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Orientalisme, Vente Artcurial

Publié le 26 mai 2013 par Kenza

Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 88 - Alexandre ROUBTZOFF (Saint-Pétersbourg, 1884 - Tunis, 1949) Manoubia
Estimation: 120000  - 180000 €

Orientalisme Vente le 19 juin 2013 à 16h ARTCURIAL 

Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 17- Etienne DINET (Paris, 1861 - Paris, 1929) Caravane à Laghouat
Estimation: 200000  - 300000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 22- Henri d`ESTIENNE (Conques, 1872 - Paris, 1949) Jeune orientale
Estimation: 8000  - 10000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 44- Henri PONTOY (Reims, 1888 - Reims, 1968) Souk
 Estimation: 8000  - 12000 €

Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 49- Fernand LANTOINE (Maretz, 1876 - Maretz, 1955) Marrakech
Estimation: 20000  - 30000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 55- Jacques MAJORELLE (Nancy, 1886 - Paris, 1962) Souk à Marrakech
Estimation: 40000  - 50000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 59- Joseph-Félix BOUCHOR (1853 - 1937) Femmes sur la terrasse, Fez
Estimation: 2000  - 3000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 61- Louis Joseph ENDRES (Cincinnati, 1896 - 1989) Sur la terrasse, TangerEstimation: 25000  - 30000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 70- Hassan EL GLAOUI (Marrakech, 1924 - ) La sortie du Roi
Estimation: 7000  - 9000 €


Orientalisme, Vente Artcurial

Lot 91- Léon CAUVY (Montpellier, 1874 - Alger, 1933) La place de Bab-Souïka et la mosquée Sidi Mahrez
Estimation: 12000  - 15000 €


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Par La Fontaine de Sidi-Hassan d'Ahmed Benzelikha
posté le 25 avril à 11:27

Le tableau d'Henri d`ESTIENNE est attachant.

Par Etienne Dinet
posté le 19 avril à 08:34

Ses œuvres s'inspirent des traditions, des histoires et de la vie à Bou-Saâda, considérée alors comme la « porte » du Sahara

Ouled Naïl, 1861, musée d'Orsay, Paris. Terrasses de Laghouat, 1885, musée d'Orsay, Paris. Une rue à Laghouat, 1887, musée d'Orsay, Paris. Autoportrait de l'artiste, 1891, musée Nasr-Eddine-Dinet, Bou-Saâda, Algérie. Jeune fille de Bou-Saâda, huile/carton, 1892, musée d'Orsay, Paris. L'air était embrasé, 1894, musée d'Oran, Algérie. Esclave d'amour et Lumière des yeux, 1895, musée d'Orsay, Paris. Le Lendemain du ramadan, 1895, musée Henri-Boez, Maubeuge. Raoucha 1901, musée des Beaux-Arts, Alger. Femmes arabes au cimetière, huile sur toile, 43 × 43 cm, collection particulière4. La balançoire , musée des Beaux-Arts de Reims. Au bord de l'oued , musée des Beaux-Arts de Reims. Le printemps des coeurs , 1904, musée des Beaux-Arts de Reims. La Lutte des baigneuses, 1909, collection particulière. Baigneuse dans la palmeraie - étude, huile sur papier beige marouflé sur carton, 38 × 30 cm, collection particulière5. Paysage de l'Eiger, ensemble 3 huiles/carton 33 × 20 cm, 33 × 22 cm, 33 × 24,5 cm, collection particulière6. Petites filles jouant et dansant, huile/toile, musée des Beaux-Arts, Alger. Départ à La Mecque, huile/toile, musée des Beaux-Arts, Alger La Voyante, huile/toile, Musée national de Cirta, Constantine. L'Autoportrait de l'artiste, réalisé en 1891 (musée Nasr-Eddine-Dinet, Bou-Saâda), a été peint dans l'un des deux pavillons des bords de Seine du château d'Héricy, situé en Seine-et-Marne non loin de Fontainebleau. Le tableau est présenté l'année de sa création lors de l'Exposition internationale de peinture à la galerie Georges-Petit-Puis à Paris, puis en mai 1892 au Salon de la Société nationale des beaux-arts du Champ de Mars.

Le tableau, qui occupe une place de choix dans le hall d'accueil du château, reviendra aux acquéreurs lors de la vente de la propriété en 1923. Plus tard, ceux-ci l'offriront à Hadj Sliman ben Ibrahim au moment de la revente.

« Dinet s'est plu à s'y représenter dans son habitude familière (…) Il peint en fixant son modèle, son pinceau favori entre les dents, prêt pour une délicate retouche. Cette attitude, il la conserve sa vie durant », écrit sa sœur commentant cette œuvre.

Bénédite, son ami, conservateur du musée du Luxembourg, en fait cette description : « L'artiste se distingue par une figure fine et nerveuse au teint bronzé qu'allonge une courte barbe noire, argentée chaque année au-dessus de ses tempes ; ses yeux à la fois froids et décidés, farouches et doux sous les sourcils noirs qu'arrêtent son front nu, intelligent et volontaire. Vous croirez vraiment avoir en face de vous quelque chef arabe déguisé à l'européenne. »

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