Glenat, 9 janvier 2013, 55 pages
Résumé de l'éditeur :
Il ne faut pas souhaiter la mort de gens, ça n'est jamais assez méchant.
Dominique A est un chanteur-compositeur heureux, abordant sa nouvelle tournée avec la sérénité d un artiste accompli. Une sérénité qui ne fera pas long feu, à cause d une lettre anonyme annonçant laconiquement « J aurai ta peau, Dominique A »... Et pourquoi diable on lui en voudrait à LUI ? Qui peut vouloir la peau d un inoffensif chanteur même pas si célèbre que ça ?...
Mon avis :
C'est vrai que je ne connais pas spécialement l'univers musical de Monsieur Dominique A. mon cher-et-tendre le connait mieux, lui qui aime la scène musicale française peu connue. Je lui ai donc offert "comme ça", puis je l'ai lu, ma curiosité me poussant.
Ce que j'ai beaucoup aimé, finalement, c'est la préface de Monsieur Dominique A, et ce qu'il dit à propos de sa passion pour la musique : "j'ai sciemment déblayé le terrain tout autour de moi, je me suis coupé tous les ponts qui m'auraient permis d'échapper au micro et aux planches. J'étais un monstre de détermination". Avis aux chanteurs n'ayant pas fait carrière et ruminant, depuis....
L'amitié avec Philippe Katherine, plus médiatique, est sympathique et drôle ; la dernière planche également.
L'image que je retiendrai :
Celle de Philippe Katherine jouant à la console la tête à l'envers, qui en connait un rayon en dinguerie, mais lui c'est pour rire.