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Le festival de Cannes de chez vous : les 5 films les plus glamour du cinéma – épisode 2

Publié le 16 mai 2013 par Urbangirl @urbangirlco

A l’occasion du festival de Cannes, nous avons commencé hier à nous remémorer les œuvres les plus glamour du septième art. Après Diamants sur canapé, nous allons revenir sur un film plus contemporain, mais qui nous a fait nous pâmer d’envie devant nos écrans, Le diable s’habille en Prada.

Affiche Le diable s'habille en Prada

Adaptation par David Frankel (Sex and the City) du best-seller éponyme de Lauren Weisberger (en anglais, The devil wears Prada), le film sorti en 2006, a été l’un des plus gros succès cette année là avec plus de 2,1 millions d’entrées en salles. Un engouement dû, en partie, au casting (Meryl Streep, Anne Hathaway, Emmily Blunt…), mais surtout au synopsis, promettant un univers très féminin et beaucoup d’humour.

Le diable s'habille en Prada - Anne Hathaway

Andy (Anne Hataway), la trentaine et récemment diplômée, rêve de devenir une grande journaliste. Les places sont très rares. Elle décide en attendant et pour acquérir de l’expérience, de postuler pour le plus grand magazine de mode : Runway. Certaine de ne pas être retenue, c’est elle, contre toute attente, que choisit comme assistante personnelle Miranda Priestly, la rédactrice en chef. Nous assistons aux premiers pas d’Andy, jeune femme pétillante et pleine de ressources, dans l’univers impitoyable de la presse et de la mode. Celle-ci va vite découvrir que derrière les mannequins sur papier glacé du magazine, se cachent une organisation complexe et un travail sans relâche. Mais c’est surtout sa confrontation avec Miranda qui transformera sa vie en véritable cauchemar.

Le diable s'habille en prada - essayage photos

Ce film nous parle d’amour, d’amitié, de trahisons et de désillusions, mais surtout d’un monde où “glamour” est le maître mot. Bien que l’on découvre l’envers du décor (pas toujours resplendissant), on ne peut s’empêcher de s’émerveiller devant les tenues haute couture qui nous sont présentées. Meryl Streep, formidable en dictatrice du goût , nous amuse et nous indigne en même temps, tandis que l’on compatit devant les mésaventures d’Anne Hataway. Le film passe à une vitesse folle, alternant moments comiques et d’émotions. Plus qu’une comédie, c’est bien ici une satire de la mode qui nous est offerte.


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