Magazine Cinéma

WOLVERINE, le combat de l’immortel: Critique du film

Par Pulpicons

WOLVERINE, le combat de l’immortel: Critique du film

Les super héros ont un coeur, et une fois n’est pas coutume, le film fait la part belle aux filles.

Avec son petit côté soap, Wolverine, le combat de l’immortel ne joue pas la surenchère, il n’en pas les moyens.

Inutile donc de comparer un film à 100 millions à un film à 250 millions de dollars.

James Mangold aligne les plans sans maestria mais assure le job avec cohérence, comme Hugh Jackman

qui campe un Logan bienveillant assumé. Ce second spin-off profite du contexte japonais de l’histoire pour jouer

la carte de la fusion manga/comics. Un parti pris qui pourra laisser les fans de Wolverine dubitatifs, quand à sa

soudaine tolérance aux codes sociaux, mais qui a le mérite de proposer une alternative au traitement du film de super-héros.

Côté BO, Marco Beltrami colle au cadre du projet, et évite le hors-sujet de la sempiternelle musique tonitruante  façon “Master-chef”, qu’on nous sert à toutes les sauces.

Le cultissime Hiroyuki Sanada (le dernier Samourai, Sunshine, San Ku Kai) mérite à lui seul le détour,

et on ne boude pas son plaisir, à défaut d’extase, devant ce nouvel épisode des pérégrinations de notre bourlingueur mutant préféré.

WOLVERINE, le combat de l’immortel: Critique du film


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Pulpicons 202 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines