Présent sur Twitter, tapant son texte d'un doigt, buvant d'une main, s'observant du coin de l’œil, et postant ses tweets avec, je suppose, le nez (et facebookant donc avec les oreilles), Nicolas n'a pas cessé de donner de ses nouvelles. On a pu le suivre d'un lieu à un autre, de la Bibliothèque du FIAF au Salon Book Expo America (BEA, comme dit Publishers Weekly), où le voici.
Il est presque 23 heures à Madagascar, 16 heures à New York, je vais faire comme Nicolas, lâcher mon texte - il m'a coûté beaucoup moins d'efforts, et je salue le vainqueur du marathon, sans adversaires car personne d'autre n'était en mesure d'accomplir ce tour de force.
