Omar Bork Al Gala a acquis une renommée soudaine alors qu’on apprenait il y a peu son éviction d’Arabie Saoudite. Les autorités saoudiennes ont estimé que le jeune homme était trop beau et aurait pu être facteur d’idées lubriques chez la gente féminine.
Il ne s’agit pas d’un, mais de trois hommes qui ont été déportés récemment d’Arabie Saoudite pour cause de ‘good look’. Trois hommes parmi tant d’autres s’étaient rendus dans le pays pour assister au Festival culturel Jenadrivah, tous trois déportés à cause de leur physique avantageux. L’identité de l’un de ces trois hommes a été retrouvée, il s’agit d’Omar.
Depuis cette histoire Omar a gagné plusieurs centaines de milliers de ‘like’ sur sa page Facebook. Les hommes et femmes du monde entier admirent sa plastique via les photos de son compte et lui envoient tous des messages d’amour et de soutien suite à sa mésaventure.
Omar dit que ses trois mots magiques sont ‘Live, laugh, love’. Ce qu’il se dit est vrai ? Il a fait peur aux saoudiens ? Il a répondu sur sa page.
Il y a une semaine le jeune homme demandait à ses ‘followers’ de lui indiquer comment ils le connaissaient. Les réponses furent unanimes, sa déportation a fait le tour de la terre et certains s’accordaient à dire qu’un homme ‘trop beau’ se doit impérativement d’être connu.
Dans une société où les belles femmes pullulent, tandis que les beaux hommes sont plus rares, devrait-on manquer ce fait ? Certainement pas. Mais la beauté est bien peu alors tentons d’en apprendre un peu plus sur Omar.
Le jeune homme a 25 ans, est natif de Dubaï et possède un blog photo. Il se dit modèle et photographe professionnel. Quoi encore ? Il est fier de son pays, vénère Sheikh Zayed Bin Sultan Al Nayhan, celui surnommé le ‘sage des Arabes’, fondateur de la Fédération des Emirats Arabes Unis.
Omar se décrit aussi comme acteur, poète, bien qu’on ne puisse trouver trace d’oeuvres officielles. Il attendait certainement un coup de pouce du destin. La chance a tourné en sa faveur.
Selon le journal en langue arabe Elapha, les autorités religieuses ont expulsé les trois hommes car ils avaient peur que les visiteuses du Festival éprouvent des sentiments réprimables à leur égard et ne puissent pas se contrôler. L’histoire semble avoir un lien avec la venue d’une artiste féminine, dont le nom n’a pas été cité, et qui serait impliquée dans l’expulsion de ces hommes.
L’Arabie Saoudite est le seul pays au monde où les femmes n’ont pas le droit de conduire. Elles ont acquis le droit de faire du vélo il y a quelques semaines, pour les loisirs et en compagnie d’un homme. L’identité des deux hommes qui accompagnaient Omar reste un mystère.
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