Bouygues Construction livre le nouveau pôle femme-enfant de l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges

Photo Anne-Claude BARBIER

Après trois ans de travaux d’extension et de réhabilitation, le centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges (CHIV) est à présent doté d’un Pôle Femme-Enfant, bâtiment neuf de 22 000 m², à la pointe sur les plans technologique et sanitaire, qui héberge les activités de gynécologie obstétrique et de pédiatrie, éparses avant l’opération. L’objectif est ambitieux pour le centre hospitalier intercommunal : passer de 2 500 accouchements par an à 3 000 tout en garantissant une qualité de confort accrue à ses utilisateurs, patients et équipes soignantes.

Mené conjointement par Bouygues Bâtiment Ile-de-France, pour la construction, et Bouygues Energies & Services, pour les lots électricité et C.V.C.D , toutes deux filiales de Bouygues Construction, ce projet a été réalisé en site occupé, ce qui a supposé, pour les équipes, de relever un défi  de taille : assurer les travaux sans perturber le fonctionnement de l’hôpital de 400 lits qui traite 70 000 urgences et 200 000 consultations par an.
La construction du pôle femme-enfant a été l’occasion de reconfigurer la totalité de la structure hospitalière compacte afin de la rendre conforme aux normes IGH  relatives à la sécurité pour les constructions de grande hauteur et à leur protection contre les risques d’incendie. Le Monobloc, l’immeuble existant de douze étages, est en effet en restructuration jusqu’à 2014.

Les deux bâtiments, très proches l’un de l’autre, communiquent par des passerelles sur plusieurs niveaux. L’accessibilité et l’accueil général ont été améliorés grâce à des ascenseurs et des possibilités de stationnement supplémentaires (parking souterrain de 200 places) sont offertes. La synergie entre les équipes des deux filiales de Bouygues Construction a facilité le dialogue avec l’architecte et permis de respecter tous les délais.

La nouvelle unité mère-enfant sera inaugurée en juin, date à laquelle tout l’hôpital sera également rebaptisé « Lucie-et-Raymond-Aubrac » en hommage au célèbre couple de résistants.