Descendre dans le Palais de Tokyo semble être la pente naturelle : dehors il y a les skateurs, la passerelle Debilly (absente sur mon plan de Paris), la Tour Eiffel. Dedans, mes pas me mènent à l’exposition des œuvres liées à Raymond Roussel. Sens du jeu, de la mécanique des mots et autres machines, évocations de lieux imaginaires ou réels, de formes étranges habitées. Plusieurs pièces sont en réparation (c’est écrit « maintenance » mais c’est que ça ne fonctionne plus, au moment de la visite). Ça n’empêche pas de faire ces voyages extraordinaires, de Jules Verne à Tinguely, dans les livres et les dessins. Il y a même un diamant de Carelman.
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Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble