Compagnons de captivité
Un jeune femme clouée au lit par un virus agressif et inconnu, seule la position allongée lui convient, pas question de mettre un pied par terre, pas question de rester assise.
Fini les balades avec le chien, fini de voir changer la forêt au gré des saisons, seul restent le rêve, l’imagination, les souvenirs et les visites des amis.
« J’avais toutes les peines du monde à vivre le moindre instant, et le moindre instant était pour moi une heure interminable »
Elisabeth Tova Bailey aurait pu intituler son livre : à l’ami qui m’a sauvé la vie,…