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Wolverine: le combat de l'immortel - Critique vidéo

Par Nopopcorn @TeamNoPopCorn

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Les griffes au pays du soleil levant !

4 ans après le film X-Men Origins: Wolverine, Hugh Jackman reprend son rôle de Logan, tandis que le réalisateur James Mangold prend les commandes pour mettre en scène Wolverine : le combat de l'immortel, suite directe à X-Men l'affrontement final.

Vidéo de la critique du film WOLVERINE: le combat de l'immortel

La vidéo est en cours de montage
en attendant vous pouvez lire la version écrite de la critique

Réalisation: Yannick Raoul Chroniqueurs: Yannick Raoul & Patrice Steibel Cadre & Montage: Sacha Bennasar Cadre: Michael Min


La version texte de la critique

Yanchasp portraitWolverine, personnage emblematique de l'univers des X-Men de chez Marvel, revient pour un second épisode soloWolverine: le combat de l'immortel.
Toujours Hugh Jackman pour incarner Logan, cette fois-ci c'est James Mangold (Night and Day, 3h10 pour Yuma) qui prend place derrière la caméra.
(...)

  • L'Avis de Yannick R. - Cliquez pour lire la suite (6/10)

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    Le(s) plus

    Le début de Wolverine : le combat de l'immortel est plus sombre que X-Men Origins: Wolverine, et surtout l'enjeu dramatique est plus réussi.
    Dans ce second épisode consacré à Wolverine, ils ont réussi à faire ce qu'ils ont essayé de faire avec le précédent: c'est plus profond, on est plus sur les sentiments de Logan et ça commence d'ailleurs avec une très bonne introduction à Nagasaki.

    La véritable réussite vient d'avoir pu nous faire oublier le très médiocre X-Men Origins: Wolverine. Dans Wolverine : le combat de l'immortelle scénario est mieux travaillé et le fond de l'histoire avec le parcours de la rédemption de Logan est mieux emmené, même si ce n'est pas encore ça.
    Il y a une bonne base pour avoir quelque chose d'intéressant, mais il manque les bons ingrédients parfois pour avoir l'ultime volet de Wolverine.

    Wolverine : le combat de l'immortel baigne dans une bonne ambiance japonaise, même si c'est dommage que le film ne s'inspire pas plus du comics où Wolverine apprend à combattre avec les ninjas et surtout le sens de l'honneur.

    Côté casting on retrouve l'indispensable Hugh Jackman dans la peau de Wolverine. Ce serait difficile de changer d'acteur alors qu'il est parfait pour le rôle. Un gros point fort pour le personnage et pour l'adaptation du comics.
    A noter également, Tao Okamoto (Mariko Yashida) et Rila Fukushima (Yukio) qui s'en sortent vraiment bien pour une première expérience dans un film.

    Ce second volet est aussi techniquement bien plus réussi, que ce soit pour les effets spéciaux, les décors ou la photographie.
    On pensera principalement au très beau combat sur le toit du train et à la scène finale avec l'affrontement de Logan contre le Silver Samourai.
    Sans oublier l'infiltration des ninjas qui est le meilleur passage en hommage à la culture japonaise.

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    Enfin, ne manquez surtout pas la longue scène post générique qui devrait faire plaisir aux fans.

    Le(s) moins

    Le look de Hugh Jackman est mieux que dans X-Men Origins: Wolverine, mais il a tout de même les cheveux trop courts et il est trop propre sur lui.
    Même s'il est l'incarnation parfaite de Logan, Hugh Jackman n'est pas assez "sauvage" dans ses épisodes solo.

    Coté scénario, il y a de bonnes idées mais ça reste très faible et surtout très lent par moments.

    Pour un personnage comme Wolverine, il faut arrêter avec le PG13(autorisé pour les moins de 13 accompagnés). De voir un mutant qui tranche tout le monde avec ses griffes sans une goutte de sang, c'est vraiment dommage et ça gâche une partie du plaisir.
    Tous les héros de comics ne peuvent pas être tout publics et Wolverine devrait évoluer dans un univers plus sombre, plus sanglant, en tout cas pour ses aventures en solo.
    Il y a un peu trop de démonstration de la guérison, en même temps le sujet du film est l'immortalité de Logan, mais c'est quand même un peu au détriment des combats et finalement le thème de l'immortalité est un peu laissé de côté.

    Enfin, d'intégrer une mutante pour rester dans le contexte X-Men c'est une bonne idée, mais le personnage de Vipère n'apporte pas grand-chose, un peu à la manière de Deadpool dans l'épisode précédent et surtout le jeu de Svetlana Khodchenkova est très froid et sans charisme.

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    Conclusion

    Un second volet pour Wolverine, bien plus réussi que le précédent que ce soit scénaristiquement ou techniquement, même s'il manque encore un petit quelque chose de "sauvage" dans le personnage et que le film subit des baisses de rythme.
    Allez courage, le troisième volet sera le bon!

    Ma note: 6/10.

Spaz portrait

Jamais le format de critique de NoPopCorn ne fut aussi adapté à un film qu'à Wolverine : le combat de l'immortel (que je nommerai par facilité et convenance personnelle par son titre original The Wolverine),film schizophrénique où cohabitent le ridicule et l'excellence.
Le réalisateur James Mangold a de bonnes intentions mais se perd voulant courir deux lièvres à la fois : étude de caractère sur fond de thriller "yakuza" et le grand spectacle estival promis à la Fox. (...)

  • L'Avis de Patrice S. - Cliquez pour lire la suite (6.5/10)

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    Le(s) plus

    Commençons par la pièce centrale du film et en fait de toute la franchise mutante j'ai nommé Hugh Jackman qui reprend pour la sixième fois le rôle qui la fait star. Le personnage et le comédien sont désormais fusionné tels que le fur Christopher Reeves à Superman et plus récemment Robert Downey Jr à Iron Man. L'acteur australien est attaché au personnage, sait ce qu'il lui doit et continue à l'explorer de manière sérieuse.
    On a souvent parlé des transformations physiques que s'imposaient Robert DeNiro alors que dire Jackman physiquement monstrueux dans le film qui parvient à plier son corps aux exigences impossibles des personnages dessinés.

    Mangold a la bonne idée de centrer son film sur le personnage principal explorant les conséquences du décrié X-Men : L'affrontement final qui le virent obligé de tuer Jean Grey (Famke Janssen dans ce qui est plus qu'une cameo). On retrouve un Logan retiré du monde hanté par son souvenir. Le chemin de la rédemption passera donc par le Japon, terre qui vit les plus fameuses aventures solo du griffu dans les comics. L'intrigue est plus proche néanmoins de celle de Man on Fire où un dur à cuire retrouve gout à la vie en protégeant une jeune fille qu'il devra sauver des griffes de ses ravisseurs que des thèmes du choc des cultures et de l'honneur qui baigne les comics.
    Pour se faire, le personnage de Mariko est modifié de même que celui de sa Yukyo toutefois ces changements donne des personnages attachants.

    The Wolverine se distingue surtout de son funeste prédécesseur d'une vraie proposition de mise en scène, la réalisation de James Mangold est nerveuse tout en etant très graphique, refusant le spectaculaire pour inclure le film dans le thriller sauf dans la dernière partie où il doit payer ses gages au blockbuster.
    Ses scènes d'action sont sèches, dynamiques et inventives : la bataille sur le toit du bullet train m'a fait penser au film de Hong-Kong. L'ouverture du film en flashback (merci la série Logan de Brian K.Vaughan) est aussi très réussie.
    Il faut surtout lui rendre grâce d'avoir repoussé les limites du PG(pour tout public) pour ce personnage qui par nature est définitivement R. Wolverine utilise régulièrement ses griffes de façon létales les plantant dans les poitrines de ces ennemis et la conjonction du film de sabre et du pouvoir de guérison permet à Mangold des scènes assez brutales où le métal perce la chair.
    A noter la jurisprudence X-Men First Class ou Logan dans sa cameo prononçait le seul mot "fuck" autorisé par la ratification PG-13 s'applique ici puisqu'il est de nouveau employé ainsi que le mot "bitch".

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    Mangold s'appuie sur des collaborateurs très doués, Logan évolue dans des décors nippons reconstitués en Australie par le toulousain (!) François Audouyq qui retranscrivent parfaitement le dépaysement du personnage. Le décorateur rend aussi un bel hommage aux James Bond des sixties avec cette forteresse à flanc de montagne qui n'aurait pas renié Ken Adam.
    La photographie de Ross Emery est sublime en particulier les plans nocturnes sous la pluie dans la résidence du clan Yashida et une scène magnifique d'un Wolverine percé tel Saint Sébastien dans un village enneigé.
    Dans la dernière partie plus S.F qui tranche il est vrai avec le reste du film, j'ai néanmoins apprécié la relecture du Silver Samourai, les SFX sont assez réussis et j'ai trouvé l'image de Wolverine face à ce géant d'Adamantium très iconique.

    Le(s) moins

    Personnages phares des comics de Wolverine se déroulant au Japon, Kenyuchio Harada mais surtout Lord Shingen Yashida(de la mini série de Claremont/Miller) sont sacrifiés et complètement dénaturés. Ce dernier souffre le plus de cette transcription, sa relation avec sa fille Mariko est dénaturée et son rejet du gaijin Logan passe au second plan. Ce n'est pas tant la déviation par rapport aux comics qui est en cause (Yukio est différente aussi) mais surtout que le script ne parvient pas à en faire des personnages intéressants.

    Le scénario dans sa partie purement japonaise est inutilement confus alors que l'intrigue est des plus sommaire, de nombreux personnages ont des motivations incohérentes et pas vraiment d'utilité narrative. De plus il abandonne en chemin certains thèmes présentés comme centraux par le marketing du film, le poids de l'immortalité en particulier pèse moins sur Logan que celui de la culpabilité. L'histoire de l'épée dont on lui fait don n'a pas de conclusion satisfaisante.

    Le final bascule dans le pur comic-book movie mais le changement de ton nuit à l'ensemble surtout que c'est la qu'intervient le plus gros ratage du film : le personnage de Viper. Vilaine emblématique des comics il eut fallu hélas plus qu'une pseudo actrice russe pour lui rendre justice. Ce ratage nous rappelle les heures les plus sombres du film de comics, c'est une sorte de version cheap de la déjà calamiteuse Poison Ivy d'Uma Thurman avec ses justaucorps verts à trois francs six sous, ses crachats toxiques et sa langue de serpent en CGI.

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    Conclusion

    The Wolverine est très imparfait, même si les intentions sont bonnes, de mauvais choix narratifs parasitent l'ensemble.
    On retiendra l'iconisation du personnage, la photo magnifique et quelques scènes badass & graphiques qui rachètent le film.

    6.5/10.


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Wolverine : le combat de l'immortel

Réalisé par: James Mangold.
Avec: Hugh Jackman, Brian Tee, Will Yun Lee.
Genre: Action, Fantastique.
Nationalité: Américain.
Titre original: The Wolverine.
Distributeur: Twentieth Century Fox France.
Durée: 2h06min.
Date de sortie: 24 juillet 2013.


Synopsis :
"Wolverine, le personnage le plus emblématique de l'univers des X-Men, est entraîné dans une aventure ultime au cœur du Japon contemporain. Plongé dans un monde qu'il ne connaît pas, il doit faire face au seul ennemi de son envergure, dans une bataille à la vie à la mort. Vulnérable pour la première fois et poussé au bout de ses limites physiques et émotionnelles, Wolverine affrontera non seulement l'acier mortel du samouraï mais aussi les questions liées à sa propre immortalité."

  • Bande annonce

  • Les Anecdotes !


    Dans ce nouveau film consacré au célèbre mutant, Wolverine se frotte à la pègre japonaise, et plus particulièrement au Samouraï d'argent, l'un de ses adversaires les plus menaçants.

    Réalisateur réputé de Copland et Walk the Line, James Mangold a été choisi pour être aux commandes de Wolverine : le combat de l'immortel, après que Bryan Singer et Darren Aronofsky aient quitté le navire.

    A l'origine, le scénariste Simon Beaufoy (127 heures) a été approché pour rédiger le script de Wolverine : le combat de l'immortel, mais ce dernier refusa. Même chose pour Darren Aronofsky (Requiem for a Dream) à la réalisation, qui voulait passer plus de temps avec sa famille. Guillermo Del Toro avait quant à lui fait part aux producteurs de son envie de réaliser Wolverine : le combat de l'immortel avant de se rétracter pour ne pas passer trop de temps (deux à trois ans) sur un seul et même projet.

    Longtemps pensé comme étant une suite à X-men Origins : Wolverine (2009), l'équipe du film a finalement décidé de placer les évènements de Wolverine : le combat de l'immortel après X-men : l'affrontement final (2006), troisième épisode cinématographique consacré aux célèbres mutants. Le réalisateur James Mangold explique : "Les X-men sont dissous, il y a ainsi un énorme sentiment d'isolement pour Wolverine", justifiant ainsi cette nouvelle aventure en solo du personnage.

    A noter que X-Men Origins: Wolverine (2009) avait été mal accueilli par les fans et la critique, même si ses résultats au box office n'étaient pas alarmants (375 millions de dollars dans le monde pour un budget de 150 millions).

    Wolverine n'en finit plus d'apparaitre sur grand écran, puisque après Wolverine : le combat de l'immortel, nous retrouverons Logan dans X-men : Days of Future Past en 2014, dirigé par Bryan Singer, réalisateur de X-men (2000) et X-men 2 (2003).

    Wolverine : le combat de l'immortel tire son inspiration d'un comic-book de Frank Miller et Chris Claremont qui ont alors récupéré Wolverine pour en faire un personnage aux multiples facettes, beaucoup plus travaillé et subtil que dans sa première apparition BD en 1974 dans les numéros de "L'Incroyable Hulk" #180 et #181.

    Depuis qu'il a décroché le rôle de Logan dans X-men (2000), Hugh Jackman rêvait de jouer son personnage dans l'arc narratif des comics ayant inspiré le film, dont l'intrigue se déroule au Japon. Dans ces comic-book Marvel, Wolverine est le personnage principal, totalement détaché de la série X-men. Si le Japon mélange à la fois des traditions ancestrales liées à la famille et la technologie de pointe, le mutant se retrouve souvent seul - malgré son appartenance récente avec les X-men - et à l'état sauvage : "Le Japon est un peu le monde d'Oz pour Logan, comme dans Le Magicien d'Oz, Logan se retrouve dans un rêve délirant", explique James Mangold.

    Si Wolverine : le combat de l'immortel se déroule de nos jours, l'introduction du film constitue l'occasion de retrouver le personnage de Logan en pleine Seconde Guerre mondiale, à Nagasaki, au Japon, pendant les bombardements qui se sont déroulés à la fin de la guerre.

    L'immersion japonaise est parfaite pour la situation dans laquelle se retrouve Logan après X-men: l'affrontement final (2006). Ayant perdu ses compagnons et l'institution de Charles Xavier, il se retrouve dans une position proche du ronin, célèbre figure japonaise qui caractérise un samouraï n'ayant plus de maître à servir : "Il est, en quelque sorte, un guerrier sans but, sans cause. Beaucoup de ceux qui donnaient à Logan l'impression de se battre pour quelque chose ont disparu. Finalement, c'est essentiellement un homme perdu, capable de tout mais sans mission", explique le réalisateur James Mangold qui ajoute : "C'est une iconographie que les westerns américains et les films de samouraïs partagent, et maintenant nous y insérons un personnage de comic book."

    A propos de son personnage, Hugh Jackman explique qu'il a "toujours imaginé Wolverine comme un combattant des rues ou un bagarreur de bar. Son style n'est pas élégant, il ne veut pas traîner en assénant un ou deux coups, tout ce qui l'intéresse c'est de couper la tête de son adversaire en deux secondes et de passer à autre chose". En effet, Wolverine est le seul parmi ses collègues X-men qui n'hésite pas à tuer ses opposants.

    Le sujet des super-héros renvoie inévitablement à un univers fantastique ou de science-fiction. Avec un personnage comme Wolverine, impossible d'échapper à la règle et pourtant, le film s'apparente plus à un thriller d'après James Mangold, qui voulait faire quelque chose de plus réaliste : "Je pense que ce qui va surprendre le plus les gens dans ce film, c'est son aspect très réel ; à quel point on s'immerge entièrement dans ce monde, dans l'action, le drame et la romance", déclare le metteur en scène. Ce réalisme se traduit également pour le personnage de Logan qui se voit redevenir mortel : "Vous verrez un Logan plus vulnérable, plus exposé et plus monstrueux que jamais. Il se débat avec son identité, avec sa raison de vivre, et il doit désormais faire face au choix d'accepter ou non sa vraie nature", explique Hugh Jackman.

    Estimé à 100 millions de dollars, le budget de Wolverine : le combat de l'immortel n'est donc pas énorme en comparaison à celui de X-Men: Le Commencement (160 millions) ou d'Avengers (220 millions).

    Dans Wolverine : le combat de l'immortel, Hugh Jackman campe le personnage de Logan pour la sixième fois à l'écran, un record puisqu'il est le seul acteur au monde à avoir incarné aussi souvent un même personnage de comic-book au cinéma. Il va également reprendre son rôle pour la septième fois dans X-Men : Days of Future Past (2014).

    Jessica Biel et Amanda Seyfried furent considérées pour le rôle de Viper, puis Katie Leung pour camper celui d'Yukio. De même que Togo Igawa, qui jouait le général Hasegawa dans Le Dernier Samouraï, a été approché pour incarner le personnage de Shingen.

    Le directeur de la photographie Amir Mokri a été remplacé au cours du tournage par le directeur de la photographie de la seconde équipe Ross Emery.

    Si Logan se lance dans une aventure en solo, bien loin de ses collègues X-men, nous retrouvons tout de même, dans Wolverine : le combat de l'immortel, quelques figures emblématiques de la saga de Marvel tels que Silver Samuraï, Vipère et le grand amour de Logan, Jean Grey.

    Le chef-décorateur de Wolverine : le combat de l'immortel, François Audouy, est d'origine toulousaine. Il est souvent attaché aux films de super-héros puisque son premier job a été sur Batman Forever (1995). Il a aussi travaillé aux côtés de Sam Raimi sur Spider-Man 2 (2004).

    Hugh Jackman a contacté Dwayne Johnson afin de lui demander des conseils pour se préparer physiquement au rôle de Wolverine. Selon Jackman, "Le but n'était pas d'avoir l'air d'être juste quelqu'un qui faisait de la gonflette, il fallait que la rage intérieure puisse se voir sur mon corps, il fallait voir les veines, je voulais sembler animal". L'acteur a donc suivi le programme de son ami : manger 6.000 calories par jour en plus de l'exercice approprié.

    Alors que Wolverine : le combat de l'immortel se passe quasi-intégralement au Japon, la majorité du tournage s'est déroulée à Sydney. Ce qui a posé quelques problèmes à la production au niveau des figurants japonais, la célèbre ville australienne comportant une large population asiatique mais très peu de Japonais.

    Fox France s'est associée à l'agence événementielle Ubi Bene pour promouvoir la sortie de Wolverine : le combat de l'immortel dans les salles françaises. L'agence a donc installé au Parc de la Villette à Paris le caveau du héros du film en indiquant son année de naissance mais pas celle de sa mort : "1835 - ????". Une opération remarquée qui n'a pas manqué de faire le buzz sur Internet.

    Le gouvernement australien a octroyé une subvention d'environ 13 millions de dollars au film, pour qu'il soit tourné dans ce pays. D'après Julia Gillard (Première ministre australienne), ce serait Hugh Jackman qui l'aurait convaincue de débloquer ces fonds, favorisant ainsi la création d'emplois au sein d'un secteur largement touché par la crise depuis quelques années.

    Premier film des X-Men à sortir en 3D et IMax, Wolverine : le combat de l'immortel est également le premier film centré sur l'homme aux griffes d'acier où il ne partage pas le titre avec les autres X-Men.

IndianConnectionLogoMerci à "Indian Connection", pour le lieu de tournage.
Restaurant indien, Bar, Music, Lounge
33/35 rue de Lappe 75011 Paris - site internet

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