vosloo pour Zartan, Lee Byung-Hun pour Storm Shadow et Ray Park pour Snake Eyes.Techniquement, la conversion en 3D est superbement exécutée: on a de bons effets de profondeur et les plans en montagne nous donnent le vertige. Même les effets en CGI, pour les sauts au-dessus du vide ou autres, sont très bien intégrés.
A noter que la musique, parfois à base de guitare électrique énergique, accompagne très bien le film.
Le(s) moins
Le scénario est travaillé pour un film d'action, mais ne risque pas de vous brûler des neurones. En même temps, la communication du film va dans ce sens, donc quand on va voir GI Joe : Conspiration on sait qu'on y va pour de l'action, pas pour voir un film intellectuel.
Principalement ciblé pour le public masculin, le film GI Joe : Conspiration avec la présence de Channing Tatum tente d'attirer le public féminin, mais son temps de présence réduit ne pourra les combler.
D'ailleurs il faut faire attention à la campagne marketing qui met en avant les noms (et visages) sur les affichages, de Bruce Willis et Channing Tatum, alors que finalement leur temps de présence à l'écran ne dure pas, surtout pour le rôle de Bruce Willis, qu'il faut considérer plus comme un (très bon) caméo.Techniquement, quelques effets visuels sont moins bien que d'autres, mais surtout le déguisement asiatique de Zartan est un peu ridicule et pas réellement bien fait, en tout cas sur grand écran ça ne passe pas très bien.
Conclusion
Même si le scénario est un peu classique et qu'il ne risque pas de nous brûler des neurones, il donne une bonne structure à ce film "Bad Ass".
Une belle 3D, un bon casting, le retour des GI Joe est réussi.
GI Joe : Conspiration est un bon film popcorn, 100% action, au parfum testosterone.
Ma note 7/10.
J'avoue sans honte avoir aimé le premier, G.I. Joe - Le réveil du Cobra, même si il n'était pas exempt de défauts, en particulier un manque de charisme de ses interprètes et une surabondance de CGI. (...)
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L'Avis de Patrice S. - Cliquez pour lire la suite (7.5/10)
Le(s) plus
G.I. Joe : Conspiration est une version beaucoup plus réussie du concept. Le réalisateur Jon Chu est clairement un fan de la franchise, il a donc fait tout fait pour rendre hommage au matériel d'origine (figurines, dessin animé mais surtout le comics qui a posé les bases narratives de l'univers), cette affection est toujours un atout pour ce type d'adaptation .
La réussite de cette suite tient en grande partie au script de la paire Rhett Reese & Paul Wernick, qui s'était faite remarquer avec le scénario de Zombieland et qui depuis, est très demandée pour leur faculté de produire des histoires dynamique ayant intégré les forces de la pop culture mais toujours avec humour (un scénario d'adaptation du comics 'Deadpool' pour la Fox et un brillant 'actioner' de SF pour Sony 'Epsilon'). Ils parviennent à suivre un cahier des charges compliqué à savoir rebooter la franchise (équipe renouvelée style plus "hum hum" réaliste) tout en continuant l'histoDire ou elle s'était arrêté : le Cobra Commander (chef des méchants) est en prison et un de ses agents a usurpé l'identité du président des USA.
Ils ne gardent du précédent que cette trame ainsi que les deux ninjas Snake Eyes et Storm Shadow mais dynamitent tout le reste au sens propre et figuré.
Les GI Joe décimés se réduisent désormais à 4 membres sans leur support technologique, oublié le Cobra Commander savant fou à l'origine tortueuse (joué par Joseph Gordon Levitt dans le 1er) , rebonjour le look et la personnalité des comics et du dessin animé (toute ressemblance avec un seigneur de Sith bien connu n'est pas fortuite). L'aspect comic-book joue à plein, on a vraiment l'impression de feuilleter un fascicule, les scènes d'action s'enchaînent, le plan des méchants est très bondien(jusque dans le compte à rebours final).
Vous êtes une major américaine, vous trouvez que votre franchise est un peu molle faites comme Universal pour 'Fast Five' et désormais Paramount appelez le "franchise viagra" Dwayne "THE ROCK" Johnson, ça marche ! Son physique larger than life, son jeu second degré se marie parfaitement à ce type de film les nouveaux venu n'ont aucune peine à faire oublier l'équipe précédente. Bruce Willis intervient tardivement pour ce qui n'est qu'une grosse cameo mais son personnage de premier des GI JOE blasé que rien n'impressionne nous régale plus que tout Die Hard 5 ! Son running gag avec la sculpturale Adrienne Palicki fonctionne bien,en plus d'avoir un physique spectaculaire elle s'avère à l'aise dans l'action comme dans la comédie. Walton Scoggins (la série TV 'The Shield', 'Django Unchained') fait une apparition surprise en directeur de la prison pour super vilain dans une scène à la fois drôle et so-comic-book.
Le réalisateur Jon Chu adepte de chorégraphie réussit son entrée dans le monde du blockbuster d'action, le film est rythmé intègre parfaitement les CGI à l'action sans jamais se laisser dévorer .Une scène illustre cette maitrise, un fabuleux combat opposant à haute altitude les gentils ninjas Snake Eyes et jinx a une armée de méchants, spectaculaire, vertigineuse, utilisant dynamiquement la 3D, c'est LA scène du film.
A noter aussi la musique puissante d'Henry Jackman compositeur attitré de Matthew Vaughn qui après Kick Ass et X-Men :Fist Class s'impose comme l'avenir de la musique d'action.
Le(s) moins
Après la destruction massive de Londres, le final fait un peu cheap avec The Rock au volant de son buggy qui m'a rappelé les sombres heures du film Méga Force(Hal Needham, 1982), allez voir la bande annonce ici (http://youtu.be/-KpfKp-gv6s), vous ne serez pas déçu!
De toutes les nouvelles têtes on aurait bien pu se passer de la prestation transparente de "D.J." Cotrona, dire que George Miller l'avait casté en Superman dans son film avorté sur la Justice League, on l'a échappé belle !
Conclusion
G.I. Joe : Conspiration est un film d'action pop, drôle, sur-vitaminé et hyper efficace qui ravira les fans d'action de tous âges et ouvre en beauté la saison des blockbusters estivaux!
7.5/10
G.I. Joe : Conspiration
Réalisé par: Jon M. Chu.
Avec: Channing Tatum, Bruce Willis, Dwayne Johnson, Adrianne Palicki et RZA.
Genre: Action, Aventure, Science fiction.
Titre original: G.I. Joe 2: Retaliation.
Nationalité: Américain.
Distributeur: Paramount Pictures France.
Durée: 1h39min.
Date de sortie: 27 mars 2013.
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Bande Annonce - Version Originale Sous Titrée (Cliquez Ici)
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Les Anecdotes !
G.I. Joe : Conspiration est la suite de G.I. Joe - Le réveil du Cobra, sorti en 2009. Le film est inspiré d'une célèbre gamme de jouets du fabriquant Hasbro, elle-même dérivée d'une bande dessinée américaine publiée à partir de 1942. Aujourd'hui, les G.I. Joe se déclinent au cinéma, en dessins animés, en comics, en jouets, en jeux vidéo, etc.Avant de prendre le titre définitif de G.I. Joe : Conspiration (G.I. Joe : Retaliation en anglais), le film s'appelait "G.I. Joe : Cobra Strikes".
5 semaines avant la sortie du film aux Etats-Unis, Paramount a annoncé un report de 9 mois pour le convertir en 3D relief. Le 2e volet des aventures des G.I. Joe sort ainsi en mars 2013.
Le tournage a duré 72 jours à La Nouvelle Orléans en Louisiane.
De nouvelles recrues viennent étoffer le casting de G.I. Joe : Conspiration. Parmi elles, un duo de choc, Bruce Willis (Général Joseph Colton, le G.I. Joe des origines) et Dwayne Johnson (Roadblock). Du côté des absents - des absentes dans le cas présent -, Rachel Nichols (Scarlett) et Sienna Miller (la Baronne) ont dit adieu à leur rôle respectif. Elle n'ont tout simplement pas été intégrées dans l'histoire de ce nouvel opus.
Contrairement à G.I. Joe - Le réveil du Cobra, G.I. Joe : Conspiration n'est pas dirigé par Stephen Sommers (La Momie, Le Retour de la Momie, Van Helsing), alors même qu'il était pressenti pour réaliser cette suite, au moment de la sortie du premier film. Pour le remplacer, le studio Paramount Pictures s'est attaché les services de Jon Chu (Justin Bieber : Never Say Never).
Jon Chu a fait le choix de ne tourner qu'en pellicule et non en numérique : "On ne voulait pas de visuel en plastique brillant. Je voulais vraiment qu'on sente la crasse plutôt que le plastoc. Stephen F. Windon, le directeur de la photographie, m'a dit alors "pourquoi tu ne tournes pas en pellicule ?" C'est aussi comme ça qu'il a shooté Fast and Furious 5. A l'ancienne. Tourner en pelloche, visionner les rushes sur projecteur, c'était vraiment une version romantique d'un tournage. En fait, je voulais mettre mes jouets dans la boue et dans le sable, les salir, les casser, les démembrer", confie le cinéaste.
La plupart des acteurs du premier volet reprennent leurs rôles respectifs dans ce deuxième opus des G.I. Joe. Ainsi, Jonathan Pryce effectue un second mandat en tant que Président des Etats-Unis, Arnold Vosloo reprend son rôle du perfide Zartan et Channing Tatum celui du loyal Conrad «Duke» Hauser.
Le comédien Ray Park reprend du service dans ce second opus des G.I. Joe après avoir participé au premier volet, toujours dans le rôle de Snake Eyes. Si son visage vous dit quelque chose, c'est normal, il fait partie de ces comédiens dont on oublie toujours le nom mais qu'on reconnait au premier coup d'oeil. On a pu le voir affronter les Jedis dans le rôle de Dark Maul dans Star Wars : Episode I - La Menace fantôme ou s'opposer aux X-Men dans le film de Bryan Singer dans la peau du crasseux Crapaud. Cet athlétique acteur a également été la doublure du Cavalier sans tête de Sleepy Hollow.
Si le compositeur attitré des films de Robert Zemeckis, Alan Silvestri, avait officié sur le premier volet de G.I. Joe : Conspiration, c'est cette fois le très en vogue Henry Jackman qui s'y colle. En effet, ce musicien commence à être un habitué des films d'action et de super-héros avec les partitions de Kick-Ass de Matthew Vaughn, X-Men: Le Commencement du même réalisateur ou Abraham Lincoln : Chasseur de Vampires de Timur Bekmambetov.
Le rappeur/acteur/réalisateur RZA, leader du Wu-Tang Clan, campe le personnage de Blind Master dans ce deuxième volet de G.I. Joe : Conspiration. Cet ami proche de Quentin Tarantino a récemment réalisé son premier film, L'Homme aux poings de fer.
La promotion du film ne faisant pas assez de place à Channing Tatum, la production a dû le mettre plus en avant dans les trailers et bandes-annonces ainsi que sur les affiches où la part belle était faite à Bruce Willis et Dwayne Johnson. Cela vient du fait que le comédien est devenu très rapidement extrêmement populaire avec les succès de Magic Mike et 21 Jump Street notamment. La promotion ne pouvait donc pas se permettre de faire l'impasse sur Channing.
Egalement en rapport avec le surcroit soudain de notoriété dont bénéficie l'acteur, les raisons principales de la sortie repoussée de G.I. Joe : Conspiration sont les suivantes : que le film puisse être projeté en 3D, mais aussi permettre le tournage de scènes supplémentaires avec Channing Tatum, dont le personnage était à l'origine supposé mourir dès le début du film.
Joseph Mazzello prête ses traits au personnage de Mouse. Ce jeune comédien a fait ses débuts en manquant de se faire croquer par les dinosaures de Jurassic Park de Steven Spielberg en 1993. Le petit Timmy, c'était lui !
Par souci de réalisme, la production a fait appel à Harry Humphries, un vétéran des Forces Spéciales de l'armée américaine, afin de former les acteurs aux armes et à la tactique militaire.
Le premier volet des aventures des super-soldats avait coûté la bagatelle de 175 millions de dollars, somme pharaonique s'il en est. Pour la suite, le budget a été revu légèrement à la hausse avec un coût total de 185 millions de dollars.
L'acteur britannique Ray Stevenson campe le robuste Firefly dans G.I. Joe : Conspiration. Ce comédien à la stature impressionnante (1m93) est connu pour ses rôles de coriaces bourrus comme Porthos dans Les Trois Mousquetaires ou le chevalier Dagonet dans Le Roi Arthur.
La belle Adrianne Palicki campe Lady Jane dans G.I. Joe : Conspiration. La comédienne passe sur grand écran après avoir illuminé le petit de sa présence dans Smallville, Supernatural ou Friday Night Lights. Elle a également tenu le rôle de Wonder Woman dans la série du même nom malheureusement annulée.
La comédienne française Elodie Yung, vue dans Banlieue 13 - Ultimatum, campe Jinx, une ninja redoutable : "Quand elle est arrivée, elle dégageait une telle présence qu'il a été tout de suite évident que Jinx vivait déjà tapie en elle", déclare Jon M. Chu.
Pour pallier au manque d'infrastructures à La Nouvelle Orléans, la production a fait appel à la NASA, qui a mis à disposition des hangars de la Michoud Assembly Facility afin que l'équipe puisse y construire ses décors : "L'une des choses que nous a apportée la NASA, c'est de la place, donc la possibilité de nous étendre. Par moment, deux équipes filmaient en même temps, des plateaux se montaient et se démontaient, on avait probablement plus de 700 personnes travaillant simultanément ! Mais pas une fois nous ne nous sommes marchés sur les pieds, tant il y avait d'espace", confie le producteur Herb Gains.
Remerciements:
Sacha Bennasar et Michael M. pour le cadrage et Sacha Bennasar pour le montage de la vidéo
Merci à "Indian Connection", pour le lieu de tournage.
Restaurant indien, Bar, Music, Lounge
33/35 rue de Lappe 75011 Paris
Retrouvez le "Indian Connection" sur leur site internet
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