En 2011 la population internationale apprenait le sens du terme «serment Juju», alors que l’on découvrait la prostitution forcée des femmes nigérianes à travers l’Europe. Dés lors qu’elles décident de migrer, les nigérianes le font généralement avec l’aide de personnes malfaisantes qui leur font faire des rites vaudous, les forçant par la suite à se prostituer sous peine de causer leur mort et celle des membres de leur famille.
Certaines d’entre elles, emmenées du Nigéria en Espagne, ont été torturées, violées, puis mises malgré elles sur le trottoir. Récemment les enquêtes menées ont réussi à faire arrêter 6 personnes à la tête de ce trafic espagnol, un gang de nigérians.
Ce réseau qui marche aussi trés bien en Italie où, il y a deux ans grâce au reportage ‘The nigerian connection’ , on découvrait qu’il y a là-bas jusqu’à 10 000 mères maquerelles, ces femmes qui maltraitent d’autres femmes. Mais voilà ce business semble aussi avoir largement percé en Espagne.
Comme le rapporte Sky News un réseau de nigérianes prostituées vient d’être partiellement démantelé. Ces femmes, pour la plupart méres célibataires car leurs hommes sont décédés, ont reçues des aides financiéres les ayant obligées à faire ce qu’on leur demandait. De menaces verbales, en maltraitance, elles en arrivent à avoir des parties du corps brûlées, car les mères maquerelles souhaitent leur démontrer le ‘sérieux’ dans lequel elles s’engagent.
Toujours selon Sky News, ces femmes furent transportées du Nigéria au Maroc puis en Espagne, où elles ont été mises au travail, notamment à Barcelone et Malaga.
Osezua Osolase, d’origine nigériane, violait et forçait ses victimes à la prostitution.
Les noms des ravisseurs n’ont pas été révélés. Cet incident en rappelle un autre. L’an passé un nigérian, Osezua Osolase, 42 ans, a été arrêté en Grande-Bretagne et condamné à 20 ans de prison. Il y forçait des jeunes filles originaires de chez lui à la prostitution, sans oublier de toutes les violer dans un premier temps.