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A découvrir "Happy sad" de Dear Eyes

Publié le 27 juin 2013 par Sébastien Michel

Dear Eyes Happy Sad Ep Disponible chez Believe      A Paris un garçon rêveur, la trentaine et le cheveu coiffé new-wave, reprend la relève de la pop anglaise des années 80. Influencé par Cure, Depeche Mode, Siouxsie, The XX, les Smiths, My Bloody Valentine, Dear Eyes dévoile un premier EP vaporeux, aux synthés addictifs que l’on découvre avec le premier extrait Etretat. Happy Sad, le premier Ep de Dear Eyes travaille les ambiances, les nuances. De la pop teintée d'électronique cotonneuse, qui fait dans le clair-obscur lumineux.      (c) Dear Eyes by Olivier Coursier    Minimalistes, sensuelles et attachantes, les chansons de Dear Eyes vous regardent droit dans les yeux et parlent au cœur. A la fois aérien et lyrique, épuré et élégiaque, son premier EP « Happy Sad » fait honneur à son titre et s'écoute paupières closes. De la pop teintée d'électronique cotonneuse, qui fait dans le clair-obscur lumineux.    

     

 

(c) Deear Eyes by Vanessa Filho   

Track by track :   "Etretat" : Une chanson sur une amie de longue date/âme sœur, une escapade à Etretat il y a dix ans qui aurait pu devenir une histoire d'amour. S’ils en ont marre et que les choses tournent mal, ils n'auront qu'à se retrouver là-bas.   "You Stole My Life" : Quand l'autre nous coupe de soi-même, ne nous trouvant jamais assez bien, et que pris du syndrome de Stockholm, on se met à aimer ça et à accepter. Avant que la rupture ne nous réconcilie avec nous-mêmes.   "Go Train Fast Love" : Un mec se décide enfin à prendre le train pour rejoindre la fille qu'il aime. Il est excité : plus que quelques heures, quelques kilomètres. Mais on ne sait pas si ces retrouvailles ne sont pas vouées à l'échec ou du domaine du rêve.   "A Place (Space Lullaby)" : L'évocation d'un lieu caché, où ne peuvent aller que les freaks qui n'ont pas leur place ailleurs. Un lieu qui n'a même pas besoin d'être manichéen. Un endroit onirique proche de l'arbre dans la bulle du film "The Fountain".   "Nightlifedreamers" : La vie nocturne, la ville qui scintille, et cette sensation que tout est possible et plus fort que le jour levé.


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