
Amina prend ensuite la parole et livre sa version des faits. Enfant adoptée, elle vit dans le ressentiment. Elle est jalouse et violente dans ses propos et ses actes. L'aime-t-elle encore, ce peintre bloqué en fauteuil ? Peut-elle lui pardonner ses écarts ? C'est tout l'enjeu de cette seconde partie. Un roman dur sur le mariage, sur l'usure et le désamour... Brr...! Heureusement que le style reste sympa parce que le thème ne m'a pas emballée.
