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L’huile d’olive protège le cerveau de vieillissement, maladie d’Alzheimer et de Parkinson

Par Accueilvendee

Adapté d’un article sur les bienfaits de huile d’olive du Dr Massimo Marchi

huile d'olive et cerveau
Il a été constaté que l’huile d’olive a une influence bénéfique sur le développement du système nerveux et du cerveau, en particulier dans les premiers stades de l’enfance.
Dans la vieillesse, par ailleurs, elle empêche l’apparition de maladies liées au ralentissement et à la détérioration de la fonction cérébrale.
Un travail de Francesco Sofi, nutritionniste à l’Université de Florence, après analyse de plusieurs études publiées au cours des ans dans le British Medical Journal, a conclu que le régime méditerranéen, dont une partie essentielle est constituée par huile d’olive, peut réduire de 13 pour cent l’incidence des maladies comme le Parkinson et l’Alzheimer.
Les effets sur les bienfaits de l’huile d’olive sont principalement dus à l’action de certains de ses constituants antioxydants tels que les acides gras monoinsaturés, l’acide oléique, essentiellement présents dans des concentrations élevées, le tocophérol (vitamine E), et les composés polyphénoliques.
Les antioxydants se lient à des molécules très instables qui se forment au cours du métabolisme cellulaire d’oxygène, les soi-disant radicaux libres.
Les radicaux libres sont des déchets de la respiration cellulaire et donc dérivés de l’oxygène. S’ils sont produits dans de grandes doses, ou on les laisse s’accumuler, se lient avec des composantes essentielles de la cellule nerveuse, en modifie la structure et provoque sa dégénérescence généralisée.
Le vieillissement,  l’artériosclérose, les toxines, le stress, le tabagisme, certains virus provoquent une augmentation pathologique de radicaux libres, qui entraîne une réduction de la fonction cérébrale et en particulier de la mémoire.
Les tissus cellulaires du système nerveux central sont particulièrement sensibles à l’action des radicaux libres dommageables pour de nombreuses raisons. Le cerveau, en fait, utilise environ un cinquième de la demande totale en oxygène de l’organisme, et en proportion développe une plus grande quantité de radicaux libres.
En outre, le tissu cérébral contient une très grande quantité de lipides polyinsaturés, le substrat plus exposés aux dommages oxydatifs. Mais les cellules neuronales en particulier ne sont pas particulièrement riche de ces enzymes qui forment la barrière de défense antioxydante, ni d’autres substances comme la vitamine E qui agissent comme des « charognards naturels » contre les radicaux libres.
C’est pourquoi un régime alimentaire équilibré, qui contient entre autres une bonne quantité d’huile d’olive,  contribue à préserver la santé et la fonction particulière du cerveau.
Récemment, une étude épidémiologique, appelée Italian Longitudinal Study on Aging ( ILSA ) a montré que la prise quotidienne d’huile d’olive est un facteur de protection dans la lutte contre le déclin cognitif qui affecte des personnes de plus de soixante ans, puis l’altération des fonctions diverses telles que l’aptitude à la pensée, l’apprentissage et la mémoire, l’attention et la concentration, et le raisonnement, y compris la langue et l’expression verbale.
Le stress oxydatif, classiquement défini comme l’effet final du déséquilibre entre la production et l’élimination des espèces chimiques oxydantes, constitue, comme mentionné, l’un des facteurs de risque émergents de santé. A lui, en effet, sont associés non seulement le vieillissement prématuré, mais une série de pathologies, souvent dégénératives et chroniques.
En particulier, le système nerveux central est, pour les raisons exposées ci-dessus (consommation élevée d’oxygène, niveaux élevés de fer, concentration importante d’acides gras polyinsaturés, etc.) l’un des principaux objectifs de stress oxydatif. A juste titre, il est considéré comme l’un des co-facteurs majeurs de maladies neurodégénératives (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer, etc.)
Si l’on considère la maladie d’Alzheimer, est intéressant de savoir qu’une étude de chercheurs américains de l’Université de Chicago a découvert qu’un composé dans de l’huile d’olive, l’oléocanthal, protège contre la maladie d’Alzheimer en modifiant la structure des protéines neurotoxiques qui  sont considérés comme des causes aux effets débilitants de cette maladie.
La maladie d’Alzheimer est la cause la plus fréquente de démence. Entre 50 et 70% des personnes atteintes de démence souffrent de la maladie d’Alzheimer.
Il s’agit d’une maladies dégénérative du cerveau qui entraîne une baisse progressive des fonctions intellectuelles et globales associées à une détérioration de la vie de la personnalité et sociale.
La maladie d’Alzheimer touche environ 5% des personnes de 60 ans ou plus. En Italie, on estime que plus de 500.000 personnes sont affectées par cette maladie.
Toujours à propos de la maladie de Parkinson, il y a des études qui montrent que certaines substances contenues dans l’huile d’olive réduisent le risque de développer cette maladie. En particulier, les médecins canadiens ont examiné huit études publiées dans la littérature médicale dans le monde entier entre 1966 et Mars 2005 pour évaluer la possibilité, ou non, qu’une alimentation riche en vitamine C, la vitamine E et le bêta-carotène (provitamine A) puisse réduire le risque de développer la maladie de Parkinson. En conséquence, l’apport de vitamine E joue une action préventive contre la maladie de Parkinson.
A l’issue de ce bref résumé, nous pouvons dire que l’huile d’olive extra vierge enchante nos sens, protège le coeur et les artères, aide à prévenir le vieillissement du cerveau, donc ….
Dr Massimo Marchi


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