Magazine Bébé

Liloute et le coucher.

Publié le 26 juin 2013 par Encoreunblogdemere

Un titre qui en dit long… Depuis quelques temps, le coucher et l’endormissement pour miss S., c’est toute une histoire ! 

Elle qui semblait descendre tout droit d’une lignée de marmottes depuis ses 3 mois, la voilà qui s’endort de plus en plus tard (et se lève de plus en plus tôt, ça pique!) depuis quelques jours, voire quelques semaines.

Liloute et le coucher.

Ou pas. Désolée de vous contredire M. Rufo ! (source : chapitre.com)

Nous avons d’abord mis ça sur le compte des dents, de la chaleur (fut un temps où il fallait mettre le ventilateur une heure en marche la nuit pour qu’elle puisse dormir), des cauchemars, puis du terrible two. Nous cherchions une réponse, une raison et surtout une solution au problème.

Alors qu’auparavant Liloute s’endormait seule après le rituel du coucher, vers 20h30 (voire plus tôt!), nous réclamant son lit avec entrain, elle boude désormais carrément sa chambre et veut veiller tard. Et quand, par chance, le coucher se passe bien, elle se réveille en pleurs 30 minutes après (montre en main!) et la recoucher rapidement et en une fois devient un exploit.

Je ne vous cache pas que nos soirées en ont beaucoup pâti, notre moral et nos nerfs également. Difficile de rester patient devant un bébé qui hurle dans son lit toute la soirée, malgré vos visites régulières et le test de toutes les techniques possibles et imaginables… Alors on se relaie, on essaie d’être fermes parce qu’on se dit qu’elle nous teste, on s’épuise à lui dire qu’on est là, à côté, qu’on l’aime et qu’elle peut dormir tranquille.

Parfois ça fonctionne, mais le plus souvent le coucher dure une bonne heure en tout. Et les parents fatigués ne peuvent se poser (sans faire de bruit, on ne sait jamais!) qu’à 22 heures minimum.

Liloute et le coucher.

Au pire, on peut toujours sortir le porte bébé… (photo avec éloignement express, ouh la mauvaise mère!)

Et puis il y a des soirs, comme hier soir, où on a guetté le bon moment. A près de 21 heures, après avoir joué, lu, dansé, chanté, Liloute a commencé à bailler et enlacer sa poupée, jouant avec le ruban de son attache tétine. Des signes qui ne trompent pas, et qui ont amené son père à lui « proposer » d’aller au lit. Après un « awaaar maman », un inventaire détaillé (si la tétine, le doudou ou le poupon manquent, drame assuré), bébé a rejoint son lit… Pour pleurer 5 minutes après. Retour de monsieur dans la chambre, berçage, et… Pleurs 5 minutes plus tard !

J’ai pris le relais, un câlin, une petite discussion sur la vie de sa poupée (qui voulait apparemment absolument un bisou), et la voilà qui réclame le dodo… J’ai passé une heure à épier le moindre bruit depuis le salon, c’est dire si je suis une traumatisée du coucher désormais !

Ce que j’en retiens : il me semble qu’avec les journées longues en été, les enfants veillent plus tard, ce qui ma été confirmé par quelques unes d’entres vous. La méthode qui marche le mieux chez nous : aller rassurer bébé, parler, faire preuve de beaucoup (trop) de patience. Et passer le relais quand l’énervement se fait sentir. Laisser pleurer (que dis-je, hurler!) ne fonctionne pas chez nous, et ne me convient pas de toute façon.

Pour rappel, Liloute a 20 mois, et est rentrée depuis ses 18 mois dans le très sympathique terrible two. Un lien ? Vous avez connu ça ?


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Encoreunblogdemere 8916 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines