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On les nomme hommes de fer

Par Antoine06 @AVissuzaine
Parmi les défis sportifs les plus difficiles, le triathlon longue distance (dit « Ironman ») figure sans conteste sur le podium. Dimanche, à Nice, après des semaines de préparation, près de 3 000 concurrents s’élançait dans la Méditerranée pour 3,8 kilomètres de natation à l’heure où le jour est à peine levé. Pendant plus d’une heure pour la plupart, les nageurs affrontent la première épreuve du jour dans un balai de mouvements de crawl. ON LES NOMME HOMMES DE FER Une fois passé cette mise en bouche, les athlètes partent ensuite pour un périple de 180 kilomètres dans l’arrière-pays niçois notoirement vallonné. ON LES NOMME HOMMES DE FER Il s’en suivra un marathon. ON LES NOMME HOMMES DE FER Piètre nageur, je suis bien incapable de participer à ce type d’épreuve… Pour l’instant ! Venir ici en spectateur, pour le plaisir d’encourager l’exploit sportif, j’ai pensé que le triathlon était une bonne raison pour moi de me mettre à apprendre à nager correctement. Grâce à Internet, j’ai pu suivre en direct les temps intermédiaires de deux d’entre eux, Nicolas et Gaëtan qui boucleront l’épreuve respectivement en 12 h 12’ et 11 h 8’ avant d’aller les encourager de la voix sur le marathon.

ON LES NOMME HOMMES DE FER

Nicolas

Nicolas me dira plus tard que les encouragements lui étaient bien utiles et reconnaitra avoir marché un peu (on l’absout volontiers). Gaëtan, que je connais très peu (c’est le compagnon d’une amie), a probablement été surpris des encouragements de cet inconnu au chapeau.

ON LES NOMME HOMMES DE FER

Gaëtan


Peu importe le temps du premier, 2 783 concurrents ont passés la ligne d’arrivée. 2 783 prouesses. Photos : Emmanuel et Jean-Marc

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